Tensions au Maghreb : Quel rapport de force en cas de conflit ?

[khairou]

En Afrique du Nord, une course aux armements en avions de chasse, avec la Russie et les États-Unis de part et d'autre

Bien qu'il ne fasse pas le tour de Washington comme l'une des grandes rivalités géopolitiques de l'époque, les tensions entre le Maroc et l'Algérie sont réelles et se sont intensifiées ces dernières années grâce à un différend sur le Sahara occidental, que le Maroc prétend être son propre territoire, tandis que l'Algérie soutient le groupe rebelle du Front Polisario basé à Tindouf.

En conséquence, les deux nations ont commencé à investir massivement dans leurs armées – et plus particulièrement dans des systèmes aéroportés capables de se contrer.

Désormais, une course aux armements dans l'aviation pourrait être encore aggravée par le besoin pour la Russie de trouver des exportations de défense à la suite de son invasion de l'Ukraine et des sanctions qui en découlent. L'Algérie, un client militaire de longue date de la Russie, pourrait soudainement voir des tarifs plus bas pour le Su-57, voire devenir le premier client à l'exportation pour le Su-75 Checkmate.

"À ce stade, en tant que l'un des plus gros clients mondiaux de l'armement russe, il est probable que l'Algérie puisse éventuellement acquérir la technologie de pointe russe que Moscou cherche à exporter", a déclaré Samuel Bendett, membre du programme d'études russes du CNA et adjoint. chercheur principal au Center for a New American Security, a déclaré à Breaking Defense. "Cela peut inclure le Su-57 sur toute la ligne, mais il est également probable que l'Algérie commence à importer le chasseur Su-75 Checkmate , une fois qu'il entrera en production, compte tenu de la mesure dans laquelle Moscou cherche à exporter sa nouvelle technologie militaire."

À son tour, le Maroc cherche à renforcer ses propres moyens aériens avancés, en dépensant massivement pour des jets et des hélicoptères de fabrication américaine.

« Il semble que les deux pays cherchent à renforcer leurs capacités militaires avec de nouvelles technologies, y compris l'armée de l'air. Compte tenu de la géographie régionale où se trouvent les deux pays – vaste territoire, longues distances – les capacités de l'armée de l'air sont cruciales pour la surveillance, l'ISR et le combat », a déclaré Bendett.

Montée des tensions dans la région

Les tensions entre les deux pays mijotent depuis des années, mais se sont intensifiées en décembre 2020 après que le Maroc a normalisé ses relations avec Israël et que les États-Unis ont reconnu la souveraineté du royaume sur le Sahara occidental.

En août 2021, l'Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc, après ce qu'elle a qualifié "d'actions hostiles de son voisin le plus peuplé avec lequel elle entretient des relations tendues depuis des décennies". Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramdane Lamamra, a accusé le Maroc d'utiliser le logiciel espion Pegasus contre ses responsables, de soutenir un groupe séparatiste et de manquer à ses engagements bilatéraux, notamment sur la question du Sahara occidental.

Ces derniers mois, les attaques verbales entre les deux pays se sont multipliées. En janvier, le roi Mohammed VI du Maroc a déclaré la création d'une nouvelle "zone militaire orientale" le long de sa frontière avec l'Algérie, une décision décrite dans les médias comme "une déclaration d'intention destinée à indiquer que le Maroc est prêt à faire face à toute provocation militaire de son voisin oriental". .” Et il y a quelques semaines à peine, l'Algérie a suspendu un traité de coopération vieux de deux décennies avec l'Espagne, après que Madrid ait soutenu la position du Maroc sur le Sahara occidental contesté.

Avec de tels accords et intérêts de défense, existe-t-il un potentiel réel de conflit armé entre les deux pays ?

"Auparavant, j'aurais affirmé qu'il n'y avait pas une telle possibilité, mais après l'invasion russe de l'Ukraine avec toutes ses implications géostratégiques et l'escalade du discours algérien envers le Maroc, les possibilités sont élevées pour un tel conflit", a déclaré Abdel Hamid Harfi, un militaire marocain. expert, a déclaré à Breaking Defense.

