Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

Parlez ici,des engagements récents de l'ANP (terrorisme, tensions territoriales, engagements extérieurs...)
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

Message par l'adjudant/chef »

Laiada nie s’être engagé pour faire parvenir « un plan de réconciliation » aux maquis et révèle
« Les marocains m’ont demandé de recruter des éléments du Polisario dans le GIA »
« Je suis prêt à jouer le rôle de médiateur mais à des conditions »

Abdelhak Laiada, fondateur du Groupe Islamique Armé, GIA, a fait quelques révélations sur son séjour au Maroc au début des années 90, déclarant que les marocains lui ont proposé de recruter des étudiants du front Polisario au GIA « mais j’ai refusé ». Il a nié s’être engagé à jouer le rôle de médiateur auprès des éléments d’Al Qaida dans leurs fiefs dans le cadre de ce qui a été appelé « le plan de réconciliation ».
Laiada a décidé de lever le voile sur son passage au Maroc en 1993 pour faire la rencontre d’Algériens afghans peu de temps après son arrivée à la tête de l’organisation armée. Il a confié à El Khabar que

les autorités marocaines ont oeuvré pour me convaincre de chercher des étudiants sahraouis dans des universités algériennes appartenant au courant islamiste afin de les enrôler dans les rands du GIA.
Il a ajouté que « selon le plan tracé par les marocains, les sahraouis qui sont recrutés au GIA seront arrêtés dans la capitale du Sahara Occidentale et seront accusés d’appartenance à un groupe terroriste algérien. Ils m’ont demandé de révéler cela aux médias et montrer les sahraouis et le front Polisario comme des terroristes ».
Laiada précise qu’il a refusé de se joindre au plan marocain « c’est pourquoi ils ont décidé de me livrer aux autorités de mon pays ».
Le but de cette rencontre était de parler de l’initiative du règlement de la situation sécuritaire proposée par un membre de l’association des Oulémas musulmans appelée « plan de réconciliation », cependant ce dernier a affirmé qu’il ne s’est jamais engagé à intervenir pour convaincre les personnes armées d’accepter ladite initiative.


22-08-2007

c'est pas la premier fois que des terroristes algerien affirment avoire était soutenu par le maroc dans les années 90 mais cette fois c'est le fandateur des GIA lui méme qu'il affirme !!
pendant les massacres des GIA des années 90 ....le maroc les soutenaient et les éberger chez lui
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

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Laigle a écrit :Si jamais on avait eu de vraies intelligences, ou que les vraies intelligences dont le pays dispose avaient pu avoir une position à la hauteur de leurs qualités, tous ceux qui se sont amusés à nous mettre la tête dans l'eau , y compris les étrangers, que ce soit certains milieux spécieux des USA, Uk, France, Iran, Maroc , Arabie Saoudite ect...auraient eu le boomerang revenir dans leur gueule à la puissance 10 .
Et ils auraient été non seulement obligés d'arreter leurs conneries, mais aussi , obligés de nous fournir à titre de dédommagements des moyens financiers, militaires suffisants pour lutter contre le terrorisme .
Je ne parle même pas de la position politique qui en aurait découlé .

Au lieu de cela, même le premier magistrat du pays fait dans le " qui tue qui?" et relache les tangos, qualifie le terrorisme que nous avons vécu de "réponse à une premiere violence" ou parfois de " guerre civile" , ce qui est complétement faux .
Comment voulez vous dans ces conditions là qu'on en voit pas le bout?
Comment dans ces conditions là , voulez vous que Mr Tout Le Monde puisse voir la réalité quand cette réalité est déformée par plusieurs canaux ?
Comment dans ces conditions là voulez vous que la porte ne soit pas ouverte aux ennemis de l Algérie pour nous faire n'importe quel coup tordu ?

Si les mécanismes de structuration, de promotions, de détection étaient efficients, si cela fonctionnait à la compétence et à la compétence uniquement, il y aurait eu forcément les éléments capables de répondre à chaque menace , pas frontalement,car il ne faut pas se leurrer , c'est impossible, mais en utilisant la meilleure arme au monde, la matière grise .

C'est dommage que peu d'articles sortent sur les coups tordus à l' encontre de l Algérie .
Déjà ,c est beaucoup trop tard et sans aucune conséquence réelle sur la suite des choses .
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

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decteriov a écrit :Merci pour la trad. Aussi faut pas voir l'Algerie plus forte qu'elle ne l'est. Opooser nos services à ceus des uk fr et autres usa, tu as cru que l'Algerie c'etait la Chine. Nous sommes un pays du 1/3 monde...
Ensuite, quand des algeriens en butent des autres avec ou sans le soutient de l'etranger, ça s'appelle une guerre civile. C'est en occultant ce fait qu'on tournera en rond. Le militant barbu de base, il fallait le liquider avec son chef/seschefs dés qu'il a montrer le bout de son khamis. Je vuex bien que des interêt etrangers ait contribuer à nous plonger dans le marasme des 90'(ecout ouyahia quand il te dit qu'il y avait des semaines avec des bilan de 5000 morts). Qui a vecu un minimum au pays balayera la thése du qui tu qui car les terroristes étaient connus, et même parfois aidés par certaines populations, de gré ou de force. Mon voisin, on a assisté à sa mort en direct quand rtranché dans une maison avec ses complices, il a refuser de se rendre malgrè les admonitions dess gendarmes. Crois tu qu'il était manipulé par la dgse, le mossade, la cia ou par james bond ce hmar ? De tous les forumistes je suis persudé qu'il y en plein qui ont vu leur voisin, des camarades de classe ou même des cousin prendre la maquis.Notre dechéance s'explique socialement et politiquement (les politicar qui ont permi au cafards barbus de faire de la politique au lieu de leurs mettre des balles dans la nuque de de balancer ça dans une fosse). Qu'on le veuillent ou non, ce n'est pas la première fois que des algeriens en trahissent d'autres ou en assassines d'autres dans notre histoire.


L'introduction du virus barbu à très bien pu être un plan us pour assujettir notre pays. Les ricains ont organisé les massacres de transnystrie afin d''epurer cette region russophone stratégique. L'asie centrale region strategique aussi a connu le même genres troubles que nous 'tadjikistan), en favorisant l'emmergence de barbus hautement politisé et entrainné.
Des etrangers ont pu nous "inoculer" la guerre civile, les usa et uk sont des spécialiste (il n'y a qu'a voir l'histoire de l'amerique latine au 19 et 20 ème siècle. Si la sauce a prise en Algerie, c'est que quelque part le terreau était favorable...Pourquoi ces plans n'ont pas marché en chine où aux coco les ricains ont opposé les nationalistes. C'est parceque le pouvoir était fort, que l'ALP veillait et qu'il n'on pas initié une pseudo ouverture democratique zaama pour plaire au occidentaux.
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Message par l'adjudant/chef »

Laigle a écrit :Les différentes actions ne sont pas forcément directes .
Elle sont multiformes et peuvent avoir tout type de relais ( parmi les Algériens ou avec le concours de tiers tels que le Maroc, l Arabie Saoudite, la Lybie etc..).

Les différentes actions peuvent relever de la psyops (comme arriver à imposer uen grille de lecture fausse, y compris au haut de la pyramide , on le voit avec Bouteflika qui a repris la sémantique de Paris en contradiction même avec les faits historiques) .
Ca a été le cas lorsqu’on a parlé de « groupes armés d’opposition » ça a été le cas lorsqu on a fait le « qui tue qui ? » ( qui est arrivé une fois que les groupes avaient perdus de leur splendeur sur le plan de la force militaire ) .
Ces relais là , montrent la puissance médiatique et soulève les problèmes psychologiques des Algériens ( dues à l’occupation) plus prompts à croire un mensonge de Paris qu’une vérité qu’il est à l’autre bout de leur rue .

