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De l'époque numide aux temps modernes.
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Re: Documents/Images/Vidéos [Révolution Algérienne 1954-1962

Message par l'adjudant/chef »

des rafles, encore des rafles...
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...toujours des rafles

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c'est pas l'arme qui tue mais l'être humaine qui tir sur la gâchette

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Re: Documents/Images/Vidéos [Révolution Algérienne 1954-1962

Message par l'adjudant/chef »

lamine a écrit :l'armée coloniale en Algérie ..

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Re: Documents/Images/Vidéos [Révolution Algérienne 1954-1962

Message par l'adjudant/chef »

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Carcasse de l'hélicoptère H 21C du capitaine Scherrer et de l'adjudant Gorgol du GH2 qui vient d'être abattu par des moudjahidines lors d'une opération dans le Djebel Mimouna en kabylie le 8 avril 1957

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Le T-6 du sergent Ribot, de l'escadrille 18/72, après son crash le 2 octobre 1957. par la DCA des moudjahidines dans les aures.
ces maquisards sont des bons viseur j'espere aussi a leur descendants de la DAT
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Re: Documents/Images/Vidéos [Révolution Algérienne 1954-1962

Message par l'adjudant/chef »

zvenkruger a écrit :

Les problèmes de logistiques à la veille du 1er novembre : Le FLN entre l’audace et la témérité

On dit, on lit tout aussi souvent, que la décision du déclenchement de la lutte armée fixée pour premier novembre 1954, était un pari qui a conjugué audace et témérité et que la mission que s’étaient impartie ses initiateurs relevait de l’impossible. Cela n’est pas si exagéré qu’on pourrait le penser, quand on examine l’état des forces en présence à cette époque et la préparation rudimentaire des précurseurs de cette histoire formidable.


Il y avait certes une supériorité démographique des Algériens par rapport aux Européens. Mais elle n’était que numérique et leur misère compensait grandement le handicap de l’occupant. Et même si cela avait constitué une quelconque supériorité, elle ne se limitait qu’au territoire algérien, parce qu’il fallait compter avec les 45 millions de métropolitains, a priori dans leur totalité, alliés potentiels du colonialisme. Mais la guerre n’est pas affaire de statistiques ni de pyramides sociologiques, et dès lors que la parole avait été donnée à la poudre, seuls les canons avaient voix au chapitre. Armes de poing, d’épaule, attirail de mort tracté, aéroporté, ou embarqué, le matériel de guerre détermine l’issue des conflits dont la durée est, d’une façon générale, inversement proportionnelle aux moyens financiers qu’on lui consacre.

Et question finances, en 1954, la révolution était aussi démunie que ceux qui avaient pris la responsabilité historique de l’allumer. Dans un post-scriptum, émouvant, d’une lettre datée de Berne le 29 octobre 1954, deux jours avant l’heure H, Mohamed Boudiaf qui signait du pseudonyme « Tebbib », écrivait à ses camarades de la délégation extérieure au Caire : « Si vous voyez que la demande de visa demande plus de temps, ne manquez pas, dans la mesure de vos possibilités, de m’envoyer quelques fonds pour subsister. Ma place est payée, ce qu’il me faut c’est surtout des frais de séjour. Les amis m’ont donné au départ 100 000f . - (ndlr, centimes anciens avant le franc lourd.) - ce qui fait juste le voyage d’Alger au Caire avec 100.000 F. en poche et je suis à Berne depuis mercredi. Pensez-y un peu je vous prie. » (1)Pauvres comme Job, à l’image de l’écrasante majorité du peuple algérien, les premiers responsables du FLN étaient néanmoins conscients que le combat qu’ils engageaient avait ceci de particulier que son couronnement ne dépendait pas exclusivement de l’importance de la trésorerie ou des arsenaux. La conflagration qui allait se déchaîner était plutôt multiforme et conforme « aux principes révolutionnaires et compte tenu des situations intérieures et extérieures, » elle exigeait « la continuation de la lutte par tous les moyens jusqu’à la réalisation » du but qu’ils se sont assigné (2).