Harfi a déclaré qu'une guerre à grande échelle entre les deux pays est hautement improbable, à la fois en raison de leurs ressources économiques limitées et parce qu'ils sont situés aux frontières sud de l'Europe, ce qui signifie que les pays européens interviendront pour arrêter un tel scénario.

"Mais la probabilité est élevée pour des escarmouches frontalières entre les deux pays", a-t-il averti.

Objectifs de cinquième génération pour les deux nations

Selon un rapport d'avril 2022 de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, les deux pays dépensent beaucoup pour la défense.

Le rapport indique que, bien que les dépenses militaires algériennes aient fortement diminué par rapport aux années précédentes, elles se sont stabilisées en 2021 à 6,1 %, alors que l'Algérie disposait d'un total de 9,1 milliards de dollars de dépenses militaires. De son côté, le Maroc avait augmenté ses dépenses militaires de 3,4 % avec un total de 5,4 milliards de dollars en 2021.

Ce ne sont pas des totaux énormes selon la norme américaine, mais à titre de comparaison, 3,4 % du PIB dépasseraient les dépenses de défense de tous les pays de l'OTAN, à l'exception de la Grèce et des États-Unis ; 5,4 milliards de dollars, c'est plus que ce que le Danemark, la République tchèque ou la Lituanie ont dépensé en 2021. Le total de l'Algérie la place au 26e rang mondial en termes de dépenses de défense, selon le SIPRI.

Il y a de l'argent réel dépensé, et il est dépensé dans les deux pays, principalement l'un à la suite de l'autre – Moscou et Washington étant les principaux bénéficiaires.

La coopération de défense russo-algérienne remonte à l'Union soviétique, mais s'est renforcée ces dernières décennies.

« Très tôt, le président russe Vladimir Poutine a adopté une vision stratégique à long terme de la relation de vente d'armes entre la Russie et l'Algérie », a déclaré à Breaking Michaël Tanchum, chercheur non résident au Middle East Institute et chercheur principal à l'Institut autrichien de politique européenne et de sécurité. La défense. « En 2006, Poutine a annulé la dette militaire algérienne de 4,7 milliards de dollars de l'ère soviétique en échange d'une promesse d'acheter 7,5 milliards de dollars de nouvelles armes russes à l'avenir. Lorsque les revenus du pétrole et du gaz naturel de l'Algérie ont augmenté, Alger est devenu le troisième client de la Russie.

En conséquence, "les arsenaux de l'Algérie regorgent d'armes russes relativement éprouvées, moins chères et éprouvées", a déclaré Bendett. Parmi eux, une flotte d'avions de chasse vieillissants Su-30, MiG-29, Su-24 et MiG-25.

Ces dernières années, l'Algérie a manifesté un intérêt fréquent pour l'achat du Su-57, le chasseur russe de cinquième génération de Sukhoi, et le point de vente russe Sputnik a rapporté en novembre 2020 que l'Algérie avait acheté 14 chasseurs Su-57 à Moscou pour une valeur de 2 milliards de dollars, avec des livraisons prévues d'ici 2025. (La Russie a confirmé en février 2021 qu'une première demande étrangère de SU-57 avait été reçue mais n'a pas précisé qui était l'acheteur.)

Les deux pays ont annoncé en mai 2022 qu'ils envisageaient de développer leur coopération militaire, avec des exercices militaires conjoints prévus en novembre prochain dans le désert algérien. Cela fait de l'Algérie l'un des rares pays à soutenir la Russie depuis son invasion de l'Ukraine en février.

CONNEXES: Le Maroc s'apprête à devenir un centre de maintenance pour les F-16 et les C-130

Le Maroc, pour sa part, a beaucoup acheté ces dernières années à l'industrie de défense américaine. Rabat a signé un contrat pour 25 avions F-16C/D Block 72 en février 2019, et l'armée de l'air royale marocaine s'attend à ce que la livraison du nouvel avion débute en 2025. De plus, le Maroc a signé un contrat avec Boeing en juin 2020, pour 24 de ses hélicoptères AH-64 Apache, les livraisons devant commencer d'ici 2024.