Il y a eu également incitation auprès de certains politiques ( en s’appuyant sur certains préjugés et idées reçues) à jouer certaines cartes dont, les sponsors savaient et souhaiter parfaitement que cela finisse en catastrophe pour l Algérie ( ce n’est pas pour rien que Chadli a été conforté sur nombre de dossiers par Paris pour jouer la carte populiste , pensant naïvement qu’il allait pouvoir asseoir son pouvoir) .

Il y ales actions financières . L’argent,c’est de le nerf . Il faut savoir que les besoins d’argent pour une subversion ne sont pas aussi grands que ceux d’une armée .A titre d’illustration, les quelque smillions d’euros versés pour la rançons des otages enlevés par le GSPC, ont été suffisants pour donner une autre dimension à ce groupe terroriste,malgré le fait qu’il ait perdu nombre d’hommes .Cela lui a permis d’améliorer qualitativement son armement . Et même si les actions terroristes sont moins nombreuses que sous al période 93/95, je rappelle que les plus grosses embuscades de l’ère terroriste,que ce soit contre l ANP, la Gendarmerie , la Police ou les Gardes communaux ont été faites à la suite de cette erreur monumentale( Bouteflika trop heureux de plaire à Berlin, au lieu d’écouter les spécialistes Algériens ) . Même le record macabre de la triste embuscade de Chréa en 1993 a été battu ….
Donc, il ne faut pas imaginer que ce soutien s’est fait à coups de milliards USD , beaucoup moins,c’était largement suffisant .

Il y l’aspect aide militaire directe. Qui soit passe par des intermédiaires, soit se fait sur le territoire même de ces pays là (surtout lorsqu on ferme les yeux sur les réseaux et qu’on neutralise tout service qui voudrait les empêcher , comme al DST a été neutralisée par « Tonton » , le PS et la DGSE .
L’affaire Nasiri est un autre exemple de soutien ( avec collaboration entre la DGSE et les services du Makhzen dans le soutien à la subversion) et cela jusqu en 2005 minimum ( pour dire à quel point, même aujourd’hui,des actions , même si moins nombreuses , ont toujours lieu , quelque soit leurs formes ) .
Cette aide militaire peut passer par des intermédiaires .
Quand on trouve 1000 Uzis au cours de la plus grosse opération antiterroriste au monde ( Mars 1994à Ain Defla) (NDLR, je dis plus grosse opération antiterroriste, car ce que vous entendez aujourd’hui par « war on terror » c’est de la plus guerre coloniale sauce 21 ème siècle) ,c’est qu’il y a eu forcément des organisations très biens structurées pour les acheminer ou aider à l’acheminement .

Je ne parle même pas des facilités dont on disposé certains groupes terroristes pou acheter du matériel électronique de haute qualité en Europe . Le seul vrai refus essuyé a été lorsqu’une tour de contrôle mobile ( un camping car tout équipé ) a voulu être acquis afin de faciliter l’acheminement via le sud, par voie aérienne , de matériel destiné aux terros. C’était beaucoup trop voyant et risqué .


Enfin,il y a un aspect fondamental à prendre en compte .
L’aspect « boule de neige » qui fait que même si on arrête le soutien à la subversion ou il devient sporadique( pour certaines raisons que j’aborderai plus bas) , le mouvemente est lancé . C’est pour cela que la meilleure lutte antiterroriste,c’est la prévention (chose qui a été parasitée par les opérations de psy ops, puisque à chaque fois que les services de sécurité faisaient des recommandations,les politiques faisaient exactement le contraire …) .
Une fois que le mouvement est lancé, pour l’arrêter ,c’est très difficile, encore plus lorsque le premier magistrat marche dans les mêmes pas que Chadli, en faisant exactement le contraire de ce qui est recommandé par les services de sécurité et en utilisant la sémantique de ceux qui aspiraient à voir l’Algérie sous terre .

Pour en revenir à l’arret du soutien ou sa diminution, il a coincidé avec la prise de conscience de ces milieux spécieux anti-algériens , que l’objectif principal a échoué et que seul l’objectif secondaire ( une situation suffisamment catastrophique pour marquer durablement l’Algérie) a été atteint .Ils s’en sont rendus compte tardivement (avec des variations selon les acteurs) , ont essayé différents ajustement (chagement de sémantique, comme passation de la légitimation de l’action terroriste à la négation du terrorisme, c'est-à-dire passer des « groupes armés d’opposition » au « qui tue qui ? » ). Et cela leur a permis de se faire quand mêm un peu d’argent ( à quoi bon perdre de l’argent quand on n’est pas arrivé à l’objectif pour leuqel l’embargo sur les armes était l’un des moyens ) .
Si tu étudies la chronologie , tu verra la coïncidence .
Aujourd’hui,il y a un autre ajustement .Pour ne pas se déjuger mais aussi pour ne pas porter atteinte à la « war on terror » et à la définition du terrorisme qu’ils imposent via leurs canaux , ils parlent désormais de « guerre civile » .Cela fait suite au false flag qu’est le 9/11. (Au passage, ce sont les mêmes canaux qui ont nié le vrai terrorisme en Algérie,qui essaie de défendre la version officielle du 11 septembre ) .


Enfin,pour répondre à ta question sur les services d’un pays du tiers monde.
L’intelligence, au sens noble du terme (c’est pour cela que les anglo-saxon parlent d’intelligence service » quand ils font allusion à un service de renseignement) n’est pas du ressort monopolitisque des occidentaux .
Encore eu t il fallut que chez nous, il y’ait eu les possibilités pour que ces intelligences puissent s’exprimer avec pour seule critère, l’efficacité de la protection de la Nation Algérienne , en apportant les réponses légitimes à toute attaque contre elle, que ce soit de l’intérieur ou de l’extérieur.
Malheureusement,les conditions ne sont pas réunies , la culture n’est pas là , pour que ce fusse le cas .
Plus tôt des réponses auraient été apportées, moins graves auraient été les conséquences du terrorisme à l’encontre du Peuple et de la Nation .
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

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Laigle a écrit :Les différentes actions ne sont pas forcément directes .
Elle sont multiformes et peuvent avoir tout type de relais ( parmi les Algériens ou avec le concours de tiers tels que le Maroc, l Arabie Saoudite, la Lybie etc..).

Les différentes actions peuvent relever de la psyops (comme arriver à imposer uen grille de lecture fausse, y compris au haut de la pyramide , on le voit avec Bouteflika qui a repris la sémantique de Paris en contradiction même avec les faits historiques) .
Ca a été le cas lorsqu’on a parlé de « groupes armés d’opposition » ça a été le cas lorsqu on a fait le « qui tue qui ? » ( qui est arrivé une fois que les groupes avaient perdus de leur splendeur sur le plan de la force militaire ) .
Ces relais là , montrent la puissance médiatique et soulève les problèmes psychologiques des Algériens ( dues à l’occupation) plus prompts à croire un mensonge de Paris qu’une vérité qu’il est à l’autre bout de leur rue .

Il y a eu également incitation auprès de certains politiques ( en s’appuyant sur certains préjugés et idées reçues) à jouer certaines cartes dont, les sponsors savaient et souhaiter parfaitement que cela finisse en catastrophe pour l Algérie ( ce n’est pas pour rien que Chadli a été conforté sur nombre de dossiers par Paris pour jouer la carte populiste , pensant naïvement qu’il allait pouvoir asseoir son pouvoir) .

Il y ales actions financières . L’argent,c’est de le nerf . Il faut savoir que les besoins d’argent pour une subversion ne sont pas aussi grands que ceux d’une armée .A titre d’illustration, les quelque smillions d’euros versés pour la rançons des otages enlevés par le GSPC, ont été suffisants pour donner une autre dimension à ce groupe terroriste,malgré le fait qu’il ait perdu nombre d’hommes .Cela lui a permis d’améliorer qualitativement son armement . Et même si les actions terroristes sont moins nombreuses que sous al période 93/95, je rappelle que les plus grosses embuscades de l’ère terroriste,que ce soit contre l ANP, la Gendarmerie , la Police ou les Gardes communaux ont été faites à la suite de cette erreur monumentale( Bouteflika trop heureux de plaire à Berlin, au lieu d’écouter les spécialistes Algériens ) . Même le record macabre de la triste embuscade de Chréa en 1993 a été battu ….
Donc, il ne faut pas imaginer que ce soutien s’est fait à coups de milliards USD , beaucoup moins,c’était largement suffisant .

