Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

Parlez ici,des engagements récents de l'ANP (terrorisme, tensions territoriales, engagements extérieurs...)
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Le commandant de la gendarmerie turque aujourd’hui à Alger




Sur invitation du commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Bousteila, le commandant général de la gendarmerie turque, le général d’ armée Izik Kosaner, arrive aujourd’hui à Alger pour une visite de travail de 4 jours, indique un communiqué du commandement de la Gendarmerie nationale.
Cette visite intervient, indique le même document, dans le cadre de l’approfondissement de la coopération et l’échange des expériences entre ces deux corps de sécurité.

Les discussions entre les deux hommes porteront, selon la même source, sur «la formation, l’échange de connaissances et d’informations dans le domaine de la sécurité publique et la coopération technologique dans les domaines des recherches sur la criminologie et la criminalistique entre les instituts de police scientifique et technique des deux institutions». Il convient de relever que la venue de M. Izik Kosaner s’inscrit dans le cadre de l’échange des visites entre les responsables des gendarmeries algérienne et turque. Le communiqué rappelle qu’en 2006 le général-major Bousteila a conduit une délégation de la Gendarmerie nationale pour une visite de cinq jours en Turquie. Celle-ci répondait à la visite dans notre pays effectuée auparavant par le commandant de la gendarmerie turque.
Au cours de ces rencontres, «il a été convenu que la circulation des personnes et des biens entre les deux pays et la prolifération de la criminalité organisée incitent les deux institutions à renforcer davantage leurs relations pour une coopération plus approfondie dans le seul dessein de lutter efficacement contre le crime sous toutes ses formes», lit-on encore.
Ainsi donc, la Gendarmerie nationale semble intéressée par l’expérience turque pour accompagner son vaste programme de développement et d’ adaptation de ses moyens humains et techniques aux nouvelles exigences de la modernité. «La Gendarmerie nationale a bénéficié de plans de développement ambitieux et de projets structurants pour niveler l’ensemble de ses personnels, revaloriser leurs capacités professionnelles et moderniser les méthodes et moyens de son service à l’effet de les adapter aux exigences de sécurité publique et de lutte contre la criminalité», rappellent d’ailleurs les rédacteurs du communiqué en soulignant que les responsables de la Gendarmerie nationale ont «privilégié, entre autres, la coopération pour la formation des cadres et l’échange des expériences».
Parmi les plus marquants des projets dont a bénéficié la gendarmerie figure l’Institut national de criminologie et de criminalistique qui a récemment ouvert ses portes à Bouchaoui, dans la
banlieue ouest d’Alger. Une structure ultramoderne dotée, selon les responsables de la gendarmerie, des équipements techniques de dernière génération.
Elle est destinée à l’enseignement, à la formation et au recyclage des gendarmes.
Il convient de relever que la coopération sécuritaire entre l’Algérie et la Turquie semble s’accélérer ces derniers jours. Le ministre turc de la Défense, Vecdi Gonul, a effectué la semaine dernière une visite dans notre pays.
Il a d’ailleurs été reçu par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ainsi que par le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaïzia.

Arrow http://www.dzira.com/actualites/article-6910.htm
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Les deux otages autrichiens entre les mains du terroriste Yahia Abou Amar
L’armée poursuit les ravisseurs au long des frontières algéro-tunisiennes


Les frontières est du pays ont connu, depuis hier matin, le long des frontières algéro-libyennes, un état d’alerte maximal, immédiatement après l’annonce et la revendication, par Al Qaïda, de l’enlèvement des deux ressortissants autrichiens, sur le territoire tunisien. Il est probable que le groupe responsable du kidnapping soit le même qui se cache derrière le massacre des sept agents des garde-frontières à El Oued.
Des sources sécuritaires ont révélé que les ravisseurs ne se sont pas fixés dans un lieu déterminé en Algérie ou en Tunisie. Il est, au contraire, probable, qu’ils se soient déployés à différents endroits sur les deux bandes frontalières entre d’un côte l’Algérie et la Tunisie, et de l’autre l’Algérie et le Sahara libyen.
Les mêmes sources ont indiqué que les deux touristes autrichiens étaient en visite touristique à bord d’une voiture 4x4, et que le groupe terroriste les a surpris, sur le sol tunisien, non loin des frontières algériennes.
Selon les sources sécuritaires, il est probable que les otages se trouvent entre les mains de l’ « émir » du Sahara et commandant de la neuvième région de l’organisation terroriste, Yahia Djouadi, connu sous le nom de « Yahia Abou Amar Etiarti », responsable du meurtre de 7 garde-frontières de l’est à El Oued, le mois dernier.
Dans le même contexte, El Khabar a appris d’une source proche des développements de l’affaire qu’une force sécuritaire tunisienne a lancé une vaste opération de reconnaissance par ciel et terre, à partir de la ville de Matmatha, au sud, afin de déterminer l’emplacement du groupe de ravisseurs.

El Khabar
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LE FBI OUVRE UN BUREAU À ALGER
Une coopération à double entente


Tout comme l’action terroriste, la lutte contre ce fléau transnational n’a pas de frontières.