Par conséquent les problèmes d’argent et d’équipements allaient certes se poser mais les artisans de l’embrasement étaient persuadés qu’une fois le mouvement amorcé, le reste allait automatiquement suivre et que les difficultés n’étaient pas insurmontables. Plus prosaïquement, ils avaient engrené, il restait à moudre et cette tâche allait être celle de tout le peuple. Le général Vô Nguyên Giap, brillant stratège vietnamien et expert en logistique, entré vivant dans la légende, après la bataille de Diên Biên Phû (13 mars au 7 mai 1954), résumait la guerre révolutionnaire de libération nationale comme un faisceau. Celui-ci, disait-il en substance, coalise l’action militaire, l’engagement politique et l’habileté diplomatique. Une stratégie d’ensemble, dans laquelle l’action armée n’est qu’une des composantes qui doit nécessairement être assortie de tout un travail de mobilisation des potentialités intérieures et extérieures et la réunion des conditions favorables à l’évolution positive du processus révolutionnaire. L’explosion du 1er novembre, malgré l’extrême modestie de sa puissance de feu réelle, s’est voulue à dessein spectaculaire et tapageuse, par les objectifs visés, les choix symboliques de la date et de l’heure et la simultanéité des opérations. Il fallait frapper les esprits et surtout insister sur le caractère national de l’entreprise. Pour la première fois depuis la fin de la résistance de l’Emir Abdelkader (décembre 1847), les Algériens, au même moment et sur tout leur territoire tenaient le même langage : l’indépendance et parlaient d’une même voix, le baroud.

L’étonnement de tous les responsables que comptait l’administration coloniale, fut à la mesure de la portée de l’événement. Alertés un peu après minuit, les policiers, les magistrats, et les politiques, tous réunis jusqu’au petit matin, dans le bureau du gouverneur général, Roger Léonard, en étaient à se demander s’il fallait oui ou non réveiller de son sommeil « Paris », ou plus précisément le ministre de l’Intérieur, François Mitterrand, - encore lui - au risque de se couvrir de ridicule si d’aventure, toute cette agitation nocturne n’était pas encore due à une poussée de « fièvre tribale ». Il est vrai que depuis la révolte des Béni Chougrane (5 octobre 1914) dans la région de Mascara, et l’attaque du bordj de Mac Mahon (aujourd’hui Aïn Touta) dans les Aurès (10 novembre 1916), pour des raisons de conscription obligatoire, l’Algérie était considérée par la presse française comme une « Oasis de Paris », dixit Boudiaf (3). Et de toutes les façons, se répétaient à l’envi, les galetteux du système, depuis le bain de sang de mai 1945 :« Nous en avons pour dix ans ! »

Justement… Coïncidence de calendrier ? Ils auraient été bien inspirés de l’inscrire sur leur guide-âne, puisque la réalité est venue brutalement toquer à leur mémoire pour leur rappeler que la « parenthèse enchantée » qu’ils avaient ouverte à Sétif, Guelma et Kherrata, venait de se fermer. Les toutes premières opérations de commandos étaient destinées à être vues et entendues en Algérie, par les Algériens, par les colonisateurs, mais aussi à l’étranger puisque le soin a été pris de faire lire par la radio égyptienne la proclamation du 1er novembre. Le Front de libération nationale promulguait en Algérie et dans le monde son acte de naissance. Jean Vaujour, directeur de la sûreté a passé la nuit à tourner et retourner une espèce de boîte de lait en conserve, bourrée de chlorate de potassium, surmontée d’un bickford, une bombe artisanale tout à fait inoffensive, que lui avait rapportée un commissaire venu tout spécialement d’Oran. « On ne peut pas faire une révolution et renverser l’ordre constitué depuis des décennies, avec un cylindre en fer blanc » devait-il se dire. Mais dès potron-minet, à l’heure « légale » des perquisitions, il lance sa police en chasse contre le PPA-MTLD.