Pendant ce temps, le Maroc et les États-Unis mènent les plus grands exercices militaires en Afrique, African Lion 2022, qui, pour la première fois en 18 éditions, comptait quatre théâtres d'opérations : le Maroc, la Tunisie, le Ghana et le Sénégal.

Il est plus difficile de savoir si le Maroc poursuivra un jet de cinquième génération. Il y a eu des informations selon lesquelles Rabat est intéressé, et le site Internet israélien JaFaj a affirmé en janvier 2022 que lors d'une visite du ministre israélien de la Défense Benny Gantz au Maroc, son homologue marocain avait demandé de l'aide pour obtenir des F-35 des États-Unis.

Cependant, il n'y a eu aucune demande officielle de Rabat aux États-Unis concernant le F-35, et Harfi pense que tout objectif d'obtenir le F-35 devrait être un objectif à long terme.

"Le Maroc n'a pas l'intention à court et moyen termes d'acheter des F-35 pour de nombreuses raisons", a déclaré Harfi. "Premièrement, le Maroc a deux gros contrats d'avions de combat pour des hélicoptères F-16 Block 72 et Apache à recevoir d'ici 2025, il n'a donc pas les capacités financières et l'infrastructure nécessaires pour d'autres achats importants. De plus, les F-16 Block 70 et 72 améliorés ont des capacités opérationnelles similaires à celles du F-35, de sorte que l'armée de l'air n'a pas un besoin urgent de chasseurs de cinquième génération.

Pour sa part, Bendett a noté que les combattants haut de gamme peuvent consommer rapidement un budget de défense.

Selon Bendett, "Cela conduit à se demander si une telle course est en fait durable, compte tenu de la hausse des prix de la technologie militaire moderne et de la politique intérieure, de l'économie et des affaires intérieures de chaque pays."

Autres fournisseurs pour les deux nations

Bien sûr, la Russie et les États-Unis ne sont pas les seuls fournisseurs d'armes que les deux pays peuvent envisager lorsqu'ils étendent leurs arsenaux aériens. Et il y a des raisons de penser que Washington et Moscou pourraient avoir du mal à tirer profit des tensions entre le Maroc et l'Algérie.

Pour le Maroc, les délais d'approbation tristement longs par les États-Unis pour les ventes de défense, et les conditions politiques associées que Washington impose à ses armes, signifient qu'ils pourraient envisager d'autres options.

« Il y a une tendance plus large parmi les États arabes de la région MENA à rechercher des systèmes d'armes stratégiquement importants lorsque les États-Unis sont moins ouverts. Outre l'Allemagne, la France et l'Italie, la Turquie et Israël sont devenus des fournisseurs clés de technologies d'armement de pointe », a déclaré Tanchum.

Il a ajouté que dans certaines circonstances, des pays se sont tournés vers la Chine pour fournir des technologies sensibles car Pékin, contrairement à la Turquie et à Israël, n'est pas contraint par son étroite coopération en matière de sécurité avec les États-Unis.

Pour l'Algérie, Moscou est susceptible de rester heureux de vendre des armes avec peu de conditions - mais l'industrie russe se débat puissamment et pourrait ne pas être en mesure de livrer la marchandise. Et contrairement à un pays comme la Syrie, par exemple, où la Russie est le seul vrai jeu en ville, l'Algérie pourrait avoir des options.

Une fois de plus, la Chine pourrait devenir un plus grand fournisseur dans la région, a prédit Bendett, notant qu'elle "pourrait devenir un important fournisseur d'armes au Moyen-Orient si les armes russes ou américaines ne sont pas disponibles pour une raison quelconque - c'est-à-dire que Pékin pourrait commencer à fournir une plus grande part d'armes et de systèmes au-delà de ses drones de combat qui volent déjà dans la région.

L'Algérie s'intéresse actuellement à la production locale en série du train d'entraînement L-39NG, produit par la société tchèque Aero Vodochody. La plate-forme L-39 est à l'origine l'entraîneur des chasseurs de l'Est, et 30 entraîneurs L-39 sont encore actuellement opérationnels avec l'armée de l'air algérienne.