Le directeur de la police fédérale américaine (FBI), Robert Mueller, vient de révéler que ses services prévoyaient d’ouvrir une antenne à Alger. L’objectif avoué est de faire face aux nouvelles menaces en provenance du Maghreb. «Au cours de la dernière année, une année et demie, les capacités d’Al Qaîda au Maghreb (...) se sont accrues», a souligné Robert Mueller, lors d’une audition au Congrès consacrée au budget du FBI pour l’année fiscale 2009. Et d’avouer: «Nous sommes très inquiets sur le fait qu’alors que ces capacités ont augmenté, la possibilité pour des individus ayant deux passeports, par exemple français et algérien, de se rendre en Europe et de n’être plus qu’à un billet d’avion électronique de l’aéroport JF-K ou d’un autre aéroport ici aux Etats-Unis n’augmente également.» Ainsi, les services américains n’écartent pas la possibilité de la préparation d’un attentat terroriste anti-américain à partir d’Alger et ses environs, ou l’implication d’Algériens même.
En ouvrant un bureau à Alger, le FBI renforce sa coopération avec les services de sécurité algériens en charge de la lutte antiterroriste. «Nous avons développé une bonne relation de travail avec nos homologues en Algérie. Et l’ouverture d’un bureau est la prochaine étape dans la consolidation de cette relation pour faire face à ce nouveau phénomène des nouvelles menaces issues du Maghreb», a ajouté le patron du FBI, précisant que d’autres pays pourraient «être couverts par les bureaux que nous installons à Alger». La coopération en matière de lutte antiterroriste entre les deux pays ne date pas d’aujourd’hui.
Des délégations de la CIA, du FBI et de la NSA ont toujours effectué des visites en Algérie. Le FBI et la CIA ont, depuis les attentats du 11 septembre 2001, intensifié leurs contacts avec les services de sécurité algériens. La CIA avait créé en 2002 à Alger un centre dénommé «Alliance base» avec pour objectif l’analyse des mouvements transnationaux des terroristes suspects. La coopération porte, à la fois, sur le renseignement classique traditionnel, personnes suspectes, leurs activités, leurs déplacements..., et sur le renseignement opérationnel, «celui qui débouche directement sur le démantèlement de réseaux et des interpellations».
Rôle devrait dorénavant échoir au bureau du FBI en collaboration avec les services de sécurité algériens qui, de l’avis même des Américains, demeurent un partenaire privilégié.
L’arrestation en Algérie de Abdelmadjid Dahoumène en 2000, complice de Ressam réclamé alors par le FBI, tous deux ayant transité par des camps d’entraînement d’Al Qaîda à Kandahar, en Afghanistan, était un signe avant-coureur d’une coopération qui allait crescendo. «L’Algérie est un partenaire de grande valeur dans la lutte contre le terrorisme», a toujours affirmé le président américain, George W.Bush dans ses différents messages transmis au président Bouteflika. D’ailleurs, plusieurs visites ont été échangées entre les cadres des deux pays en charge de la lutte antiterroriste. Le rapport de Marion E.Bowman, représentant du FBI auprès de la Commission de surveillance des activités du renseignement auprès du Sénat américain, avait cité l’Algérie, en juillet 2002, comme étant un allié des Etats-Unis dans sa lutte contre Al Qaîda.
Outre le mouvement des terroristes dans le Sahel, les Américains veulent accroître leur surveillance sur les eaux de la Méditerranée. Et les services de renseignements et de lutte antiterroriste américains n’ont jamais dissimulé leur intérêt pour la région. Et une présence physique en Algérie est devenue plus que nécessaire. Sur un autre plan, l’Algérie est sur le point de signer un contrat avec la société américaine Cessna pour l’acquisition d’un avion-laboratoire équipé d’un système automatique d’inspection et de calibrage en vol. Ainsi, avec l’ouverture d’un bureau du FBI à Alger, la coopération en matière de renseignements entre services algériens et états-uniens a pris un nouvel essor. Dans la transparence la plus totale, évidemment.

Smail ROUHA

l expression
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souf a écrit :http://www.presse-dz.com/revue-de-press ... icain.html
Une des premières missions de la police fédérale
Le FBI recherche en Algérie un terroriste américain

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Le Fédéral Bureau of Investigations (FBI) qui ouvrira un bureau au siège de l’ambassade US en Algérie aura entre autres tâches la mission de rechercher des ressortissants américains qui pourraient être cachés en Algérie.
06 Avril 2008, Le jour d'Algérie
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C’est l’exemple de Ronald Stanley Bridgeforth, ressortissant américain né le 23 août 1944 en Californie. Ce ressortissant américain est accusé par la justice de son pays d’avoir participé à des attaques contre des représentants de la loi et contre un commissariat de police d’Ingleside à San Francisco, agression dans laquelle un sergent de police a été tué.

Les autorités américaines soutiennent que les enquêtes menées sur ces affaires ont révélé que ces actes ont été perpétrés par des «membres d’un groupe extrémiste connu sous le nom de l’Armée noire de libération (BLA)».

Ce groupe aurait, ajoutent les autorités américaines, perpétré des attaques contre des postes de police, notamment dans les années 1960 qui se seraient poursuivies dans les années 1970. Plusieurs officiers de police ont été tués dans ces attaques.

Un mandat d’arrêt a été lancé à l’encontre de Ronald Stanley Bridgeforth par la justice américaine, l’accusant de «conspiration» de hold-up commis contre des banques et d’être impliqué dans l’attaque perpétrée en 1971 contre le commissariat de police d’Ingléside avec d’au-tres membres du BLA.

Ce ressortissant américain «est connu pour avoir effectué plusieurs voyages à l’étranger», selon le FBI qui ajoute qu’«il se rendait en Algérie», de même qu’il se rendait, ajoute le Bureau Federal of Investigations, au Maroc, Guinée, Tanzanie, Ghana, France, Belize et le Zimbabwe. Selon le FBI, il se rendait dans ces pays en compagnie de son épouse Julie Ann Small, non recherchée par la justice.

Ronald Stanley Bridgeforth a été détenu le 5 novembre 1968 dans le sud de San Francisco après avoir effectué des achats avec une carte volée, selon le FBI. Il a pris la fuite lors de l’interrogatoire, en utilisant un revolver, ajoute cette source. Une fusillade s’en est suivie et il a été blessé. Il a plaidé coupable.

L’une des missions dont est chargé le bureau du FBI qui sera prochainement installé au siège de l’ambassade US en Algérie est de tenter de retrouver les traces de ce ressortissant américain puisque signalé comme ayant voyagé dans plusieurs pays, dont l’Algérie.