C’est l’opération « Oranges amères ». 350 animateurs du parti nationaliste en crise, tout à fait étrangers au formidable coup de grisou de la nuit précédente, seront incarcérés dès le 1er novembre (4). Jusque-là, le colonisateur étendait son pouvoir d’airain sur un pays aussi vaste que cinq fois « la mère patrie » et strangulait jusqu’à l’asphyxie, huit millions d’Algériens, avec un effectif permanent moyen de seulement 2 500 gendarmes. Mais pour réduite qu’elle fut, cette force était dépositaire de la terreur incrustée dans la mémoire collective, fertilisée au fil des jours et des ans par une répression impitoyable, rarement égalée dans l’histoire coloniale. Mais on verra bientôt ce système tyrannique, contraint de mobiliser près d’un million d’hommes civils et militaires toutes armes confondues, dotée d’un équipement ultra sophistiqué, pour faire taire le fusil de chasse qui le menaçait. Car tout est parti de ce coup fusil de chasse tiré par un fellaga. Quand les premières salves ont rompu le silence remettant en question un ordre établi depuis la fin de la conquête, plus d’un siècle auparavant, la peur, si elle n’avait pas encore changé de camp, allait désormais être partagée par tous. Il est vrai que face aux armes dont disposait la puissance coloniale, il n’y avait pas photo. Mais le fait de voir un canon pointé sur lui, lui qui s’était toujours situé du côté de la crosse, lui le maître, le colonisateur, perdait soudainement de sa morgue et découvrait avec effroi son nouveau statut de papegai, autrement dit de cible.

La légalité qu’il s’était ingénié à construire pour assurer sa sécurité physique et matérielle venait de voler en éclats d’un coup de fusil. Durant toute la guerre il invoquera cette prétendue légalité, dispositif prétendument juridique mis en place tout au long de la colonisation, qui lui a servi à spolier un pays et son peuple, pour justifier tous les dépassements imaginables et même ceux qu’on n’oserait même pas se figurer. Les expéditions punitives, la responsabilité collective, les tueries, la destruction des villages, les camps de concentration, le napalm, la torture, tout était permis à partir du moment où il s’agissait d’une « affaire intérieure », donc, expliquaient-ils, de mater une rébellion, afin de restaurer l’ordre (colonial), considéré depuis la conquête, comme naturel. Une légalité que violaient les insurgés « de la Toussaint rouge ». Ils ne parlaient d’ailleurs pas de la date qui marquait le début de la guerre mais de la profanation par le sang, de la fête de la Toussaint qui honore tous les « saints de la sainterie », à ne pas confondre avec le jour des morts qui est célébré le lendemain. On n’a pas affaire à de simples hors-la-loi, mais à des blasphémateurs. Ces impies ne pouvaient être inspirés que par les communistes du bloc de l’Est ou encore les fanatiques sarrazins du Levant. Mais ce que le colonialisme n’avait pas compris ou alors feignait de ne pas comprendre, c’est que la proclamation du 1er novembre signée par le FLN-ALN, n’était pas une déclaration de guerre. Loin s’en faut. Il s’agissait d’un double appel à l’adresse de la France et du peuple algérien.

La nouvelle organisation qui se proposait de guider les colonisés vers le recouvrement de leur souveraineté perdue, n’avait pas menacé la France de mille foudres, elle n’en avait pas les moyens et ce n’était pas l’objet de son combat. Il ne s’agissait pas d’une guerre mais d’une revendication appuyée par les armes. Celles-ci n’étaient qu’un aspect des moyens à mettre en œuvre. La déclaration en question se voulait une preuve du « désir réel de paix » de ses auteurs et pour « limiter les pertes en vies humaines et les effusion de sang [nous avançons] une plateforme honorable de discussions aux autorités françaises si ces dernières sont animées de bonne foi et reconnaissent une fois pour toutes aux peuples qu’elles subjuguent le droit de disposer d’eux-mêmes »(5). Quelle a été la réponse des autorités coloniales ? François Mitterrand, pour le citer encore, ne déclarait-il pas le 7 novembre que « la seule négociation c’est la guerre ! » Alors il a fait la guerre ! Quand on dit « il », en fait, c’est « ils », avec un « s », car de la droite à la gauche quelque fut la position du rhéostat politique, tout le monde était d’accord pour casser de l’Algérien. Exception faite, toutefois, de quelques intellectuels, et c’est tout à leur honneur, eux qui ont voulu sauver celui de la France, en mettant en garde le pays et son peuple, contre une aventure déraisonnable aux conséquences désastreuses. Mais qui donc écoute les poètes lorsque roulent les tambours et que sonne le clairon ? C’est donc la réponse d’une violence extrême du colonisateur qui a crée l’état de guerre. Jamais les responsables de l’ALN ne se sont bercés de l’illusion de vaincre la quatrième puissance mondiale même si celle-ci avait été particulièrement douchée par la déconfiture de l’automne 39 face aux nazis sur la « Ligne bleue des Vosges » et celle du printemps 54 face aux bodoïs de Ho Chi Minh dans les rizières d’Indochine.
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Re: Documents/Images/Vidéos [Révolution Algérienne 1954-1962