Il y l’aspect aide militaire directe. Qui soit passe par des intermédiaires, soit se fait sur le territoire même de ces pays là (surtout lorsqu on ferme les yeux sur les réseaux et qu’on neutralise tout service qui voudrait les empêcher , comme al DST a été neutralisée par « Tonton » , le PS et la DGSE .
L’affaire Nasiri est un autre exemple de soutien ( avec collaboration entre la DGSE et les services du Makhzen dans le soutien à la subversion) et cela jusqu en 2005 minimum ( pour dire à quel point, même aujourd’hui,des actions , même si moins nombreuses , ont toujours lieu , quelque soit leurs formes ) .
Cette aide militaire peut passer par des intermédiaires .
Quand on trouve 1000 Uzis au cours de la plus grosse opération antiterroriste au monde ( Mars 1994à Ain Defla) (NDLR, je dis plus grosse opération antiterroriste, car ce que vous entendez aujourd’hui par « war on terror » c’est de la plus guerre coloniale sauce 21 ème siècle) ,c’est qu’il y a eu forcément des organisations très biens structurées pour les acheminer ou aider à l’acheminement .

Je ne parle même pas des facilités dont on disposé certains groupes terroristes pou acheter du matériel électronique de haute qualité en Europe . Le seul vrai refus essuyé a été lorsqu’une tour de contrôle mobile ( un camping car tout équipé ) a voulu être acquis afin de faciliter l’acheminement via le sud, par voie aérienne , de matériel destiné aux terros. C’était beaucoup trop voyant et risqué .


Enfin,il y a un aspect fondamental à prendre en compte .
L’aspect « boule de neige » qui fait que même si on arrête le soutien à la subversion ou il devient sporadique( pour certaines raisons que j’aborderai plus bas) , le mouvemente est lancé . C’est pour cela que la meilleure lutte antiterroriste,c’est la prévention (chose qui a été parasitée par les opérations de psy ops, puisque à chaque fois que les services de sécurité faisaient des recommandations,les politiques faisaient exactement le contraire …) .
Une fois que le mouvement est lancé, pour l’arrêter ,c’est très difficile, encore plus lorsque le premier magistrat marche dans les mêmes pas que Chadli, en faisant exactement le contraire de ce qui est recommandé par les services de sécurité et en utilisant la sémantique de ceux qui aspiraient à voir l’Algérie sous terre .

Pour en revenir à l’arret du soutien ou sa diminution, il a coincidé avec la prise de conscience de ces milieux spécieux anti-algériens , que l’objectif principal a échoué et que seul l’objectif secondaire ( une situation suffisamment catastrophique pour marquer durablement l’Algérie) a été atteint .Ils s’en sont rendus compte tardivement (avec des variations selon les acteurs) , ont essayé différents ajustement (chagement de sémantique, comme passation de la légitimation de l’action terroriste à la négation du terrorisme, c'est-à-dire passer des « groupes armés d’opposition » au « qui tue qui ? » ). Et cela leur a permis de se faire quand mêm un peu d’argent ( à quoi bon perdre de l’argent quand on n’est pas arrivé à l’objectif pour leuqel l’embargo sur les armes était l’un des moyens ) .
Si tu étudies la chronologie , tu verra la coïncidence .
Aujourd’hui,il y a un autre ajustement .Pour ne pas se déjuger mais aussi pour ne pas porter atteinte à la « war on terror » et à la définition du terrorisme qu’ils imposent via leurs canaux , ils parlent désormais de « guerre civile » .Cela fait suite au false flag qu’est le 9/11. (Au passage, ce sont les mêmes canaux qui ont nié le vrai terrorisme en Algérie,qui essaie de défendre la version officielle du 11 septembre ) .


Enfin,pour répondre à ta question sur les services d’un pays du tiers monde.
L’intelligence, au sens noble du terme (c’est pour cela que les anglo-saxon parlent d’intelligence service » quand ils font allusion à un service de renseignement) n’est pas du ressort monopolitisque des occidentaux .
Encore eu t il fallut que chez nous, il y’ait eu les possibilités pour que ces intelligences puissent s’exprimer avec pour seule critère, l’efficacité de la protection de la Nation Algérienne , en apportant les réponses légitimes à toute attaque contre elle, que ce soit de l’intérieur ou de l’extérieur.
Malheureusement,les conditions ne sont pas réunies , la culture n’est pas là , pour que ce fusse le cas .
Plus tôt des réponses auraient été apportées, moins graves auraient été les conséquences du terrorisme à l’encontre du Peuple et de la Nation .
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

Message par l'adjudant/chef »

scorpion-rouge35 a écrit :
Coopération algéro-française sur le terrorisme
Zerhouni tente de rassurer Michèle Alliot-Marie

L’état de la menace terroriste, la coopération en cours en matière de sécurité intérieure et de sécurité civile ont fait l’objet de la réunion de travail entre les ministres de l’Intérieur français et algérien, Michèle Alliot-Marie et Noureddine Zerhouni, et leurs proches collaborateurs.

Paris. De notre bureau

Dans une conférence de presse qui a suivi ce tour de table d’une heure, les deux ministres ont axé leur propos sur le renforcement des relations franco-algériennes en général, plus particulièrement entre leurs deux départements, « des relations d’amitié et de confiance entre nos deux pays et nos deux ministères », a souligné Mme Alliot-Marie, qui a indiqué : « J’ai commencé par dire au ministre d’Etat, M. Zerhouni, combien la France est solidaire et proche de l’Algérie lorsque celle-ci a été frappée ces dernières semaines par trois attentats », ajoutant : « Nous avons évoqué en commun des défis propres à nos pays, notamment le terrorisme qui est une réalité. » Les entretiens ont porté sur des domaines comme « le renseignement, la sécurité civile, la protection de nos frontières et notre lutte commune contre tout ce qui peut être source d’insécurité pour nos concitoyens », a aussi indiqué Mme Alliot-Marie en ajoutant avoir été « intéressée » par l’analyse de M. Zerhouni. M. Zerhouni a affirmé qu’entre les parties algérienne et française « la construction de la confiance se fait de manière positive. Cela nous amène à développer la coopération dans tous les domaines ». « Nous nous félicitons d’avoir construit une confiance dans un domaine aussi sensible que la sécurité, tout est possible pour le reste. Chaque partie trouvera son intérêt. » « Notre partenariat se décline à tous les niveaux, à un niveau stratégique, avec nos collaborateurs, dans le domaine du renseignement, aussi au niveau de ce qu’on peut faire dans une meilleure compréhension des uns et des autres », a déclaré, pour sa part, Mme Alliot-Marie. Les deux ministres ont également évoqué la visite qu’effectuera début décembre le président Sarkozy en Algérie. M. Zerhouni a fait mention d’« échanges sur des problèmes sensibles qui nous concernent. Nos analyses sont très proches, notamment en ce qui concerne la sécurité de nos deux pays et de la région ». Selon le ministre algérien de l’Intérieur, l’évolution du contexte international au cours de ces cinq ou six dernières années est « un élément déterminant dans l’évolution de ce qu’on appelle le terrorisme islamique », affirmant que « des éléments exogènes à l’Islam l’ont favorisé ». « Dans l’ensemble, la situation en Algérie a évolué très favorablement », le phénomène du terrorisme a été « en quelque sorte boosté par le problème irakien, en Irak, au Liban l’année dernière, par le problème palestinien, je dirai même par certains aspects de la situation en Iran ». En ce qui concerne la question du nucléaire, l’Algérie milite pour une dénucléarisation du Moyen-Orient et de la Méditerranée, a-t-il ajouté. Le ministre de l’Intérieur a par ailleurs affirmé que le GSPC essaie de recruter des jeunes au nom de la libération de l’Irak et de la Palestine. « Les jeunes ne sont plus recrutés au nom de l’Islam. » Il est à rappeler que M. Zerhouni est arrivé jeudi à Paris pour une visite de deux jours à l’invitation de Mme Alliot-Marie.
Le ministre de l’Intérieur confirme la reddition de Hattab