Ce bureau se chargera, d’autre part, de vérifier l’authenticité des documents que pourront présenter des demandeurs de visas vers les Etats-Unis, dans le but d’empêcher d’éventuelles tentatives d’incursions terroristes aux USA. Du matériel commence à arriver à ce bureau, selon une source.

Les autorités américaines craindraient l’utilisation par des terroristes de faux documents qui pourraient leur permettre de rentrer dans ce pays.

C’est ce qui est arrivé il y a un peu plus d’une année lorsqu’un réseau de terroristes du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) sévissant à Bordj Ménaïel, a réussi à organiser la fuite de plusieurs personnes, dont des terroristes, vers l’Espagne, avec utilisation de faux documents et de faux cachets de la police de l’air et des frontières, maritimes et terres-tres.

L’enquête menée par le service central de repression du banditisme (SCRB, ex-ONRB) qui a réussi à démanteler ce réseau a révélé que ces faux sceaux ont été fabriqués en Espagne et introduits en Algérie.

Ce réseau utilisait, d’autre part et pour les mêmes buts, de faux documents consulaires, de faux visas et de faux passeports algériens et français.
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Deux colonels de l’armée malienne l’ont aidé à s’approvisionner en armes
L’Algérie demande à l’Allemagne et au Mali des renseignements sur El Para

La justice algérienne a présenté une demande officielle aux gouvernements de l’Allemagne et du Mali, afin d’auditionner des ressortissants et des trafiquants d’armes impliqués dans des activités terroristes, et qui ont un lien direct avec le dirigeant de l’ex-Groupe Salafiste pour la prédication et le combat, Amari Saïfi, connu pour avoir kidnappé des touristes européens, et entretenu des contacts avec des trafiquants d’armes au Mali.

Une source officielle a révélé à El Khabar que le juge d’instruction près la cour d’Alger a adressé une commission rogatoire à la justice allemande, où il demande à auditionner 16 ressortissants allemands, qui faisaient partie d’une équipe de 32 touristes kidnappés par Saïfi, appelé « Abderezzak El Para » dans le désert algérien au printemps 2003. Selon la source, il est apparu dans la commission rogatoire que l’Algérie désire que ces touristes l’informent des caractéristiques du groupe de ravisseurs, comme leur couleur de peau, leurs vêtements et leur âge, ainsi que leurs moyens de transport et les armes qui étaient en leur possession.
Le document du juge d’instruction a appelé les anciens otages à se constituer partie civile, s’ils le désirent.
Quant à la commission rogatoire adressée à la justice malienne, le même juge d’instruction y demande au gouvernement de Bamako des informations précises sur sept personnes impliquées dans l’approvisionnement de Saïfi en armes et munitions, et la réception de la rançon obtenue auprès du gouvernement allemand en échange de la libération des otages. La source officielle a indiqué que la liste comprend deux colonels de l’armée malienne, Sidyou Serafi et Abderrahman Ould Maydou, en plus d’une personne appelée Baba Ould Chouikh, et une autre nommée Youssef Agenni, qui était un médiateur entre Saïfi et les trafiquants d’armes de Mauritanie.
La liste des personnes recherchées par les services de sécurité algériens a été accompagnée d’une demande afin de déterminer tous les ressortissants maliens avec qui Saïfi était en contact, ainsi que les éléments du groupe Salafiste qui ont pénétré dans le territoire malien.
La source officielle a indiqué que les deux commissions rogatoires portent les noms de deux autres personnes impliquées dans le dossier d’El Para. Il s’agit de Mustapha Aït El Hadi, 46 ans, qui est en fuite, et « F.A », surnommé Oussama, incarcéré sans procès depuis cinq ans et demi

http://www.elkhabar.com/quotidienFrEn/? ... ida=110558
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INSÉCURITÉ AU SAHEL
7 chefs d’Etat en conclave début juillet

Une conférence sur la paix dans la région sahélo-saharienne, en proie à des attaques d’Al Qaîda, des rébellions et des trafics en tout genre, se tiendra «début juillet» à Bamako avec les présidents de sept pays, a annoncé, hier à Dakar, un haut responsable de l’ONU. La conférence «se tiendra au début du mois de juillet à Bamako, et réunira des chefs d’Etat de sept pays: Mali, Niger, Tchad, Burkina, Mauritanie, Libye et Algérie», a indiqué Saïd Djinnit, représentant en Afrique de l’Ouest du secrétaire général de l’ONU.

La conférence en question devrait permettre de «développer une approche commune des problèmes» en vue de proposer des «actions concrètes», a ajouté la même source lors d’un point de presse, au terme d’une réunion avec les responsables des missions de l’ONU dans la région. Une conférence sur la drogue et le crime sera organisée juste «après le sommet», a encore précisé le représentant onusien.

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Message par l'adjudant/chef »

Laigle a écrit :
krimbelkacem a écrit :Ils devraient donné l'équivalent en dons de matériels pour l' ANP !!!

C consternant après faut pas s'étonner kan nos paras se font canardé à l'arme lourde...
Negatif, mon cher Krim Belkacem
Ce n'est pas, "jai donné 8 milliosn aux haloufs, je vous donne 8 millions pour que vous la fermiez. 8 millions aux haloufs provoqueront des dégats que 800 millions à l'ANp ne réussiront pas à éviter, en raison de la nature du terrorisme.
On ne palisante plus, point final : ca fait 20 ans qu'ils sponsorisent le terrorisme, même s'ils se sont calmés par rapport à un certain moment. Plsu de 20 ans qu'isl font de l'entrisme (Cf Chadli, Cf Boutef) et qu'ils nous indiquent des voies poru tomber dans le ravin. Ca fait plus de 20 ans qu'ils distillent leur propagande pour donner un levier aux haloufs. Ca fait plus de 20 ans qu'ils pratiquent un embargo, qu'ils ont à peine levé, avec des ventes auc ompte-goutte, constamment accompagnées de "critiques propagandistes et accusatrices. ils nous balancent le boomerang qu'ils se le prennent dans la gueule pour que cela les calme.