La portée spécifique des travaux pour la coopération industrielle ou la production en série du L-39NG n'a pas encore été discutée entre AAF et AVA jusqu'à présent. Cependant, l'Algérie étant un utilisateur si important de la plate-forme L-39 dans le passé, nous voyons naturellement un très grand potentiel pour le L-39NG. Si l'intérêt et le volume sont suffisamment importants, Aero est expérimenté et proposera un transfert partiel de travail partagé à une entité industrielle locale. Tout dépend des exigences du client et de la capacité de l'industrie locale, que nous pensons être élevée », a déclaré Filip Gunnar Kulštrunk, vice-président des ventes et du marketing chez Aero Vodochody, à Breaking Defense.

https://breakingdefense.com/2022/07/in- ... ther-side/

[motu]

Article basé sur les infos disponibles sur FDZ ,il serait mieux à sa place dans le topic consacré à l'AAF car je ne vois pas en quoi alimenter cette discussion sans en référer aux aviations des deux pays qui sont déjà largement documentés dans leurs topics dédiés

[Yugurten]

Je dirai plutôt à déplacer au topic algerian bashing

Cela fait de l'Algérie l'un des rares pays à soutenir la Russie depuis son invasion de l'Ukraine en février.

[kaci]

Je dirai plutôt à déplacer au topic algerian bashing

Cela fait de l'Algérie l'un des rares pays à soutenir la Russie depuis son invasion de l'Ukraine en février.

ya khi tmessekhir, ya khi. cela fait 9 ans depuis que l'Algérie a manifesté sa neutralité sur le sujet !!! On l'a déjà fait savoir !

Moi, perso:
" L'Algérie est "boendonguiste" bon sang !!! Allez vendre vos salades ailleurs"."

Merci Yugurten de mentionner l'arnaque intellectuelle de cet article.
Oui, encore de la désinformation dirigée contre nous.

[Yugurten]

He oui Kaci. Comme toute autre forme de prostitution, celle des "journalistes" trouve aussi son épanouissement à Marrakech

[khairou]

La menace algérienne du Sukhoi plane sur le Maroc

Selon un expert de l'industrie militaire russe, l'Algérie serait parmi les premiers pays à prendre livraison des derniers chasseurs russes.
https://atalayar.com/fr/content/la-mena ... r-le-maroc

[motu]

C’est un recueil de généralités et de simples suppositions qui restent dans le flou artistique ,il n’y a pas besoin d’être un expert militaire pour deviner que les nouveaux produits de l’industrie militaire russes seront évalués par l’Algérie pour figurer un jour dans son inventaire si besoin était ,et cela est valable aussi pour tous les pays importateurs de technologies militaires vis à vis de leur fournisseur , mais au delà de ces banalités il y a des affirmations complètement fausses comme celle qui prétend que l’AAF modernise ses MKA auprès des industriels français

[Général-Major]

il y a des affirmations complètement fausses comme celle qui prétend que l’AAF modernise ses MKA auprès des industriels français

C’est plutôt une manière maladroite de dire que les su-30mka ont des centrales de navigation hud et écrans LCD sagem et thales

[Nour]

j'ai modifié le titre, je pense qu'il est plus pertinent

[motu]

j'ai modifié le titre, je pense qu'il est plus pertinent

Oui c’est plus précis

[tahiadidou]

IL y a des torchons, et des articles banals (banaux? ), sur le net qui ne méritent meme pas d'etre débattus

[Shilka]

J'ai envi de donner une analyse en rapport avec le titre du topique, j'ai une vision assez claire sur un conflit entre le Maroc et l’Algérie, les force et les faiblesse.

Tout d'abord le terrain, là je le dit sans détour l’Algérie a largement l'avantage du terrain, le territoire marocain et si petit que les radar et les missile algérien couvre tout le territoire, ce qui est pas le cas coté marocain, l'Algérie a une profondeur stratégique très importante et qui est largement a sont avantage.
Mais...le Maroc a l'avantage de n'avoir aucun ennemie autour de lui hormis l'Algérie, ce qui veux dire qu'il pourra concentrer la quasi totalité de sont armée et de sont arsenal vers le front de l'EST, ce qui n'est pas le cas coté Algérien, les longue frontiére vont nous posé probleme, car il faudra consacré du matériel et des troupe pour éviter des attaque qui pourront venir du SUD et de l'EST.