Le fondateur du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), Hassan Hattab, s’est « rendu » aux autorités algériennes fin septembre, a confirmé, vendredi à Paris, le ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni. Interrogé lors d’une conférence de presse à Paris, M. Zerhouni a confirmé que Hattab « s’est rendu » aux autorités algériennes le 22 septembre, information qui avait été donnée le 28 septembre par le quotidien arabophone Ech Chourouk sur son site internet. « Nous le considérons comme un repenti », a déclaré le ministre algérien, avant d’ajouter : « Comme il est concerné par plusieurs dossiers judiciaires, il doit éclaircir sa situation. »

Nadjia Bouzeghrane
Zerhouni rencontre Alliot-Marie

La lutte antiterroriste se renforce entre Paris et Alger

Samedi 6 Octobre 2007

De notre correspondant à Paris
Merzak Meneceur

La coopération entre l’Algérie et la France dans la lutte contre les menaces du terrorisme et l’impérative nécessité d’assurer la sécurité des citoyens des deux pays sont au beau fixe. Cette coopération est considérée actuellement comme solide et concrète car elle est basée sur un principe partagé : la confiance. C’est la principale conclusion qui se dégage de la rencontre, hier à Paris, entre la ministre française de l’Intérieur, Mme Alliot-Marie, et son invité, son homologue algérien, M. Zerhouni.
Cette dimension de la confiance a été mise en évidence par les deux ministres lors de leur conférence de presse donnée à l’issue de l’entretien qui leur a permis de faire le point sur la menace terroriste et d’évaluer la coopération en cours dans les domaines de la sécurité intérieure et civile. Mme Alliot-Marie a précisé, après avoir manifesté «la solidarité de la France» à l’Algérie après les trois attentats terroristes et «sa reconnaissance aux gendarmes algériens qui ont sauvé la vie de français», que les deux ministres ont évoqué «les défis qui touchent les deux pays avec le terrorisme qui est une réalité» et «les différents domaines de coopération dans le renseignement, la sécurité civile, la sécurité des frontières, toutes source d’insécurité pour nos citoyens». A la ministre qui s’est félicité de «l’amitié et de la confiance entre les deux pays et les deux ministères».
M. Zerhouni a, quelque part, complété la phrase en déclarant : «Nous nous félicitons d’avoir construit une confiance dans un domaine aussi sensible que celui de la sécurité.»
M. Zerhouni a mis en relief ce qui lui paraissait certainement le plus important : «Nos analyses sont très proches dans le domaine sécuritaire pour nos deux pays et la région de manière générale.» Le ministre algérien a mis en relief le fait que, selon lui, l’évaluation du contexte international fait que, aujourd’hui, «le terrorisme n’a rien à voir avec l’islam». «Il y a, a-t-il expliqué, des éléments exogènes à l’islam qui le favorise. En Algérie, comme dans la plupart des pays arabes et musulmans, un phénomène qui a été boosté par les nouveaux développements de la situation au Moyen-Orient : la guerre en Irak, la guerre, hier, au Liban, la guerre en Palestine et par certains aspects, la politique liée au nucléaire […] En Algérie, le GSPC recrute des gens au nom de la libération de l’Irak et de la Palestine, voire du problème du Darfour, et non au nom de l’islam.»
Les deux ministres sont revenus sur la confiance qui est à la base du partenariat d’exception que prônent Paris et Alger dans tous les domaines de leurs relations bilatérales, «un partenariat qui se décline dans tous les domaines», dira Mme Alliot-Marie. Un partenariat et une confiance impulsés par les plus hauts dirigeants des deux Etats. Et comme la visite d’Etat en Algérie de M. Sarkozy est toujours à l’ordre du jour pour la fin de l’année, la ministre française a indiqué que cette visite «a été évoquée sur les éléments qui peuvent nous concerner». C’est-à-dire de ce qui relèvera de la compétence des ministères de l’Intérieur.

M. M.
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Message par l'adjudant/chef »

oreda99 a écrit :Blanchiment d’argent, stupéfiants, terrorisme
Interpol sollicite l’aide d’Alger:
«Les activités du bureau central national (BCN) Interpol Algérie sont très appréciées, la preuve est que je suis là», a annoncé, hier, Abdellatif Hosseme, expert international et chef du département Afrique du Nord et Moyen-Orient à Interpol, lors de l’ouverture des journées d’études autour de l’information et de la sensibilisation des missions de cette organisation internationale de la police criminelle à l’institut national de police criminelle (INPC) à Saoula.
«Interpol a choisi d’organiser la première édition de ces journées en Algérie pour les efforts très utiles fournis par ce pays en matière d’échange de renseignements et de participation à la lutte mondiale contre le crime sous toutes ses formes», ajoute-t-il, notant que ces journées concernent l’ensemble des pays arabes. En aparté, il lance que d’autres manifestations de ce genre seront organisées par Interpol, en Algérie, durant l’année prochaine. «Je remercie le ministre de l’intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni, le directeur général de la sûreté nationale, Ali Tounsi et le directeur de la police algérienne (DPJ) pour avoir accepté et aidé à la tenue de ces journées dont le but est de faire connaître le travail effectué par les éléments d’Interpol dans leurs missions de lutte contre tous les crimes et, également, entendre vos propositions», ajoute-t-il devant une assistance composée de plusieurs cadres supérieurs et officiers de la DGSN, de la Gendarmerie nationale et des Douanes. Quant à lui, Rabah Ladj, directeur de la police judiciaire, a annoncé l’ouverture officielle de ces journées, en présence de Benyamina Abed, responsable du BCN Interpol Algérie.

359 affaires de terrorisme traitées
On ne peut pas dire que le BCN Interpol Algérie a chômé ces dernières années. Véritable pivot de la lutte internationale contre le crime sous toutes ses formes, principalement le trafic et commercialisation de drogues, le blanchiment d’argent et le terrorisme, ce bureau a traité 1 839 affaires en 2004, dont 319 liées au trafic de drogue, 199 liées au terrorisme et 130 liées au trafic international de voitures volées. Le bureau central national Interpol Algérie a réussi, durant la même année, à identifier 392 personnes. En 2005, le BCN Interpol Algérie a traité 1308 affaires, dont 258 liées au trafic de stupéfiants, 82 liées au terrorisme et 16 liées à des réseaux internationaux liées au trafic de voitures volées, comme il a réussi à identifier 128 personnes. Durant l’année 2006, le BCN Interpol Algérie a traité 1632 affaires, dont 400 liées au trafic de stupéfiants, 58 liées au terrorisme et 9 liées aux réseaux internationaux de trafic de voitures volées, comme il a réussi à identifier 249 personnes durant la même année. Il peut en être déduit que le nombre d’affaires liées au trafic de stupéfiants traitées par le BCN Interpol Algérie est en croissance. Ce bureau a traité, en trois années, 359 affaires liées au terrorisme.

