AB-205 iranien avec 2 mitrailleuses MG3 italienne avec les munitions dans une boîte externe de chaque coté et 2 pods de 7 roquettes 1 de chaque coté.
A l'action
AB-205 iranien avec 2 mitrailleuses MG3 italienne avec les munitions dans une boîte externe de chaque coté et 2 pods de 7 roquettes 1 de chaque coté.
A l'action
http://amd.belfort.free.fr/28chah.htm" La centrale nucléaire de Busher en Iran est bombardée par des avions irakiens dont certains sont pilotés par des militaires français ". 1982, toujours, les Israéliens bombardent Osirak..
http://www.csotan.org/textes/texte.php? ... e=articlesDes avions irakiens, parfois pilotés par des Français, bombardèrent en 1981 la centrale nucléaire de Busher en Iran, fournie par les Allemands.
La suite ici http://www.nytimes.com/2002/08/18/world ... all&src=pmOFFICERS SAY U.S. AIDED IRAQ IN WAR DESPITE USE OF GAS
A covert American program during the Reagan administration provided Iraq with critical battle planning assistance at a time when American intelligence agencies knew that Iraqi commanders would employ chemical weapons in waging the decisive battles of the Iran-Iraq war, according to senior military officers with direct knowledge of the program.
Those officers, most of whom agreed to speak on the condition that they not be identified, spoke in response to a reporter's questions about the nature of gas warfare on both sides of the conflict between Iran and Iraq from 1981 to 1988. Iraq's use of gas in that conflict is repeatedly cited by President Bush and, this week, by his national security adviser, Condoleezza Rice, as justification for ''regime change'' in Iraq.
The covert program was carried out at a time when President Reagan's top aides, including Secretary of State George P. Shultz, Defense Secretary Frank C. Carlucci and Gen. Colin L. Powell, then the national security adviser, were publicly condemning Iraq for its use of poison gas, especially after Iraq attacked Kurds in Halabja in March 1988.
Ordre de bataille
Armée de terre irakienne (1980)
1e Corps d'Armée (secteur entre Rawanduz et Marivan)
7e Division d'Infanterie (QG Souleimaniye, Irak)
11e Division d'Infanterie (QG Suleimaniyeh, Irak) (-) (113e brigade d'infanterie)
2e Corps d'Armée (secteur entre Qasr-e Chirin, Ilam et Mehran, blindés déployés entre Mehran et Dezful
6e Division blindée (QG Bakouba, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
9e Division blindée (QG Baqubah, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
10e Division blindée (QG Baqubah, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
2e Division d'Infanterie (QG Kirkouk, Irak)
4e Division d'Infanterie (QG Mossoul, Irak)
6e Division d'Infanterie (QG Baqubah, Irak)
8e Division d'Infanterie (QG Erbil, Irak)
3e Corps d'Armée (QG al-Qurnah, Irak, secteur entre Dezful et Abadan)
3e Division blindée (QG Tikrit, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
10e Division blindée (QG Bagdad, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
12e Division blindée (QG Dahuk, Irak) 300 (T-62) (BMP-1) (en réserve)
1e Division mécanisée (QG Divaniyeh, Irak) 200 (T-55) (Véhicule de transport de troupes OT-64/BTR-50 tchèque)
5e Division mécanisée (QG Bassorah, Irak) 200 (T-55) (OT-64 APC/BTR-50 APC tchèque)
31e Brigade des forces spéciales indépendantes (-) (2 bataillons) (l'un rattaché à la 5e division mécanisée, l'autre à la 3e division blindée.
33e Brigade des forces spéciales indépendantes
10e Brigade blindée indépendante (T-72) (BMP-1)
12e Brigade blindée indépendante (T-72) (BMP-1)
113e Brigade d'infanterie (détachement de la 11e division d'infanterie)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_Iran-Irakordre de bataille
Armée de terre de la république islamique d'Iran (1980)
16e Division blindée (QG Qazvin, Iran) (Char M60A1) (M113)
81e Division blindée (QG Kermanshah, Iran) (Chars Chieftain) (M113)
92e Division blindée (QG Khuzestan, Iran) (Chieftain) (M113)
21e Division d'infanterie (QG Téhéran, Iran)
28e Division d'infanterie (Sanandaj, Saqez et Marivan, Iran) (1 brigade blindée) (M60A1) (M113)
64e Division d'infanterie (Orumiyeh, Iran)
77e Division d'infanterie (Khorasan, Iran) (1 brigade blindée) (M48) (BTR-50)
37e Brigade blindée (Shiraz, Iran)
88e Brigade blindée (Zahedan, Iran) (Chieftain) (couvrant les frontières avec l'Afghanistan et le Pakistan)
30e Brigade d'infanterie (Gorgan, Iran)
84e Brigade d'infanterie (Khorramabad, Iran) (déployée sur le front, faisant la liaison entre les positions de la 81e et de la 92e division blindée.