Qu'est ce que cette lutte anti terroriste à la noix ? les hommes tombent courageusement et ceux qui devraient faire leur boulot d'empecher les blanchisseurs de haloufs ou les sponsors du terrorisme ont failli lamentablemen,t à leur tâche. on a San Egidio à El Mouradia , on a tantot l'(Allemagne, tantôt le Royaume Uni qui payent des rancons , l'autre Khadaffi, qui dans les années 96, s'était mis à disposition de la CIA pour transferer de l'argent aux haloufs, voit une de ses armueries cambriolées et cela finit chez nous aux mains des haloufs, Omar Nasiri lui, écrit clairement qu'il a main dans la main travaillé avec la DGSE et les services marocains, pas grand monde ne bronche .

C'est du grand n'importe quoi.

Alors que les haloufs sont 30 fois moins nombreux au moins qu'en 1994, on connait une période insensée.
Avec Bouteflika qui a trompé son monde et qui marche dans les pas de Chadli à une vbitesse encore plus soutenue, on a battu de bien tristes records : la plus meuriere embuscade contre un convoi de l'ANP , la plus grande embuscade contre des gardes communaux, la plus grande embuscade contre des BMPJ, des haloufs au premier rang du locataier d'El Mouradia, des haloufs qui ont du sang sur les mains blanchis alors que la maudite réconcilliation nationale l'interdit. Des haloufs qui étaient emprisonnés, condamnés, et donc, le mensonge de "on va les amnistier pour les faire descendre" ne fonctionne pas, et qui sont libérés.
Une base de l'AAF se fait attaquer et les haloufs ont le temps de déguerpir.
La vigilance est au plus bas, sauf quand ca pete à Alger . Là, les gens arretent de danser et de se gaver de pizzas pour se rendre compte qu'il y'a encore des gens qui tombent , assassinés par les haloufs.

On va où comme cela?
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anzar a écrit :
La lutte contre le terrorisme contraint l’Algérie et la Libye à un rapprochement forcé
Par zineb benzita , TSA le 01/07/2009

Depuis quelques semaines, les relations entre Alger et Tripoli connaissent un réchauffement sans précédent dans l'histoire des deux pays. Au moment où le président Bouteflika se trouve à Syrte, en Libye, pour prendre part au sommet de l'Union africaine (UA), un haut responsable militaire libyen est depuis hier, mardi 30 juin, à Alger. Le général-major Ahmed Ahmed Abdellah Aoun, coprésident de la commission mixte algéro-libyenne pour la coopération militaire et technique a été notamment reçu par Ahmed Gaïd Salah, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP).

Ces deux déplacements viennent s'ajouter à la visite surprise effectuée le 17 juin par le président Bouteflika à Tripoli après une invitation transmise en mai dernier par le fils du président libyen Saif El Islam Kadhafi. Ce dernier avait effectué un long séjour à Alger durant lequel il a été reçu par plusieurs hauts responsables algériens, dont le président Bouteflika.

Sur le terrain, ce rapprochement s'est déjà concrétisé par un renforcement de la coopération militaire entre les deux pays, notamment au niveau de leurs frontières pour faire face à l'activité des groupes armés du GSPC, devenu Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). La semaine dernière, l'armée algérienne a déjoué une importante opération de trafic d'armes dans le Sahara algérien conduite par des terroristes du GSCP. Selon une source militaire algérienne, cette opération a été menée grâce aux précieux renseignements fournis par les Libyens.

La coopération militaire entre Alger et Tripoli devrait s'accélérer dans les prochains mois. En réalité, elle est au cœur de ce rapprochement forcé entre les deux voisins. Un rapprochement qui devrait contribuer à pousser les deux pays à trouver des solutions aux autres problèmes qui continuent d'empoisonner les relations bilatérales.
http://www.tsa-algerie.com/La-lutte-con ... _7329.html
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Message par l'adjudant/chef »

Laigle a écrit :
montoya a écrit :bonjour aucune confiance aux libyens
Ni aux autres.

Il ne faut jamais oublier certaines choses:
:arrow: Ils nous ont planté le couteau dans le dos, ou plutôt, ils ont participé à mettre le couteau dans la main des haloufs, et je ne parle pas uniquement des libyiens qui ont rencontré les américains en 1996 pour faciliter le financement des haloufs.
:arrow: Les blablas sur la lutte anti terroriste repose sur des mensonges. Primo: qu'est ce qui aurait décidé les premiers bailleurs de fonds du terrorisme, à savoir l'occident colonial (je fais allusions aux cercles de pouvoir) à lutter contre?
Absolument rien. Le changement de dialéctique s'est opérée juste après le lancé d'une stratégie décrite par le PNAC, avec comme coup de feu, le 911. 911 qu'il suffit d'analyser factuellement, sans préjugés, pour comprendre sa véritable nature. Les négasionistes qui ont fait le "qui tue qui?", l'un des axes de la stratégie de déstabilisation de l'Algérie, se sont non seulement bien gardé de présenter la quetsion objectivement, mais ont toujours cherché à faire perdurer le mythe.
:arrow: les discours "on va vous aider" semble être beaucoup plus être des promesses très médiatisées, visant à nous mettre la tête en pleines conséquences de la stratégie de la "war on terror", et ainsi, redonner un coup de fouet aux haloufs qui tels les paraistent qu'ils sont, ont profité des mouvements de résistance aux invasions pour faire un appel d'air , plutôt qu'une aide concrête et conséquente, qui en fait, ne se limite qu'à des bibelots. D'où le changement de nom de GSPC en Al Quaida Maghreb, les haloufs profitant du ****** dévellopé depuis 2001.
:arrow:
Avez vous entendu les occidentaux contester la violation de la Constitution et les atteintes ?
Avez vous entendu contester la maudite "réconciliation nationale" ?
Bien sur que non.