Des renseignements sur Khalifa à Londres

Le bureau central Interpol Algérie a échangé 4 459 renseignements en 2004, parmi les 187 pays membres d’Interpol. Le nombre de ces échanges est de 2673 en 2005, tandis qu’il est de 2422 en 2006. ce sont 313 échanges de renseignements enregistrés entre l’Algérie et la France, via les bureaux centraux nationaux d’Interpol de ces deux pays, contre 460 échanges en 2005, et 452 échanges en 2006. Deux échanges ont eu lieu avec la Colombie en 2004, aucun échange en 2005 et deux échanges en 2006. Ce sont 26 échanges de renseignements enregistrés avec les USA en 2004, 26 en 2005 et 16 en 2006. Le BCN Interpol Algérie a effectué 12 échanges de renseignements avec son homologue mauritanien en 2004, contre 6 en 2005 et 6 en 2006. Les échanges de renseignements entre le BCN algérien et celui italien n’est pas en reste, loin de là. Ce sont 696 échanges enregistrés en 2004 contre 245 en 2005 et 143 en 2006. Le bureau algérien d’Interpol a effectué 3 échanges de renseignements avec l’irak en 2005 et 11 échanges en 2006. Quatre échanges de renseignements avec l’iran en 2004, 2 en 2005 et 3 en 2006. Dix échanges ont été effectués avec le Liban en 2004, 2 en 2005 et un échange en 2006. Le BCN Interpol Algérie a effectué 199 échanges de renseignements avec l’Angleterre en 2004, contre 63 en 2005 et 60 en 2006. L’affaire de Abdelmoumene Rafik Khalifa n’a pas été en reste, à en croire une source proche du BCN Interpol Algérie puisque, annonce cette source, le BCN Interpol Algérie a fourni des renseignements à ce pays concernant le milliardaire en fuite.

Israël non concerné

Il est à noter l’absence d’Israël (membre d’Interpol) parmi les pays avec lesquels l’Algérie a échangé des renseignements. «Il n’y a pas de coopération, ni d’échange de renseignements avec Israël puisqu’il n’existe pas de relations diplomatiques entre ces deux pays», nous explique une source proche du BCN Interpol Algérie. Les relations politiques priment, parfois, sur la coopération, via Interpol, entre les pays membres de cette organisation internationale de police. C’est l’avis de Abdellatif Hosseme, expert international et chef du département Afrique du Nord et Moyen-Orient à Interpol. «Certaines difficultés apparaissent, parfois, quand les relations politiques entre deux pays ne sont pas au beau fixe. Nous essayons de rapprocher leurs points de vue», explique-t-il, de façon générale, ne faisant référence à aucun des pays membres à Interpol.

Extradition d’un «émir» du GIA

Pays membre d’Interpol depuis 1963, l’Algérie n’a obtenu d’extradition de ses ressortissants accusés d’être impliqués dans des affaires criminelles ou autres qu’au début des années 2000, apprenons-nous de source du BCN Interpol Algérie. Il s’agit, nous dit-on, de deux présumés terroristes, dont un présumé «émir» du GIA, extradés les deux d’Europe. Cette source fait part de certaines «réticences» enregistrées chez certains autres pays qui ne coopéreraient pas facilement avec l’Algérie. «Notre pays refuse d’extrader ses ressortissants accusés dans d’autres pays. Nous demandons des preuves de culpabilité aux pays demandeurs de renseignements sur nos ressortissants et nous n’agirons pas sans l’aval de la justice algérienne», explique cette source, selon laquelle «quand ces preuves existent, ces ressortissants algériens sont jugés en Algérie».

Les biens de Mokhtar Belmokhtar saisis:::::::::

Par le biais de la résolution 13/73, datée de l’année dernière, le conseil de sécurité des Nations unies a ordonné la saisie des biens de Mokhtar Belmokhtar, ancien «émir» de la zone du désert algérien du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). Cela est mentionné sur la «red notice» d’Interpol. Ont fait l’objet de la même mesure Oussama Ben Laden, chef d’Al Qaïda, né le 10 mars 1957 à Djeddah, en Arabie saoudite, recherché par Interpol en vertu de mandats d’arrêts internationaux délivrés par les USA, l’Espagne et la Libye. D’autres, dont Zawahirry Aiman Mohamed, numéro deux d’Al Qaïda, né en juin 1951, à Giza, en Egypte, recherché par Interpol en vertu d’un mandat d’arrêt international lancé à son encontre par l’Egypte. Il est à noter, par ailleurs, et selon le directeur de la police judiciaire, qu’en ce qui concerne la cybercriminalité, un groupe de travail œuvre, au ministère de la Justice, pour l’élaboration d’une loi réprimant davantage la cybercriminalité. Pour ce qui est de l’extradition de Abdelmoumène Rafik Khalifa, il explique que cela est du ressort de ce ministère. Des résolutions seront formulées, demain, au terme de ces deux journées d’études.
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oreda99 a écrit :Objet d’un mandat d’arrêt lancé par l’Algérie
Mohamed Samraoui arrêté en Espagne:

Mohamed Samraoui a été arrêté, le 22 du mois en cours, à Benalmadena, en Espagne, en vertu d’un mandat d’arrêt international lancé, à son encontre, par les autorités algériennes.
Ce féroce partisan de la campagne de dénigrement ayant pour nom le «qui tue qui ?» s’est rendu à cette ville espagnole pour participer à la conférence de l’International Correspondence Chess Fédération» dont ils serait le président. Cet ancien militaire algérien, connu pour ses nombreuses sorties médiatiques, à la chaîne de télévision qatarie Al Jazeera, notamment, a mené une terrible campagne de dénigrement à l’encontre de l’Algérie, ne ratant aucun rendez-vous médiatique pour faire dans un amalgame flagrant et exprimer sa haine indescriptible envers son pays. Se présentant comme un ancien colonel du DRS (département du renseignement et de la sécurité), il a fait part d’un carnage qui, selon lui, «a été commis par les forces de sécurité algériennes». Une information démentie par une enquête, menée sur place, par des experts français. Les démentis ne se sont pas arrêtés là. D’autres sont venues désavouer ce bonhomme beaucoup plus préoccupé par sa résidence à Londres que par les intérêts de l’Etat et du peuple algériens. A aucun moment, faut-il le noter, Mohamed Samraoui ne dit toute la vérité. Celle relative à ses agissements a sein de l’ANP et pour laquelle il a été écarté de l’armée algérienne. Des agissements qui ont fait de lui un «félon de l’ANP», tout comme Habib Souaidia, auteur du livre «la salle guerre», écarté, lui également, des rangs de l’armée nationale populaire pour différents délits relevant du droit commun, avant que ce dernier n’épouse la thèse du «qui tue qui ?» pour bénéficier de prévileges de certaines ONG aux objectifs inavouables.
Cette arrestation constitue-t-elle un prélude au lâchage de Mohamed Samraoui par certains services secrets européens qui le sponsorisaient et le manipulaient ? Rien n’indique le contraire, d’autant plus qu’il circulait, il n’ y a pas longtemps, librement, entre certains pays du Vieux continent. Soupçonné d’être un agent des services secrets français, il a tout fait pour servir les intérêts de ces services de renseignements, au detriment des intérêts du pays et de la vérité. C’est lui qui est l’auteur du livre «chronique des années de sang », paru en septembre 2003 dans les éditions Denoël, accusant les services de sécurité algériens d’avoir commis des atrocités, blanchissant, du coup le GIA, GSPC et autres groupes terroristes islamistes, qui ont suffisamment piétiné les droits de l’homme les plus élémentaires de la façon que l’on sait.
C’est depuis plusieurs années qu’il fait la désinformation, à travers certains médias, dont Al Jazeera, blanchissant, à chaque fois, les terroristes qui, eux-mêmes revendiquaient les attentats qu’il attribue aux services de sécurité algériens, à partir de Londres ! Ce qui est loin d’avoir influé sur le moral de l’ANP et des services de sécurité algériens, fort heureusement.
Mohamed Samraoui, qui doit donc s’attendre à l’entame d’une procédure d’extradition est né en 1953 et a rejoint les rangs de l’ANP en 1974, arrivant au grade de colonel. En 1996, il a été nommé attaché militaire à l’Ambassade d’Algérie en Allemagne. C’est là qu’il a abandonné ses fonctions et demandé l’asile politique.