23e Brigade des forces spéciales (Téhéran, Iran) (déployée le long de la frontière irakienne dans 13 détachements séparés)
55e Brigade aérienne (Shiraz, Iran) (un bataillon déployé à Sardasht, et une compagnie chacune à Sanandaj et à Dezful, Iran)
11e Groupe indépendant d'artillerie
22e Groupe indépendant d'artillerie (Khuzestan, Iran)
33e Groupe indépendant d'artillerie
44e Groupe indépendant d'artillerie
55e Groupe indépendant d'artillerie (Khuzestan, Iran)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_Iran-IrakL'Arabie saoudite et les autres monarchies de la péninsule Arabique ont largement financé l'effort de guerre irakien, par crainte d'une contagion révolutionnaire vers leurs propres populations chiites. Le contentieux de dettes de guerre a d'ailleurs été une des causes de l'invasion du Koweït par l'Irak en 1990.
La Syrie, au contraire, a tenté d'affaiblir l'Irak en coupant l'oléoduc reliant Kirkouk au port syrien de Lattaquié. Les exportations irakiennes de pétrole auraient été ruinées sans l'ouverture d'une nouvelle ligne par la Turquie.
L'Égypte a aidé indirectement l'Irak en lui fournissant deux millions de travailleurs pour remplacer ses hommes mobilisés et a collaboré activement dans le développement de matériel militaire.
Israël, ancien allié de l'Iran du chah, avait autant de raisons de redouter le panislamisme de la République iranienne que le panarabisme laïque de l'Irak. Sa principale intervention dans le conflit a été le bombardement de la centrale nucléaire irakienne en construction Osirak en 1981, attaque qui avait nécessité deux vols de reconnaissance préalable, le premier étant accompli par deux RF-4E de l'I.R.I.A.F, le second par un appareil de L'I.A.F. Construite avec des technologies françaises, cette centrale aurait permis à l'Irak de se doter à terme de l'arme nucléaire. L'État d'Israël fut également l'un des principaux fournisseurs d'armes pour l'I.R.I.A.F et l'I.R.I.A.A, livrant des BGM-71 "TOW" (versions terrestres et aériennes sur les AH-1J), des MIM-23 "Hawk" ainsi que des BL-755, ces dernières étant déployées par les F-4E Iraniens dans une grande partie des missions d'attaques.
Des pays et des organisations internationales ont tenté à plusieurs reprises des médiations pour cesser le conflit, dont l'Algérie. L'Irak adressa à ce pays une réponse négative : le 3 mai 1982, un avion Gulfstream II du gouvernement algérien avec quatorze personnes à bord dont le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Seddik Ben Yahia en route pour Téhéran fut abattu par un appareil MiG-25 de l'armée de l'air irakienne.
L'Union soviétique proclama dès le début du conflit sa neutralité, coupant sur le champ les livraisons d'armes à l'Irak après son agression contre l'Iran : les accords sur les livraisons ne valaient que pour les cas de défense contre une attaque éventuelle et non pour cautionner une invasion[réf. nécessaire]. Elle les reprit dès 1981 en livrant notamment des bombardiers Tu-22 Blinder et dépêche un fort contingent de conseillers militaires pour l'entretien de son matériel41.
Début 1985, les Irakiens décident de frapper Téhéran avec leur MiG-25R. Le problème est que Moscou a toujours refusé de leur livrer des bombes spéciales FAB-500T munies d'une enveloppe de protection thermique , ainsi que les attaches correspondantes. Les Irakiens ont alors l'intention d'équiper leur Foxbat de bombes de fabrication espagnole. Les Soviétiques protestent et leur offrent de transformer tous les Mig-25R irakiens au standard RB. En plus, ils leur livrent des immenses réservoirs largables de 5000 litres et modifient les RB pour pouvoir les transporter. La première attaque menée par des Mig-25 avec des FAB-500T sur une cible dans une ville Iranienne a lieu à Ispahan, le 10 mars 198542.
Elle maintint le contact avec les deux belligérants et œuvra à améliorer ses relations avec Téhéran. Deux accords de coopération furent signés en juillet 1981. Moscou livrant plusieurs centaines de millions de dollars de matériel militaire à l'Iran directement ou en passant par des pays tiers dont des obusiers M1954 envoyés dès l'ouverture du conflit, un contingent de conseillers militaires vient en Iran, 3 000 hommes mi-1983, et 4 200 en mars 1987, une station d'écoute soviétique fut installée dans ce pays, des officiers iraniens entrèrent dans des écoles militaires et il y eut coopération entre les services de sécurité43.
