IMDS 2013
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Topic author - Musaïd Awal (مساعد أول)
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Re: IMDS 2013
Présentation du Shtil-1 VLS sur l'ecran LCD en background
Ekranoplan A-080-752 :
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Vympel :
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Version ASW de la classe Buyan :Une Nouvelle Maquette Du Futur Porte-Avions Russe Présentée À Saint-Pétersbourg
Le commandant en chef de la marine russe, l'amiral Viktor Tchirkov, a visité le salon naval international de Saint-Pétersbourg. Au cours de sa visite, il lui a notamment été présenté une maquette du futur porte-avions russe.
Dans le cadre de l'effort de modernisation et de réarmement de sa flotte, la Russie entend ne pas négliger les capacités hauturières. Si la phase d'étude et de conception d'un destroyer de nouvel génération a été confiée au bureau d'étude pétersbourgeois Severnoe avec pour objectif la mise sur cale de la première unité en 2016, Moscou souhaite aussi développer un nouveau porte-avions. C'est le bureau d'étude Krylov (Saint-Pétersbourg) qui a été chargé de mener les travaux d'avant-projet, et une maquette a été présentée au salon naval international qui se déroule actuellement dans la capitale maritime russe. Voici quelques images (source Flotprom) :
On notera l'existence de deux kiosques, et une nette évolution du design par rapport à la maquette présentée en novembre 2012, et qui semblait s'inspirer de l'ex porte-avions soviétique Oulianovsk (Projet 1143.7), à propulsion nucléaire et jamais achevé :
Source : revue russe Voenno Promichleny Kourrier, n° 40/457, 10 octobre 2012
Certaines caractéristiques du bâtiment ont également été dévoilées. Ainsi, le coût du porte-avions s'élèverait à 80 milliards de roubles (€1,9 milliard). Contrairement à certaines informations qui avait été données auparavant, le navire serait à propulsion classique, et pourrait atteindre une vitesse de 30 noeuds pour un déplacement de 80 000 tonnes (60 000 tonnes pour l'unique porte-avions russe actuellement en service, l'Amiral Kouznetsov, Projet 1143.5). Pour rappel, Roman Trotsenko, l'ancien directeur d'OSK (consortium des constructions navales russes), avait indiqué en 2011 que le futur porte-avions bénéficierait très probablement d'une propulsion nucléaire. Si le choix de la propulsion classique venait à être confirmé, elle signifierait que le projet pourrait être réalisé dans de meilleurs délais, mais supposerait aussi que la Russie développe également des capacités de soutien logistique plus importantes, notamment pour le ravitaillement. Pour les capacités aériennes, le future PA russe serait équipé de deux tremplins, avec quatre catapultes, et mettrait en oeuvre 40 appareils, dont la version navalisée du futur avion de combat nouvelle génération Su T-50 (PAK FA), développé avec l'Inde, et des MiG-29K.
Aucune communication ne semble avoir été faite cependant sur le calendrier, ni sur le chantier naval en charge de la construction. Pour les capacités de construction, à ce jour, seul Sevmash (Severodvinsk) et le chantier de la Baltique (Saint-Pétersbourg) disposent des installations pour construire des bâtiments d'un déplacement allant jusqu'à 100 000 tonnes (et disposant d'une propulsion nucléaire). En revanche, on sait déjà que le nouveau polygone d'entrainement des pilotes de l'aéronavale construit près de Ieïsk (kraï de Krasnodar) serait opérationnel dès cet automne. Il s'agit pour la Russie de remplacer le simulateur soviétique existant en Crimée (NITKA) par des nouvelles installations situées sur le territoire russe. Ce simulateur au sol est actuellement utilisé ponctuellement dans le cadre d'un accord russo-ukrainien par les pilotes russes de la flotte du Nord qui opèrent depuis le Kouznetsov à bord de Su-33.
Cependant, aucun financement portant sur la construction du porte-avions ne semble avoir été budgeté dans le programme de réarmement naval 2011-2020. Sa mise en chantier devrait donc débuter après 2020, et à l'horizon 2025-2030, la Russie prévoit de disposer de deux groupes aéronavals complets (incluant les destroyers de nouvelle génération, les frégates hauturières du Projet 22350, et les submersibles nucléaires polyvalents du Projet 885 Yasen et dérivé).
http://www.rusnavyintelligence.com/arti ... 14840.html
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Re: IMDS 2013
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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Topic author - Musaïd Awal (مساعد أول)
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Oui Anzar, c'est bien le "projet" Skorpion qui malheureusement reste encore à l'état de projet :tris12: . La même maquette a été exposé au cours de l'IDEX 2011.
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.