Membre du GIA en fuite en Allemagne
Réexamen du dossier du lieutenant de Layada:

L’affaire de Ibrahim Badaoui, accusé d’homicide volontaire avec préméditation a été définitivement extraite de la session criminelle, jeudi dernier, et le dossier renvoyé au procureur de la République. Cette décision a été prise jeudi dernier par le tribunal criminel près la cour d’Alger, après avoir constaté l’absence de l’accusé dans ce procès dont la date a été renvoyée déjà à quatre reprises. Les faits remontent à l’année 1994 avec l’assassinat de Mouloud Kicha par trois individus à Baraki, dont Ibrahim Badaoui, selon l’accusation. Il ne serait, à cette date, pas encore affilié à un groupe terroriste, selon sa défense. Lui, seulement, reste toujours en vie. Il a été condamné, par contumace, à la peine de mort, en 1997. Ibrahim Badaoui s’était enfui. Il s’était installé en Allemagne. Il est rentré au pays pour bénéficier des dispositions de la Charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale. Diverses accusations pesant à son encontre, dont l’«appartenance à un groupe terroriste» étaient enlevées aux chefs d’inculpation retenus à son encontre, sur la base des textes d’application de la charte. L’accusation d’homicide volontaire avec préméditation a été retenue à son encontre, par la justice et devait être jugé dans le cadre du droit commun, conformément à la décision de justice. La date du procès a été renvoyée, à quatre reprises, à la demande de la défense de l’accusé. Il était programmé, pour la cinquième fois, à se tenir jeudi dernier. Il n’a pas répondu à une convocation de la justice pour prise de corps, datée du 15 octobre en cours ainsi qu’il a été absent jeudi dernier pour cette audience. La défense de l’accusé, assurée par Me Zahia Mokhtari, s’est retirée de cette audience. «Je me suis retirée de cette audience pour la raison que l’accusé qui est mon client, en refusant de répondre à la convocation de prise de corps, ni pour être présent, le jour du procès, n’a pas fait confiance à la justice et, par là, n’a pas fait confiance à sa défense», nous explique-t-elle, en «regrettant le comportement de Ibrahim Badaoui». Suite à cette absence, l’affaire de Ibrahim Badaoui a été, définitivement, rayée de la session criminelle. Des mesures seront engagées à son encontre, sur la base de l’article 327 des procédures d’absence du code de procédure pénale, selon une source judiciaire. Un délai de dix jours lui sera accordé pour se livrer à la justice, faute de quoi il sera considéré comme étant «hors la loi», ajoute cette source. Il est à noter que, précédemment, le fondateur du GIA, Abdelhak Layada, s’était déplacé au tribunal criminel d’Alger, avant le renvoi du procès à une date ultérieure. «Je suis ici pour soutenir Ibrahim Badaoui», nous a-t-il dit. Abdelhak Layada, résidant, lui également, à Baraki, est le fondateur du GIA auquel aurait appartenu Ibrahim Badaoui.

Par M. Abi
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Laigle a écrit :Bon et bien notons quelques choses positives et elles sont le fait de nos journalistes, pas des hommes politiques: certains ont enfin enlevé tout complexe et se décident enfin à pointer du doigts ceux qui ont alimenté le terrorisme en Algérie tout en le niant, à savoir divers services d intelligence étrangers et certains milieux , dont milieux idéologiques , étrangers.
Qui ont, malheureusement, trouvé chez des Algériens , conscients ou inconcients, les felons qu'il fallait pour ajouter de l'huile sur le feu, à un terrorisme dont une part des responsabilités repose sur le dos des dirigeants politiques qui ont tout le temps été à contre courant des conseils avisés des services de sécurité, qui,comme leur nom l'indique, devraient faire office d'autorité en la matière, lorsque les interets de la Nation sont mis en jeu .

Espérons que cette partie de notre histoire, qui continue à s'écrire,sera un jour, expliquée clairement à l'ensemble des Algériens mais pas uniquement afin que l'ensemble des intoxications telles que le " qui tue qui?" mais aussi les autres formes de soutien au terorisme , soient connus d'un maximum de gens à travers le Monde, surtout en ces temps ou le terme "terrorisme" est associé à tou et n'importe quoi, afin de cadrer aux interets neo coloniaux de nombre de puissances, qui justement, dans le cas de l'Algérie, ont eu à soutenir tout en niant, un terrorisme d'une rare violence.
La guerre pour la justice ne se fait pas uniquement à coup de balles, elle se fait aussi au niveau de l'histoire et de son rendu compte au plus grand nombre .
Par la suite, il ne faudra plus jamais qu'une seule génération d'Algériens ignore cela .Il faut que la mémoire perdure afin que jamais nosu ne tombions sous le coup des sirènes de ceux qui , partout à travers le monde, en fonction de leur vision, de leur idéologie, de leurs interets, n'ont eu de cesse de porter des coups à l'Algérie, en utilisant la propre progéniture Algérienne,qui par ses actes à l'encontre de la Nation, ne mérite plus cette appellation d'Algériens .
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Conférence de presse du président du Parlement européen hier à Alger
“La lutte antiterroriste est importante”


M. Hans-Gert Pottering a fait part, dans le cadre de ses discussions avec “les représentants de la société civile”, d’un “projet d’aide aux victimes du terrorisme”, que la Commission européenne pourrait peut-être financer.

Le président du Parlement européen (PE), Hans-Gert Pottering, s’est félicité, hier, lors de la conférence de presse qu’il a animée à la résidence Djenane El-Mithaq, des “résultats très satisfaisants réalisés pendant (son) séjour en Algérie”.
Dans son “bilan” de sa visite de deux jours dans notre pays, qui intervient sur invitation des présidents du Conseil de la nation et de l’Assemblée populaire nationale (APN), il a informé qu’il a eu des entretiens avec le chef de l’État, le Chef du gouvernement, le ministre des Affaires étrangères et les représentants de la commission des affaires étrangères du Parlement.
M. Hans-Gert Pottering a également fait part, dans le cadre de ses discussions avec “les représentants de la société civile”, d’un “projet d’aide aux victimes du terrorisme”, que la Commission européenne pourrait peut-être financer.
Le président du Parlement européen a tenu à confier ses “impressions” sur son séjour et déclaré que “l’Algérie est effectivement sur la bonne voie, en termes de développement économique et politique”. Il a, en outre, rendu “un hommage à l’Algérie pour sa lutte contre le terrorisme”. “Pour le Parlement européen, la lutte antiterroriste est importante”, a précisé l’invité de l’Algérie, non sans insister sur le fait que le PE “accorde une plus grande importance au dialogue entre les cultures”. D’où, la décision, dira-t-il, de son Parlement de “considérer l’année 2008 comme l’année du dialogue entre les cultures”. Pour M. Pottering, il faut arriver à “une cœxistence pacifique” et établir de “véritables partenariats sur la base de la tolérance”, par “le dialogue des cultures”.
Le conférencier a, cependant, fait remarquer que l’Algérie est “un pays très important pour l’Union européenne”. “Je souhaite un développement pour l’Algérie, car je pense que c’est un pays très important en Afrique et pour l’Europe”, a renchéri le représentant du PE, puis de souligner plus loin : “L’Algérie est un pont entre le continent africain et l’Europe.”
L’autre point abordé par Hans-Gert Pottering a concerné “l’intensification”, voire “le renforcement” des relations entre les pays de la région euroméditerranéenne. “Nous souhaitons relancer le processus de Barcelone. L’assemblée Euromed a un rôle important à jouer dans ce cadre”, a-t-il indiqué.
Au cours du débat, le président du PE, interpellé sur les points faibles du processus de Barcelone qui, pour rappel, a été initié en 1995, a reconnu “l’insuffisance dans l’intensité de la coopération” entre les deux rives de la Méditerranée.
Il s’est même référé aux discussions qu’il a tenues, ce mardi, avec des représentants algériens du secteur économique, pour qui “la coopération entre les deux rives et entre les pays de la région du Maghreb est très importante”. Sur la question énergétique, particulièrement celle relative au gaz, M. Pottering s’est juste limité à rappeler que “l’Union européenne est, après la Russie, le 2e client de l’Algérie, en matière de gaz naturel”. “Mais, notre coopération ne saurait se limiter au gaz naturel. Nous voulons un vrai dialogue qui porte sur la culture”, a-t-il attesté, en s’excusant de mettre fin à la rencontre avec les journalistes, qui aura duré près de 20 minutes, pour ne pas rater son vol.
En marge de la conférence de presse, l’invité de l’Algérie a néanmoins accepté de s’exprimer sur le projet d’union méditerranéenne, qui a été proposé dernièrement par le président français, Nicolas Sarkozy.
“Nous comprenons le souci du président français qui veut rapprocher les deux rives, mais il est trop tôt pour se prononcer sur ce projet”, a assuré le président du Parlement européen. Ce dernier a signalé l’absence de “détails”, en estimant que “la discussion reste ouverte” autour du projet d’union méditerranéenne.
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Le colonel félon du DRS en liberté
Zapatero relâche Samraoui

