Armée Russe
Re: Armée Russe
https://rg.ru/2024/03/27/vysokozashchis ... e-svo.htmlUn "Ladoga" hautement protégé sur le châssis d'un char T-80 a été repéré dans la zone de la Région militaire Nord Des informations sont apparues sur les réseaux sociaux et les chaînes Telegram sur la possible participation du véhicule hautement protégé Ladoga à une opération militaire spéciale.
Selon des données ouvertes, ces véhicules à chenilles, fabriqués sur le châssis des chars de combat principaux « volants » T-80U, peuvent accueillir six militaires et sont donc tout à fait capables de remplir le rôle de véhicules blindés de transport de troupes lourds.
La turbine à gaz GTD-1250, capable de fonctionner avec différents types de carburant, a une puissance de 1250 chevaux. La vitesse maximale du véhicule blindé sur autoroute peut atteindre 75 km/h. L'autonomie de croisière utilisant les réservoirs principaux est de 330 km. Il y a une centrale électrique auxiliaire. Poids - 42 000 kg.
Il convient de noter que les chars équipés de moteurs à turbine à gaz sont très appréciés des troupes. La version la plus récente est le T-80BVM modernisé à Omsk. Le char dispose d'une protection fiable, d'une bonne maniabilité et d'une puissance de feu élevée. Ils ont démontré à plusieurs reprises leurs grandes qualités de combattant au cours du SVO.
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Re: Armée Russe
https://rg.ru/2024/03/27/vychislit-dron-po-zvuku.htmlLe détecteur acoustique Malik est capable de détecter tout type de drone L’un des problèmes les plus importants dans une zone d’opérations militaires spéciales est la détection des drones ennemis. Les experts russes proposent désormais diverses mesures pour contrer les attaques de drones. Cela inclut les antidrones capables de détecter tout type de véhicule aérien sans pilote non seulement par radiofréquences, mais aussi par le son.
Le détecteur acoustique est capable de détecter un drone lourd ukrainien "Baba Yaga" à un kilomètre de distance. / Ministère de la Défense de la Fédération de Russie
Actuellement, les forces armées ukrainiennes utilisent un grand nombre de drones de différents types sur la ligne de contact. Des drones lourds capables de transporter plusieurs mines, que les troupes surnommaient « Baba Yaga », aux petits drones de reconnaissance capables de survoler le champ de bataille et de transmettre en ligne des données sur les mouvements de nos unités. En outre, récemment, les forces armées ukrainiennes ont commencé à utiliser activement des drones FPV, qui attaquent à la fois les véhicules blindés et nos points fortifiés.
Comme l’expliquent les experts, détecter les petits drones est souvent une tâche très difficile. Ils sont de petite taille, leur corps est principalement en plastique et de ce fait, ils sont mal distingués par les stations radar de nos systèmes de défense aérienne.
Ils sont également pratiquement invisibles dans une caméra thermique, puisque les moteurs électriques des mini-drones sont alimentés par des batteries et n'émettent pratiquement pas de chaleur.
Pour lutter contre de tels drones, le bureau d'études Tallamho, basé à Grozny, a créé pour la première fois le détecteur acoustique Malik, capable de détecter par le son tout type de véhicules aériens sans pilote, quelles que soient les fréquences radio utilisées par l'ennemi, rapporte TASS.
Selon les développeurs, l'ennemi a récemment modifié régulièrement les fréquences radio sur lesquelles fonctionnent ses drones afin de contourner les défenses contre les drones. "Les Ukrainiens sont passés à la fréquence de 720 à 730 mégahertz. À ces fréquences, il n'existe actuellement aucun moyen répandu d'identification des drones", notent les développeurs.
En plus des drones, le détecteur est également capable de détecter des télémètres, des lasers de missiles guidés antichar et des lunettes de visée pour tireurs d'élite.
Le bureau d'études de Tallamho a proposé une solution originale à ce problème, qui peut aider nos soldats à détecter les drones ennemis.
"Quelles que soient les fréquences auxquelles le drone fonctionne, il émet toujours des sons lorsqu'il fonctionne. Différents drones bourdonnent de manière un peu différente dans différentes situations, nous collectons donc une bibliothèque de signatures et de caractéristiques sonores du drone et les téléchargeons sur le serveur. Personnes utilisant les détecteurs Malik , peut les connecter à Internet et reconstituer automatiquement la liste des signatures », a indiqué le KB.
Les développeurs ont expliqué qu'une personne, bien sûr, peut déjà entendre le bruit d'un drone dans les airs. Mais sous stress, un combattant n’est pas toujours capable d’isoler le son d’un drone qui approche et ne peut pas le distinguer des autres sons. Le détecteur de son ne peut pas se tromper et avertira toujours le combattant à temps de l'approche d'un danger.
Le bureau d'études a indiqué que le détecteur acoustique avait été développé en deux versions. L’un d’eux est conçu pour protéger les pirogues, les tranchées et les véhicules. Le second est une version miniature du détecteur sonore et est accroché à un gilet pare-balles. Le détecteur acoustique donne un temps précieux depuis la détection du drone jusqu'à l'attaque. Cela permet au personnel d'avoir au moins le temps de se disperser sur les côtés et d'éviter de lourdes pertes», a déclaré le bureau d'études.