Donc, en terme de coopération, faut prendre ce qu'il y'a à prendre, mais la plus grande erreur, celle qui est constamment commise, c'est d'avaler des couleuvres et surtout, de ne pas maitriser sa communication et laisser les autres parler à sa place. Car c'est alors eux qui vous positionnent dans le jeu, en accord avec leur stratégie.
Exemple : l'assassinat de nos 2 diplomates a été légitimée par les haloufs par un discours kitukiste.
Or, quand vous avez le premier magistrat qui reprend exactement la communication diffusée par ces milieux là "guerre civile" , c'est raté.
A la limite, y'a eu un iraquien, chef d'un groupe de résistance, qui a fait du meilleur boulot que beaucoup.
D'origine Algérienne, il a pris le soin de qualifier clairement qu'il ne fallait pas associer les haloufs d'apostats de tangos aux mouvements de résistance. C'est une volonté de couper l'appel d'air aux haloufs efficace que certains, visiblement, ne sont pas capables de maitriser.
Son interview a été postée il y'a longtemps sur le forum.
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Message par l'adjudant/chef »

Invité a écrit :
Les pays du Sahel, terrain de jeu des islamistes armés

Depuis son ralliement à la nébuleuse d'Oussama Ben Laden, l'ex-GSPC algérien multiplie ses opérations dans la bande sahélo-saharienne.

Les pays du Sahel, moins aguerris que l'armée algérienne à la lutte antiterroriste, semblent devenus le terrain de prédilection d'al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Implanté à l'origine en Kabylie, le mouvement, issu du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), y multiplie depuis quelques années ses opérations. Dans ces vastes étendues désertiques, il dispose de nombreuses bases de repli qui le rendent quasi invulnérable. Si Aqmi ne renonce pas à frapper en Algérie, en Tunisie ou au Maroc, il fait de plus en plus parler de lui au Niger, au Mali et en Mauritanie, signe qu'il a réussi à s'internationaliser.

Le premier fait d'armes des salafistes dans le Sahara, à l'époque sous la bannière du GSPC, remonte à 2003, avec l'enlèvement de 32 touristes européens. Au départ, ces prises d'otages occidentaux visaient surtout à obtenir des rançons qui permettaient de financer l'achat d'armes. Depuis son ralliement à l'internationale terroriste d'Oussama Ben Laden, l'ex-GSPC, devenu Aqmi, en a adopté aussi certains modes opératoires : des attentats suicides ou des exécutions d'otages. Ainsi, début juin, Edwin Dyer, un touriste britan­nique enlevé quatre mois plus tôt à la frontière entre le Mali et le Niger, a été assassiné par ses ravisseurs à l'expiration d'un ultimatum pour obtenir la libération d'un prédicateur islamiste.

Un ancien d'Afghanistan

Si l'on en croit l'organigramme qu'il a rendu public sur des sites islamistes, Aqmi disposerait d'une structure pyramidale, avec un «conseil exécutif» dirigé - depuis l'Algérie - par l'émir Abdelmalek Droukdel, ingénieur à l'état civil et ancien d'Afghanistan. Droukdel aurait réussi à fédérer l'ensemble des groupuscules agissant dans la région, mélange d'islamistes purs et durs et de bandits de grand chemin. La bande sahélo-saharienne serait aujourd'hui dirigée par Yahia Djouadi, alias Yahia Abou Ammar, et son adjoint Abdelhamid Abou Zeïd, qui détenait Edwin Dyer.

Sous la houlette des États-Unis et de la France notamment, principales bêtes noires d'al-Qaida, les pays frontaliers tentent de mettre en commun leurs moyens militaires et de renseignement pour combattre l'insécurité dans la bande sahélo-saharienne, que le tourisme et les sites pétroliers ont rendue attractive pour les groupes islamistes armés. Avec des résultats mitigés jusqu'ici.

Source : http://www.lefigaro.fr/international/20 ... armes-.php
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

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scorpion-rouge35 a écrit :
L'ONU enquête sur les prisons secrètes en Algérie
Par sonia lyes , le 07/09/2009

Le Comité des droits de l'Homme de l'Organisation des nations unies (ONU) s'intéresse une nouvelle fois au dossier des prisons secrètes en Algérie. Selon nos informations, plusieurs organisations algériennes de défense des droits de l'Homme ont reçu récemment une correspondance des membres du Comité contenant un questionnaire sur le sujet. Cette démarche s'inscrit dans le cadre de la préparation du rapport annuel du Conseil onusien sur la situation des droits de l'Homme en Algérie. Selon nos sources, le gouvernement algérien n'a pas été destinataire du questionnaire.

Ce n'est pas la première fois que l'ONU s'intéresse à ce dossier sensible. Déjà en novembre 2007 puis en mai 2008, le comité des droits de l'Homme ONU avait évoqué l'existence de ces «centres secrets». Dans ses observations finales publiées à l'issue de l'examen périodique de la situation en Algérie, le Comité s'est dit «préoccupé par les nombreuses informations non gouvernementales faisant état de l'existence de centres secrets de détention, qui se trouveraient à Houch Chnou, Oued Namous, Reggane, El-Harrach et Ouargla».

Des accusations réfutées par les autorités algériennes. Le président de la Commission nationale consultative de promotion des droits de l'homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini, avait qualifié les informations rapportées par le Comité des droits de l'homme de l'ONU à Genève d'«affabulations à haut débit et qui relèvent de la bouffonnerie». « Il n'y a pas en Algérie des centres de détention secrets et de pratique de la torture, ni pour les citoyens ordinaires ni pour les terroristes», avait-il indiqué.