Comme espéré par ses avocats, l’ex-colonel Mohamed Samraoui, arrêté par la police espagnole le 22 octobre dernier, a bénéficié d’un “contrôle judiciaire” et a été libéré mercredi dernier.

À peine libéré, il confia que son arrestation est un coup orchestré par Alger pour intimider les opposants au régime. Tout en récusant les chefs d’inculpation retenus contre lui par la justice algérienne qui a délivré un mandat d’arrêt international suivi de celui d’Interpol à la faveur duquel il a été appréhendé par la police espagnole, l’officier déserteur versé dans l’opposition, animateur du Maol, Mouvement des officiers libres, mouvement catalogué d’opposition désormais tombé en “désuétude”. il a essayé, toutefois, de se justifier tout en affirmant que, dit-il, “si je devais le refaire, je le referais”. Il est accusé de porter atteinte au moral de l’ANP, de l’avoir incriminée de désertion et de terrorisme. Des griefs qu’il a rejetés estimant qu’il n’a pas porté atteinte à l’institution militaire, mais à des officiers qu’il cita nommément les impliquant dans la manipulation des groupes terroristes, l’exécution de civils. Le tout déballé dans son livre Chronique des années de sang, édité en 2003 en France.
Libéré mais gardé sous contrôle judiciaire, selon des informations, la justice espagnole attend le dossier et un complément d’informations d’Alger pour examiner une éventuelle demande d’extradition. Cette libération est, selon ces informations, motivée par le fait que Samraoui bénéficie de l’asile politique délivré par l’Allemagne où il réside. Ce qui accrédite la thèse d’une pression exercée par les militants des ONG françaises des droits de l’Homme, l’intervention d’Aït Ahmed, ce que confirme indirectement Samraoui qui évoque des contacts avec le leader du FFS, auprès du gouvernement — socialiste — espagnol qui à son tour aurait agi sur le tribunal qui une fois l’a fait bénéficier d’un traitement digne d’une VIP en prison, puis la libération de prison et sa mise sous contrôle judiciaire.
Que fera la justice espagnole ? Le relâcher et abandonner le mandat d’Interpol ? Le juger avec le risque de se retrouver avec un procès politique qui déteindra encore plus sur les relations entre Madrid et Alger ?
Car, si Samraoui tente de ramener cette situation à l’avantage de l’opposition qu’il voudrait incarner, d’autres voudraient replacer cette affaire dans un contexte plus étendu, élargi aux relations depuis toujours froides entre les socialistes espagnols et Alger.
Tension accentuée par le parti pris franc du gouvernement Zapatero en faveur du plan d’autonomie prôné par le Maroc pour le Sahara occidental ainsi que le litige énergétique lié à la vente du gaz algérien sur le marché espagnol. Samraoui évacue cette lecture afin de, certainement, focaliser les regards sur lui, mais avec l’erreur de créditer, en disant que le coup est monté par Alger, l’Algérie d’un pouvoir exorbitant pour agir partout. Y compris sur les capitales qui ne lui sont pas amies. Reste maintenant à savoir la position qu’adoptera la justice espagnole, l’Audience nationale, juridiction à compétence internationale qui hérite d’un mandat d’Interpol et d’une affaire lourde et politiquement complexe. Officiellement, elle a libéré Samraoui tout en le gardant en Espagne en attendant le complément d’informations d’Alger. Sachant évidemment que l’ancien officier félon du DRS bénéficie de la protection de son statut de réfugié politique, il sera ardu pour la justice espagnole de trancher son cas.
Quel qu’en soit l’aboutissement, il est sûr, au-delà de l’énigme, du brouillard qui entoure cette affaire, que seul Samraoui essaie d’en tirer profit pour se replacer sur une scène qui a évolué sans lui et nombre d’autres acteurs.
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

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L’Algérie n’a pas de centres de détention secrets”
L’Algérie a démenti hier avoir des “centres secrets de détention” et de pratique de la torture supervisés par les services de sécurité de l’État, comme l’en soupçonne le Comité des droits de l’homme de l’ONU à Genève. “Il n’y a pas en Algérie de centres de détention secrets et de pratique de la torture ni pour les citoyens ordinaires ni pour les terroristes”, a déclaré Me Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH) à la radio publique. Il a accusé le Comité de l’ONU de tenter ainsi de “porter atteinte à la réputation de l’Algérie”, soulignant que cette organisation avait dans le passé “pris fait et cause pour le terrorisme contre l’Algérie”. Le Comité de l’ONU s’est déclaré “préoccupé par les nombreuses informations non gouvernementales faisant état de l’existence de centres secrets de détention, qui se trouveraient à Houch Chnou, Oued Namous, Reggane, El Harrach et Ouargla”, dans ses “observations finales” publiées vendredi à l’issue de l’examen périodique de la situation en Algérie. Les experts des droits de l’homme de l’ONU demandent au gouvernement algérien de “s’assurer que tous les établissements de détention soient régulièrement visités” par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et par un organisme indépendant national. Ce n’est pas la première fois que les partisans du “qui-tue-qui ?” s’acharnent sur l’Algérie. Et même si la communauté internationale est engagée dans une véritable guerre contre le terrorisme, notamment depuis les attentats du 11 septembre 2001, les “avocats” des islamistes et des salafistes continuent leur campagne contre le pays en oubliant que le monde a changé.
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

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Algérie : Washington souhaite renforcer ses relations sécuritaires avec Alger

Les Etats-Unis souhaitent renforcer leurs relations avec l'Afrique de l'ouest dans le domaine de la sécurité, particulièrement avec le Mali et l'Algérie, a affirmé jeudi à Bamako le secrétaire d'Etat adjoint américain John Negroponte. "J'ai cru comprendre que le président du Mali (Amadou Toumani Touré) se rendrait bientôt en Algérie et que le problème de sécurité (le long des frontières entre les deux pays) sera abordé. C'est un domaine sur lequel nous aimerions travailler avec les deux gouvernements" et les autres pays ouest-africains, a déclaré le diplomate américain à la presse, au terme d'une tournée dans quatre pays africains.

Le diplomate américain a également expliqué que la présence américaine dans le nord du Mali se limite à la formation et aux exercices conjoints. Et ce en dépit de la présence dans cette zone d'un chef rebelle touareg malien qui a récemment repris les armes et, du côté algérien, de la Branche armée d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (BAQMI).