Message par l'adjudant/chef »

AURES_05 a écrit :rare photo de chegue-vara lors de sa visite en algerie (1962 ou 1963)


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AURES_05 a écrit :Image

ali lalmani ,un allemand au rang du fln legion etrangere(expert en explosive)Tombé au champs d’honneur dans une région d’Aurès . ALLAH YARHMOU
AURES_05 a écrit :une rare photo de monsieur le president pendant la guerre de la liberation

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AURES_05 a écrit :encore une rare photo de CHEGUE en algerie :hadarat:

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il etait entrain de visualisé une carcasse d'un chasseur francais abattu par l'ANL.
AURES_05 a écrit :comme promis photo d'un moteur de la fameuse T-6 pres de batna.

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je m'incline devant les ames de nos chouhada tombés par le bombardement barbar de cette bestiole, la cimetiere sur la droite y raconte .

ALLAH YARHAM ACHOUHADA et VIVE L'ALGERIE :hadarat: :Algeria:
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Re: Documents/Images/Vidéos [Révolution Algérienne 1954-1962

Message par l'adjudant/chef »

AURES_05 a écrit :ok vous aurez que de l'exclusif inchallah .

arme de si moustapha trouvée y'a juste qlq années pres de son domicile lors de travaux .

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arme du moudjahid benhassila de ARISS
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Les traces des tortionnaires francais ,trouves sur les lieux d'un ex centre de concentration a tafrent batna le 14 nov 2005

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Re: Documents/Images/Vidéos [Révolution Algérienne 1954-1962

Message par l'adjudant/chef »

AURES_05 a écrit :quelque moissons

l 'Algerie Algerienne,Moteurs d'avions de guerre Francais abattus par le FLN au AURES

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debrits d'helico francais

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Re: Documents/Images/Vidéos [Révolution Algérienne 1954-1962

Message par l'adjudant/chef »

AURES_05 a écrit :DOCUMENT RARE ET PRECIEUX

ordre de mission livré a un moudjahide .

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Message par l'adjudant/chef »

AURES_05 a écrit :le premier gouvernement algerien (provisoire)

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Message par l'adjudant/chef »

AURES_05 a écrit :ici c'est un autre document rare et heureux :cheers:

acte de mariage d'un moudjahid et moudjahida aux maquis :D

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AURES_05 a écrit :Tellement qu’ils le craignaient, homme désarmé menottés de mains et de pieds et entouré d’une dizaine de para français. Quel monsieur il est. :cheers: :Algeria:

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mina el mouminina rijaloun sadkaou ma ahadou allah alaih, allah yerhamak ya si el arbi
:cry: :cry:
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Message par l'adjudant/chef »

AURES_05 a écrit :Des prisonniers du FLN. Debout, de gauche à droite : Ledoux Marcel, De Angelis Louis, Anton Edouard, Dubois Camille, Sauvage Gilbert, Costar Louis, Koeppel Raymond. Assis, de gauche à droite : Picard Maxime, Raunier Maurice, Rouby René, Bonnet Robert, De Gaillande Pierre, Devesa Ingenio, Gauga François. Photo reçue de R. Rouby

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Autre vue de ce groupe de prisonniers du FLN : Assis : Louis Costard. Debout, de gauche à droite : Ledoux Marcel, De Gaillande Pierre, Hernandez François, Koeppel Raymond, Benko Raoul, Devesa Ingenio et Sauvage Gilbert. Photo reçue de Louis Costard

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YAHYA ARRAJALA :D
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foxbat250 a écrit :ImageImage

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Message par l'adjudant/chef »

foxbat250 a écrit :Un harki (qui appartient au commando de chasse francais) qui interroge un pauvre bedouin

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un harki qui se fait egorger

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lamine a écrit :
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anzar a écrit :Deux chahid tombés au champs d'honneur (à gauche) un moudjahid de l'ALN (au centre) et deux katibat (à droite)

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Katibat et fouille
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