Le ministre des Affaires étrangères soviétique Edouard Chevardnadze se rendit à Qom rencontrer en mars 1989 l'ayatollah Khomeiny.
moue on va comparé le fait que l’Iran a reçu des obus de mortier et sa parle de soutiens..il n'ay eu aucun soutiens lorsqu’on voie ce que la France a livrai a l’Irak c'est un arsenal complet plus de 121 mirage 56 hélico 300 véhicule blinder..80 canon automoteur..du matos anti aérien et anti char de dernier génération..des milliers de missiles et des millions d’obus et munitions diverses ainsi qu’un système de de DA a part sa l’Irak n'avais pas de bon matos?Des entreprises françaises livrèrent aussi clandestinement du matériel à l'Iran (obus d'artillerie entre autres)[/b], que ce soit avec l'accord du gouvernement français dans le cadre du règlement des affaires des otages français au Liban et du contentieux financier franco-iranien Eurodif ou non avec l'aide de sociétés écran en Espagne ou au Portugal50. La France avait également conclu un contrat pour la vente de trente-six Mirage à l'Irak en 1977, à l'occasion d'une visite du premier ministre Raymond Barre à Bagdad. Ce contrat sera honoré dès 1981 avec la livraison de quatre mirages F1. Selon l'historien Pierre Razoux : "Pendant toute la durée de la guerre, la France va s’imposer comme le second pourvoyeur d’armes de l’Irak, derrière l’Union soviétique, en lui livrant 121 Mirage F-1, 56 hélicoptères de combat, 300 véhicules blindés, 80 canons automoteurs GCT-AUF1, du matériel antiaérien et antichar de dernière génération, des milliers de missiles et des millions d’obus et munitions diverses."51. Le système de défense antiaérien intégré irakien « KARI », en partie de conception française, fut complété en 1986-1987
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_Iran-Irak
24 milliards d'achats de matériel militaire pour toi c'est quelques pièces détachés et quelques missiles Je sais pas si ta conscience de ce que représente 24 milliards dans les années 80s.. J'ai les chiffres détaillés sous mes yeux et entre ce que t'affirme et la réalité y a un fossé la.. Je veux bien être d'accord avec toi et c'est pour ça que je t'ai pas contredis sur certain passage mais il faut pas abusé non plus. Quand a l'Irak ils ont privilégier les attaques aériennes avec des exocets et l'Iran de ce coté la a aussi morflé avec plus de 500 exocets tiré ils ont pas fait dans le détaille.Rebell a écrit :le soutiens et totalement inégale l’Iran dans le pire des cas recevez quelque missile quelque pièce détacher et des roquette etc..l’Irak lui recevez des chasseur des missile les plus performant..des blinder des conseiller etc...de plus les 2million de travailleur égyptien c'est assez énorme car tout le boulot qui devez être fait par les soldat irakien sera fait par les travailleur égyptien ce qui va permettre a ces millier de troupe irakienne de renforcer le front (ce qui était pas le cas de l’Iran)
sas oublier le soutiens militaire americain qui a neutralisa le tier de la flotte iranienne..en plein conflit avec l’Irak je tiens a rappelez que la flotte irakienne était quasiment absente dans ce conflit car au début du conflit l’Iran lui a detruit 80% de sa puissance navale
Ou t'as vu que j'ai dis l'Irak n'a pas de bon matos Je ne gonfle rien, je donne des fais avec des arguments.. Les chiffres sont sous mes yeux.Rebell a écrit :moue on va comparé le fait que l’Iran a reçu des obus de mortier et sa parle de soutiens..il n'ay eu aucun soutiens lorsqu’on voie ce que la France a livrai a l’Irak c'est un arsenal complet plus de 121 mirage 56 hélico 300 véhicule blinder..80 canon automoteur..du matos anti aérien et anti char de dernier génération..des milliers de missiles et des millions d’obus et munitions diverses ainsi qu’un système de de DA a part sa l’Irak n'avais pas de bon matos?Des entreprises françaises livrèrent aussi clandestinement du matériel à l'Iran (obus d'artillerie entre autres)[/b], que ce soit avec l'accord du gouvernement français dans le cadre du règlement des affaires des otages français au Liban et du contentieux financier franco-iranien Eurodif ou non avec l'aide de sociétés écran en Espagne ou au Portugal50. La France avait également conclu un contrat pour la vente de trente-six Mirage à l'Irak en 1977, à l'occasion d'une visite du premier ministre Raymond Barre à Bagdad. Ce contrat sera honoré dès 1981 avec la livraison de quatre mirages F1. Selon l'historien Pierre Razoux : "Pendant toute la durée de la guerre, la France va s’imposer comme le second pourvoyeur d’armes de l’Irak, derrière l’Union soviétique, en lui livrant 121 Mirage F-1, 56 hélicoptères de combat, 300 véhicules blindés, 80 canons automoteurs GCT-AUF1, du matériel antiaérien et antichar de dernière génération, des milliers de missiles et des millions d’obus et munitions diverses."51. Le système de défense antiaérien intégré irakien « KARI », en partie de conception française, fut complété en 1986-1987
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_Iran-Irak
voila ce que fu en realité la guerre Iran/Irak un soutiens faramineux et a tout les niveau d'un coté et l'autre a du se de brouiller et tout ce qui a dégoté était pas grand chose comparé a sont voisin..et certain veulent gonfler les acquisition iranienne..alors qui on était rien..