La présence américaine dans le nord malien "n'est pas une présence militaire", a-t-il précisé, rappelant que les Etats-Unis n'ont "aucune intention d'implanter une base militaire ou une présence américaine dans la région". Les Etats-Unis forment depuis 5 ans dans le nord du Mali, notamment à Tombouctou, des troupes maliennes à la lutte contre le banditisme et le terrorisme, dans le cadre de l'initiative Pan-Sahel.

url: http://www.toutsurlalgerie.com/algerie- ... -1692.html
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

Message par l'adjudant/chef »

Le terrorisme marocain dispose de fonds importants fournis par les wahhabites et Al Qaîda.
Les services de sécurité algériens chargés du dossier sécuritaire ont éventé le complot dangereux qui se joue à la frontière algéro-marocaine. Selon certaines sources, la DCE, services marocains de lutte antiterroriste, a découvert que les islamistes marocains jouissent du soutien de hauts dignitaires du Palais royal et d’un nombre important d’officiers des FAR pour la plupart originaires du Rif. Il est question, indique-t-on, d’appui logistique et de l’aménagement de caches communes. Cela confirme la jonction entre les terroristes marocains et algériens. A ce propos des sources sécuritaires ont confié que «les organisations marocaines travaillent de concert». El Hidjra oua Takfir se trouve aux maquis.
Salafia El djihadia dispose d’appuis jusque dans le Palais royal et s’occupe de l’action terroriste urbaine. L’alliance entre El Hidjra oua Takfir, Salafia El Djihadia marocaines et le Gspc avait été établie en 2002. Après plusieurs tentatives avortées, les organisations criminelles avec la complicité de certains militaires gradés de l’armée marocaine, ont réussi à établir une complicité et non des moindres. Et c’est ce qui vient d’être confirmé par le quotidien marocain As Sabah et rapporté par El Bilad de jeudi. Cinq rencontres ont réuni les organisations terroristes algérienne et marocaine. La DCE et la DSI travaillent d’arrache-pied sur les pistes pouvant les conduire à mettre un terme à cette dangereuse connexion qui a facilité la pénétration de terroristes marocains en Algérie.
Aussi, les unités des FAR et de la Gendarmerie royale, le GGF (gendarmerie algérienne) et l’ANP sont à pied d’oeuvre aux frontières. Il est vrai que les Afghans arabes après avoir été chassés par les Bosniaques, ont regagné l’Algérie via le Maroc avec la complicité passive du Maroc officiel. Ce que les autorités marocaines ont ignoré c’est que la moitié de ces vrais faux moudjahidine sont terrés sur leur territoire pour tisser leur toile mortelle. C’est le retour de manivelle et la même bête immonde qu’en Algérie émerge dangereusement. «L’appui d’Al Qaîda, conjugué au soutien des rifains et les habitants des quartiers pauvres, réduit considérablement l’action des services marocains», indiquent d’autre part nos sources.
La complicité d’officiers militaires marocains avec le Gspc, vise à créer un Etat islamique au Maghreb, dont le roi Mohammed VI serait le calife. Il convient de souligner, ont ajouté nos sources, que le terrorisme marocain dispose de fonds importants fournis par les wahhabites et Al Qaîda implantés à Kenitra, Tanger, Rabat et Fès.
Les terroristes marocains, jouissant de complicités de haut niveau, ont pu recevoir plusieurs cargaisons d’armes en provenance du Pakistan ou d’Israël.
En plus des armes légères, des FM, M60, du TNT, du C4 et de la nitroglycérine, une quantité importante de ces explosifs a été acheminée depuis le Maroc vers les maquis de l’Est et du Centre algériens via Maghnia. Usant du même procédé d’acheminement, des terroristes marocains ont fini dans les maquis algériens, avec l’aide de passeurs bien organisés. Si en Algérie la tâche de ces réseaux est facilitée par les organisations qui contrôlent l’ensemble du trafic contrebandier, qui se sont même chargés de faire parvenir les «lots de la mort» à leur destination, au Maroc ce sont les militaires qui prêtent main forte au terrorisme en Algérie. Dans quel intérêt?
En tout état de cause, sur la base de ces renseignements et d’autres récemment obtenus auprès de repentis, corroborés par des services spéciaux à titre de réciprocité, les autorités militaires algériennes ont plus que jamais renforcé la vigilance à la frontière ouest. Les services de la Gendarmerie nationale et l’ANP ont conjointement formé un dispositif sécuritaire drastique afin de mieux contrôler cette partie du territoire algérien,
http://barakanews.unblog.fr/2007/10/06/ ... slamistes/
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l'adjudant/chef
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Re: Coopération Internationale Anti-Terroriste [Algérie]

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DAVID WELCH AU TERME DE SA VISITE À ALGER
«Nous sommes prêts à vous aider»

«Le terrorisme est une menace commune qui se manifeste dans sa forme la plus violente dans les actions d’Al Qaîda».

Passant d’un langage ferme à des déclarations purement diplomatiques, le sous-secrétaire d’Etat américain chargé des Affaires du Proche-Orient et de l’Afrique du Nord, David Welch, a abordé tous les sujets devenus classiques entre Alger et Washington depuis les attentats du 11 septembre 2001.
Le terrorisme et les questions sécuritaires, la vente d’armes, le développement du nucléaire civil, les réformes économiques et la construction du Grand Maghreb en passant par l’inévitable question du Sahara occidental. Au danger commun que constitue le terrorisme, une réponse commune.
Le responsable américain a réaffirmé le soutien de son pays aux «gouvernement et peuple algériens dans leur lutte contre ce fléau». Sans transition, il a pointé du doigt Al Qaîda qui menace la sécurité mondiale. «Il y a une menace sur la sécurité dans beaucoup de régions dans le monde et le terrorisme est une menace commune qui se manifeste dans sa forme la plus violente dans les actions d’Al Qaîda», a-t-il déclaré. Au sujet de la vente des armes pour l’Algérie, sa réponse n’a pas changé d’un iota par rapport à celle qu’il a «servie», il y a exactement deux ans.
Si l’Algérie avait à demander l’achat d’armement, «à ce moment-là cette question sera examinée quant au fond, à la substance», «pour le moment, rien ne nous a été demandé de précis. Mais si le cas se présentait, nous aurons à traiter la question avec respect et trouver des réponses aux nécessités exprimées» a répondu, le 13 mars 2006, aux journalistes de la presse nationale, M.Welch.
Et qu’a-t-il répondu en 2008? Il a indiqué que les Etats-Unis sont ´´prêts´´ à étudier une éventuelle demande de l’Algérie d’achat d’armes. M.Welch a, d’autre part, affirmé que «si l’Algérie veut développer son programme nucléaire civil, les Etats-Unis n’avaient absolument aucune objection». «Nous avons d’ailleurs conclu l’année dernière un accord de coopération dans ce sens», a-t-il rappelé. Sur le dossier des détenus de Guantanamo, le diplomate a exprimé le souhait de son pays de «conclure bientôt un accord avec l’Algérie». Entretenant un semblant de flou il ajoute: «Nous voulons renvoyer ces prisonniers vers leurs pays d’origine mais nous devons nous assurer qu’ils ne présentent pas de danger, car nous avons des exemples de prisonniers retournés dans leurs pays et qui ont ensuite été relâchés».
Il y a bien une insinuation dans ces propos. En d’autres termes, M.Welch veut-il indirectement suggérer que ces prisonniers ne bénéficieraient pas des dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale? Interrogé sur la situation politique de l’Algérie, M.Welch a assuré que les Etats-Unis «s’intéressent à ce qui se passe en politique en Algérie, qui est un pays important dans la région avec lequel nous avons de très bonnes relations».
Sur le chapitre économique le secrétaire d’Etat-adjoint américain, a réitéré son soutien aux réformes et aux programmes ambitieux en Algérie. «Si l’Algérie a des difficultés dans un quelconque secteur, nous sommes prêts à l’aider à y faire face», a-t-il ajouté.
Pour le Sahara occidental, M.Welch a souligné que «tout règlement doit respecter le droit du peuple sahraoui, y compris son droit d’avoir son mot à dire dans cette solution».
«Les Nations unies ont la responsabilité de la médiation entre les parties au conflit», a-t-il précisé. Enfin, concernant l’Africom, le nouveau centre de commandement militaire US pour l’Afrique, le diplomate américain précise qu’«il ne s’agit pas pour nous de construire des bases ou de déployer des troupes américaines en Afrique».

Brahim TAKHEROUBT
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