Pour sa part, dans une déclaration à TSA, un haut responsable algérien qui a requis l'anonymat s'est dit étonné par la nouvelle démarche de l'ONU surtout que les autorités algériennes n'ont pas été consultées pour donner leur version. Selon lui, l'ONU, à travers cette démarche, tente de porter atteinte à l'image et la réputation de l'Algérie.


:roll:
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

Message par l'adjudant/chef »

scorpion-rouge35 a écrit :la proposition de l'agerie a l'onu a était adopté , c'est coup dure pour le financement du terrorisme dans le monde

Le Conseil de sécurité de l’ONU adopte une résolution dans ce sens
Le paiement de rançon criminalisé
Par : Djilali Benyoub


Le but est de tarir les sources de financement du terrorisme qui a su contourner les deux premières résolutions (1373 et 1267) qui avaient ciblé les comptes bancaires utilisés par les terroristes.

Le Conseil de sécurité de l’Onu a adopté le 17 décembre une troisième résolution sur le terrorisme, complétant ainsi le dispositif juridique de lutte contre les formes et les sources de son financement.
La résolution 1904, portant sur “les menaces contre la paix et la sécurité internationales résultant d’actes terroristes”, est un texte contraignant puisqu’il criminalise le paiement des rançons pour la libération des otages.
Le Conseil de sécurité a d’ailleurs réaffirmé sa préoccupation “par la multiplication des enlèvements et des prises d’otages auxquels se livrent les personnes, les groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda, à Oussama Ben Laden ou aux talibans dans le but de lever des fonds ou obtenir des concessions politiques”.
Le but de cette résolution est de tarir les sources de financement du terrorisme. Terrorisme qui a trouvé en les enlèvements et prises d’otages le moyen de contourner les deux premières résolutions (1373 et 1267) qui ont ciblé les comptes, fonds des terroristes en obligeant les États membres à les bloquer.
Cela était d’autant plus insuffisant que les groupes opérant sous le label Al-Qaïda ont fait de l’enlèvement une activité destinée principalement à la collecte d’argent pour poursuivre leurs actions terroristes. Ce qui explique la multiplication de ces actes, notamment dans la région sahélienne.
Ce nouveau texte juridique a été proposé par l’Algérie, dont la diplomatie a déployé tous ses efforts pour sensibiliser ses partenaires et convaincre les membres du Conseil de sécurité. D’ailleurs, estime Alger, le paiement de rançons équivaut à une contribution au financement du terrorisme. Est également mise à l’index l’attitude conciliante de certains États perçue comme un encouragement aux preneurs d’otages.
La démarche algérienne est passée par deux étapes avant d’aboutir au Conseil de sécurité qui a adopté la proposition, convaincu de la réelle menace terroriste sur laquelle l’Algérie n’a pas cessé d’alerter la communauté internationale.
L’Algérie a d’abord pris l’initiative de soumettre son projet à la conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’UA lors du 13e sommet de Syrte (Libye), en juillet dernier, qui l’a adopté avec une demande à la communauté internationale de criminaliser le paiement de rançons aux groupes terroristes avec un appel au Conseil de sécurité pour adopter une résolution contraignante et complémentaire de la 1373 et la 1267 de l’ONU. La campagne de sensibilisation se poursuivra auprès des pays membres du mouvement des Non-Alignés réunis à Charm Echeikh le 15 juillet dernier pour élargir le cercle de soutien de la résolution auprès de l’ONU.
Et le résultat fut l’adoption d’une résolution sur la base des propositions algériennes criminalisant le paiement des rançons.
Évidemment, l’Algérie s’est félicitée de cette adoption qu’elle considère comme une victoire de sa diplomatie.
Toutefois, la réalité et l’attitude complaisante de certains pays démontrent le contraire des engagements pris. Les récents cas d’enlèvement opérés par les groupes terroristes dans la zone du Sahel affiliés à Al-Qaïda et la manière dont sont menées les tractations pour la libération des otages confortent cette lecture. En effet, comme premières actions, Espagnols, Français et encore avant-hier Italiens se sont mis à la recherche de “contacts” pour négocier la libération de leurs ressortissants enlevés par le groupe du GSPC devenu Al-Qaïda Maghreb islamique, de la région sud et détenus, selon des sources, au nord du Mali. L’on soupçonne également “la main molle de Bamako” d’être, malgré ses engagements fermes, un acteur négatif et de jouer l’intermédiation entre les capitales européennes, d’où sont originaires les otages et le groupe d’Abou Zeid. De l’Europe, seuls les Anglais refusent de payer les rançons, et ils ont perdu le citoyen Dyer, exécuté par les terroristes.

Djilali B.
http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=127244
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elias a écrit :
Les Etats-Unis souhaitent renforcer la coopération militaire avec les forces aériennes algériennes
Hier, 20h12

Les forces aériennes des Etats-Unis souhaitent renforcer la coopération militaire avec les forces aériennes algériennes à travers la mise en place d'une stratégie commune, a déclaré mardi à Alger le Major général Ronald Ladnier, commandant des forces aériennes américaines en Afrique.

"Nous devons commencer, par souci d'efficacité, par mettre en place une vision stratégique avec l'Algérie en la matière", a précisé Ronald Ladnier, qui se trouve à Alger depuis mardi pour une visite de trois jours.

Le responsable militaire américain a encore indiqué que sa visite en Algérie avait pour objectif de "s'assurer que nous sommes tous sur la même longueur d'ondes au moment où nous construisons un plan d'engagement pour l'avenir".

Evoquant par ailleurs le rôle de l'Algérie dans la région, il a souligné que son pays "apprécie le rôle de leader de l'Algérie dans la région en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme qui affecte de nombreux pays du Maghreb et du Sahel".