Coté Armée de Terre : franchement je trouve que les deux armée se valent, il y a quasi le même effectif, et niveau char et artillerie c'est quasi similaire, si l'Algérie veux prendre l'avantage, elle devra augmenter significativement ces effectif et sont artillerie avec la fabrication de munition at-home pour pouvoir prendre le dessus.

Coté Marine : l'Algérie a une force plus écrasante, essentiellement grâce au sous marin, qui seront capable de détruire les navire marocain puis de mené des attaque Mer-sol quasi n'importe ou sur le territoire marocain.
Le Maroc de sont coté n'a pas de quoi nous inquiété a ce niveau la, sauf peut être nos navire marchant qui passe par Gibraltar...Mais bon si il font ça aucun de leur navire marchant ne passera par la méditerranée.

Coté Armée de l'Air : il y a quelque année j'aurai dit oui l'Algérie est supérieur, mais la je vais être honnête, la supériorité algérienne n'est pas si grande que ça, tout d'abord parce qu’on terme d'effectif, on est a environ 3 contre 2 pour l’Algérie mais ce chiffre la va se réduire a cause du probleme cité plus haut, c'est dire les grande frontiére Algérienne qu'il faudra protéger, alors que le Maroc pourra concentrer la totalité de sa flotte sur le front Algérien, donc on risque de se retrouver à 2 contre 2, Donc pas une total supériorité de l’Algérie ni une force écrasante du a ces faiblesse Air-sol, l'avantage de l’Algérie c'est la défense aérienne et les radar qui vois tout le Maroc, donc nos avions seront bien prudent, mais il va falloir rapidement apporté des solution coté air-sol mais aussi coté Air-Air, si la défense aérienne et les radar couvre nos avions , des missile plus moderne et plus longue porté ne seront pas de refus, il apporteront un grand plus, car en face il ont ce qu'il faut en Air-Air, et vu que leur Viper va bientôt arriver, il vont mener la vie dure à nos chasseur

Autre avantage du Maroc, ce sont les drone israélien qui achète, ou pire encore peut être même qui produit sous licence, si c'est me cas, il vont prendre un avantage en combat terrestre, donc il faut trouver un moyen de contré les drone, mais aussi de pouvoir en produire en masse comme les Shahed, car les 6 drone acheter au turc et 6 autre au chinois ne seront d'aucune utilité dans un combat de haute intensité.

En conclusion, je pense que l’Algérie pourra gagné si elle investi dans ce qu'il faut, je pense que sont avantage sera la force terrestre, c'est elle qui fera la différence au final, mais pour sa il faut augmenter l'effectif, se procurer plus d'artillerie longue porté, produire les munition at-home, produire des drone suicide, et le Maroc va sacrément bouffé, vu sont petite espace territorial , il va prendre très cher, l'aviation et la marine seront la pour contenir et stabilisé mais ça sera surtout la force terrestre qui fera la différence.
sinon dans le cas actuel des choses, je pense que le conflit sera long et que le Maroc et capable de contenir l’Algérie, on a certaine lacune, et il ont certain atout intéressant.

[El-Harrachi]

Il y a deux scénarios à considérer : l'Algérie en assaillant, et l'Algérie en défenseur. Les implications seront totalement différentes selon l'un ou l'autre de ces contextes.

[gdz]

Il y a deux scénarios à considérer : l'Algérie en assaillant, et l'Algérie en défenseur. Les implications seront totalement différentes selon l'un ou l'autre de ces contextes.

Le seul scénario a considérer c'est l'Algérie en assaillant.
Dans tous les cas de figure, en cas de conflit armé le maroc sera vu comme victime meme si il commence les hostilités.
La preuve éclatante est l'assassinat des camionneurs algériens et la communauté internationale qui ferme l'oeil.

[Asterisk Stratos]

Plutôt qu'avec une confrontation avec le Maroc, la grande peur de l'Algérie c'est que la Tunisie joigne le courant de la normalisation avec l'entité sioniste. Parce qu'on sera vraiment cerné de partout.