Le détecteur Malik est également capable de détecter des télémètres, des lasers de missiles guidés antichar et des lunettes de visée pour tireurs d'élite. "Des tests ont été effectués. À une distance de 700 m, l'appareil détecte qu'un télémètre mesure la distance dans notre direction. Nous supposons également que le Malik sera capable de détecter le faisceau des MANPADS Stinger, qui est guidé par un double laser dans la gamme infrarouge et ultraviolette. À l'avenir, cette option sera vérifiée lors de tests", a indiqué l'organisation.
Comme l'a souligné l'expert militaire et rédacteur en chef du magazine "Arsenal de la Patrie" Alexeï Leonkov, l'identification sonore des objets aériens a commencé dès la Première Guerre mondiale. Ensuite, la première unité de reconnaissance sonore au monde a été créée dans l'armée russe - l'équipe de mesure du son.
"La mesure du son a également été activement utilisée pendant la Grande Guerre patriotique. À l'aide d'instruments spéciaux, le type et l'identité de l'avion ont été déterminés. Les positions à partir desquelles l'artillerie allemande a tiré ont été identifiées", a noté l'expert.
Selon lui, après la guerre, nos spécialistes ont continué à développer des dispositifs acoustiques spéciaux, tant maritimes que terrestres, capables d'identifier par le son un objet qui s'approchait.
"Par exemple, nous sommes désormais armés du dernier complexe de reconnaissance sono-thermique "Pénicilline". Ce complexe, selon sa configuration, est capable de détecter des cibles jusqu'à une distance de 38 km par signature sonore et thermique", a déclaré l'expert. noté. Selon lui, bien entendu, les détecteurs acoustiques des drones sont beaucoup plus simples. Ils sont capables d’identifier une cible en fonction du bruit émis par l’hélice du drone à une distance de 500 mètres à un kilomètre.
Dans le même temps, selon Leonkov, le début de l'utilisation de tels détecteurs sonores en conjonction avec d'autres systèmes peut créer une barrière fiable pour les drones ennemis au-dessus de la ligne de front ou à l'arrière.
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Re: Armée Russe
https://rg.ru/2024/03/29/poiavilis-kadr ... e-svo.htmlDes images sont apparues de l'utilisation de lance-grenades robotiques russes dans la zone de la Région militaire Nord. Sur la chaîne Telegram "Travail, frères !" a publié une photo de deux plates-formes robotiques équipées de lance-grenades AGS-17 « Plamya », utilisées par les forces armées russes près d'Artemovsk.
Les lance-grenades robots vous permettent de frapper l'ennemi sans mettre les soldats en danger. Ils sont contrôlés à distance par des opérateurs.
Récemment, des drones au sol capables d'effectuer diverses tâches ont été de plus en plus développés dans la zone de la Région militaire Nord-Est. Outre les opérations d'assaut, cela comprend l'exploitation minière à distance, l'évacuation des blessés et la livraison de munitions et de nourriture sur la ligne de front.
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Re: Armée Russe
https://rg.ru/2024/03/29/t-100-tehnolog ... dinit.htmlNouveau "T-100": les technologies "Black Eagle", "Burlak" et T-90M peuvent être combinées Ces dernières semaines, la presse étrangère et russe a beaucoup écrit sur la nouvelle version du T-80. On suppose que le réservoir domestique mis à jour pourrait recevoir la désignation T-100.
Il est intéressant de noter que c'était déjà le nom d'un char soviétique expérimental à deux tourelles de 58 tonnes, créé à la fin des années 30 et participant à la guerre avec la Finlande.
Dans la première moitié des années 60, un autre T-100 fut développé, cette fois léger. Son poids au combat n'était censé être que de 15 tonnes. Comme arme, il était prévu d'utiliser un lanceur du même nom, capable d'utiliser des roquettes cumulatives non guidées de 100 mm. La puissance de feu a également été renforcée par l'installation du système antichar Malyutka. Ce projet n'est jamais devenu un véritable véhicule de combat.
Il est à noter que lors de la modernisation radicale des « quatre-vingts », les bases obtenues lors de la création de l'Object 640 « Black Eagle » seront probablement utilisées. On pense que bon nombre des solutions techniques utilisées sont toujours d'actualité. Ce char était censé avoir un châssis allongé avec sept rouleaux de chaque côté. La tourelle avait un nouveau design ; ils avaient l'intention de placer un système de chargement automatisé dans sa niche. La puissance du moteur à turbine à gaz était de 1 500 ch. Il a été noté qu'au lieu d'un canon de 125 mm, il était possible d'installer un canon de plus gros calibre.
Ils se souviennent également d'un autre développement d'Omsk : le compartiment de combat unifié Burlak. On pense que ses racines remontent au projet Black Eagle. Une installation sur les T-72, T-80 et T-90 était envisagée. Dans le même temps, sur les réseaux sociaux, où l'on discute de l'actualité des chars blindés, des opinions sont exprimées selon lesquelles le nouveau char sera unifié au maximum avec le T-90M existant, car ce véhicule se comporte bien lors d'une opération militaire spéciale, et il y a de grandes opportunités pour son amélioration ultérieure.
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