"Nous sommes prêts à travailler avec l'Algérie pour assurer la stabilité et à faire face à ces menaces", a poursuivi le Major général Ronald Ladnier en rappelant que "l'Algérie et les Etats-Unis sont liés par une longue histoire d'amitié que son pays souhaite poursuivre".

Le commandement des forces aériennes américaines en Afrique est la composante aérienne d'Africom.

Fin novembre, William Ward, patron de l'Africom, avait effectué une visite en Algérie pour évoquer avec les responsables militaires algériens la coopération militaire et la lutte contre le terrorisme. AP

yahoo.com
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numidia a écrit :
Après la décision du Mali de libérer quatre terroristes: Alger et Nouakchott en colère

par Zahi Bira
Nouakchott et Alger ne décolèrent pas après la décision de Bamako d'élargir, sous pression de la France, quatre membres du GSPC-AQMI deux Algériens, un Mauritanien et un Burkinabé après une parodie de procès.

Un bon coup pour l'AQMI et un précédent qui rend dérisoire le discours occidental alarmiste sur la «zone grise» du Sahel.

Les deux pays ont décidé de rappeler leur ambassadeur au Mali pour signifier qu'ils ne sont pas dupes. Alger a également décidé de convoquer l'ambassadeur malien pour demander des explications. Dans cette affaire, le Mali est un protagoniste officiel. Mais il n'est pas le seul. Tout le monde sait ou pressent que le gouvernement malien a décidé d'élargir les quatre activistes de l'AQMI sous la pression des autorités françaises qui cédaient ainsi aux exigences formulées par l'organisation terroriste. Formellement, ni Nouakchott, ni Alger ne peuvent faire des reproches publics au gouvernement français même s'ils n'en pensent pas moins. Ainsi qu'on l'a déjà noté, hier, l'affaire de la «libération judiciaire» des quatre membres de l'AQMI au Mali est bel est bien un nouveau contentieux entre Alger et Paris. Les deux émissaires français reçus par Ahmed Ouyahia n'ont de toute évidence pas convaincu Alger de faire profil bas sur cette affaire. La dénonciation publique algérienne, exprimée avec vigueur, de la décision malienne s'adresse implicitement au gouvernement français aussi dont la fermeté vis-à-vis du terrorisme est clairement à géométrie variable. Alger a pris la mesure la plus forte possible, un rappel de l'ambassadeur algérien à Bamako, ce qui, dans les usages, est l'avant-dernière étape avant la rupture des relations diplomatiques. Le communiqué du ministère algérien des Affaires étrangères tance vivement le gouvernement malien qui a décidé de libérer «quatre terroristes qu'il détenait sous le prétexte fallacieux qu'ils ont été jugés et ont purgé leur peine».

Le discours occidental sur le Sahel n'est plus crédible

Il «condamne et dénonce avec force cette attitude inamicale du gouvernement malien, qui a fait fi de la Convention bilatérale de coopération judiciaire, signée par les deux pays, et au nom de laquelle, la demande d'extradition des deux ressortissants algériens, poursuivis par la justice algérienne pour des actes terroristes, a été formulée en septembre 2009 et réitérée en février 2010». Le communiqué algérien évoque également les engagements internationaux et les résolutions «contraignantes» du Conseil de sécurité en matière de lutte contre le terrorisme qui ont été «violés» par le gouvernement malien. La France, qui a si lourdement pesé dans la décision «judiciaire» du Mali, a elle aussi, et de fait, violé ces engagements internationaux. L'affaire ne peut qu'alourdir des rapports algéro-français déjà passablement difficiles. Pour le gouvernement algérien, le choix de céder aux exigences de l'AQMI, que ce soit pour libérer des détenus ou pour payer des rançons, ne peut que renforcer l'organisation terroriste. Le gouvernement algérien le constate avec gravité : l'AQMI, vient de marquer un coup. Selon lui, la libération par le Mali de terroristes recherchés par des pays voisins est « un développement dangereux pour la sécurité et la stabilité dans la région sahélo-saharienne et sert, objectivement, les intérêts du groupe terroriste activant dans la région sous la bannière d'Al-Qaïda».

La coopération régionale bizutée

A sa manière, Alger prend à défaut un discours occidental qui présente la région du Sahel comme une zone grise, une sorte de nouveau Waziristan ou d'une nouvelle Somalie qui justifierait une présence militaire occidentale. Or, en choisissant d'obéir aux ultimatums et en payant les rançons pour libérer des otages, les Etats occidentaux contribuent à l'enracinement de l'AQMI dans la région. Les Américains, qui excellent dans ces pressions et qui reprochent aux gouvernements de la région de ne pas coopérer suffisamment contre le terrorisme, devraient sans doute commencer par en discuter avec l'allié français. Paris va sans doute avoir la satisfaction d'obtenir la libération de l'otage français. Mais, son intrusion dans la ligne se fait au détriment d'une coopération régionale contre le terrorisme qui avait été scellée le 12 août 2009, par une réunion des chefs des armées, algérien, mauritanien, malien et nigérien, à Tamanrasset. La réunion avait eu pour but d'étudier «ensemble les voies et moyens de consolider la coopération autour d'une lutte commune contre la criminalité qui sévit au niveau des bandes frontalières et, plus particulièrement, le terrorisme». Le Mali, sous influence française, a oublié ses engagements. La coopération sécuritaire régionale et même internationale vient de prendre un coup. Dans les états-majors des pays de la région, des réévaluations de cette «coopération antiterroriste» vont devoir se faire.
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5134389
pour arriver à:
Mali: Al-Qaïda libère un otage français sur fond de crise diplomatique

Mis en ligne le 23/02/2010 à 22h18
BAMAKO (AFP)
La branche maghrébine d'Al-Qaïda a libéré mardi l'otage français qu'elle détenait depuis
dans le nord du Mali, peu après après avoir obtenu de Bamako la remise en liberté de quatre islamistes.

"Pierre (Camatte) a été libéré. Il se porte bien, c'est le plus important", a déclaré par téléphone à l'AFP l'un des principaux négociateurs maliens, sous couvert de l'anonymat, mardi en début de soirée.
Les autorités françaises ont confirmé un peu plus tard la libération de M. Camatte, 61 ans.
Lors d'une conversation téléphonique, le chef de l'Etat Nicolas Sarkozy "a remercié chaleureusement le président (malien) Amadou Toumani Touré pour la gestion de cette crise et l'a assuré du soutien de la France dans la lutte contre le terrorisme", a indiqué un communiqué de l'Elysée.

Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a précisé que M. Camatte était "actuellement en route vers Bamako d'où il regagnera la France", selon un communiqué de son ministère.
Camatte avait été kidnappé en pleine nuit le 26 novembre 2009 dans un hôtel de Ménaka (nord-est) par des Maliens de la région qui l'auraient ensuite "vendu" à Aqmi, selon des sources maliennes.
Depuis, il aurait été retenu par le groupe de l'Algérien Abdelhamid Abou Zeïd, responsable de l'assassinat en juin 2009 d'un touriste britannique, l'otage Edwin Dyer.
Il a été libéré dans le grand nord du Mali, dans la région de Kidal, selon ce négociateur.
Le frère et la compagne de Pierre Camatte ont exprimé leur joie à lannonce de sa libération.
"On a passé trois mois difficiles, mais on avait confiance. On attend juste de le retrouver", a indiqué Jacky Camatte à lAFP.
"Je ne sais pas encore quand je vais le revoir, ni ce que je vais lui dire, mais cest formidable", a précisé sa compagne.
La libération de l'otage français survient sur fond de crise diplomatique entre le Mali et deux pays voisins. L'Algérie et la Mauritanie ont en effet décidé de rappeler, chacun, leur ambassadeur à Bamako pour protester contre la remise en liberté de présumés terroristes algériens et mauritanien.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui retient par ailleurs toujours cinq autres otages européens, avait menacé de tuer Pierre Camatte si elle n'obtenait pas la liberté de ces quatre islamistes (deux Algériens, un Burkinabè, un Mauritanien).
Lundi, un conseiller du président malien Amadou Toumani Touré avait justifié ces remises en liberté en expliquant : "Nous étions confronté à un problème: comment tout faire pour sauver la vie du Français".
Mais, dans les pays voisins, cette attitude a été critiquée comme une faiblesse inacceptable face au terrorisme.

Comme la Mauritanie l'avait fait lundi, l'Algérie a décidé mardi de rappeler, "pour consultation", son ambassadeur à Bamako.
La décision de Bamako de libérer "des terroristes recherchés par des pays voisins est un développement dangereux pour la sécurité et la stabilité dans la région sahélo-saharienne et sert, objectivement, les intérêts du groupe terroriste s'activant dans la région sous la bannière d'Al-Qaïda", a déclaré le ministère algérien des Affaires étrangères.
En Mauritanie, le porte-parole du parti au pouvoir (Union pour la République, UPR), Saleh Ould Dehmache, a jugé que la décision malienne n'avait "pas été bien calculée", car "elle encourage et rétribue les forfaits de ces groupes hors-la-loi qui menacent la paix dans toute la région
".

Les cinq otages européens toujours détenus dans le désert malien ont été capturés sur le territoire mauritanien: trois Espagnols le 29 novembre puis un couple d'Italiens le 17 décembre.
http://www.lalibre.be/toutelinfo/afp/26 ... tique.html
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Message par l'adjudant/chef »

souf a écrit :http://www.elkhabar.com/quotidienFrEn/l ... 31&idc=103
Alors que qu’une réunion des chefs de corps de renseignement des pays du Sahel prévue demain à Alger
Création d’une cellule de renseignement pour le suivi des activités de l’AQMI


Les chefs des corps de renseignement des trois pays du Sahel, le Mali, le Niger et la Mauritanie, se réuniront demain en Alger. Cette rencontre a pour but la mise en œuvre de l’action militaire et sécuritaire dans la région Sahélo-saharienne. Une cellule de renseignement chargée du suivi des activités des salafistes armés sera créée lors de cette réunion.
Selon une source bien informée, les délégations des services de renseignement des trois pays du Sahel les plus concernées par les menaces d’Al Qaida, sont arrivés hier à Alger, en vue de prendre part à cette réunion, soulignant que les attachés de défense des ambassades des pays cités ont tenu hier une réunion de préparation celles qui sera tenue par les chefs des corps de renseignements, s’étalant sur deux jours.
La cellule de renseignement à créer sera chargée du suivi des activités des terroristes affiliés à l’AQMI, à travers la mise sous écoute de leurs appels et le recrutement des individus qui connaissent bien le Sahara afin de pouvoir traquer les terroristes, soutient la même source, signalant que cette cellule vient compléter le Comité des états major conjoint des pays du Sahel dont l’Algérie, crée en avril dernier, et basé à Tamanrasset. D’ailleurs, cette cellule qualifiée par les chefs de renseignements des pays du Sahel de « la tête pensante » du Comité des états major conjoint des pays du Sahel, sera basée aussi à Tamanrasset.
Il y a lieu de signaler que la coopération sécuritaire entre les pays du Sahel a été secouée par deux coups durs. Le premier, la Mauritanie a demandé un soutien militaire de la France pour mener un raid contre Al Qaida au Mali, alors que le deuxième se rapporte aux pressions exercées par l’Espagne pour la libération des deux otages espagnols, contre la remise du notoire terroriste Omar Sahraoui pour le Mali.
Je ne sais pas si ça va aboutir à quelque chose ?? ça va être comme la 1ère fois
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