Construction automobile en Algérie

Toutes les discussions a propos de la politique, de l'économie et de la société Algérienne (uniquement)
Répondre

Sifax
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 2574
Inscription : 31 mars 2012, 12:44

Re: Construction automobile en Algérie

Message par Sifax »

Elkhabar:
وتؤكد هذه التسريبات من عند ''رونو'' بفرنسا أن المصنع يريد إبقاء مشروعه هو الوحيد في الجزائر، وهذا تأكيدا لما صرح به المدير العام لـ''رونو''، كارلوس غوسن، على هامش افتتاح مصنع بطنجة المغربية، حيث أكد أنه إن كان هناك مصنع للسيارات في الجزائر فسيكون من نصيب ''رونو''، في إشارة إلى المصنع الألماني ''فولغسفاغن''
http://www.elkhabar.com/ar/economie/288183.html

Je ne comprends pas ce "choix" entre Renault et Volkswagen. L'Algérie ne peut elle pas accueillir plusieurs constructeurs? Pourquoi à chaque fois qu'on parle de ces deux projets, on a l'impression qu'en ne peut prendre qu'un seul? C'est au moins le ton que donne les deux dernières déclarations des officiels de Renault.

Echourok:
رفضت مواقع جيجل وعنابة ومستغانم
رونو تشترط إقامة مصنعها بالرويبة

رفضت مجموعة "رونو" مواقع بلارة بولاية جيجل وعنابة في شرق البلاد ومستغانم بالغرب، التي اقترحتها الحكومة الجزائرية لإقامة مصنع لتركيب السيارات، وتمسكت بمطلبها المتمثل في إقامة وحدتها للتركيب بالمنطقة الصناعية الرويبة قرب العاصمة على مساحة مقدرة بـ55 هكتارا.

وبرر خبراء الشركة الفرنسية، رفضهم لموقع "بلارة" بعدم توفر البنية التحية الضرورية التي تتناسب مع شروط إقامة خبرائها ومهندسيها من الموظفين الأجانب، وغياب بنية تحتية فندقية وترفيهية كافية وغياب مؤسسات تعليمية مناسبة إلى جانب بعد الولاية عن مقر اتخاذ القرار الممركز بشكل كامل بالعاصمة الجزائر.

وكشف مصدر قريب من الملف في تصريحات لـ"الشروق"، أن الشركة تمسكت بقرارها الأول، وهو التواجد بالعاصمة بسبب القرب من مصادر القرار ووجود البنية التحتية الضرورية والقدرة على التعامل مع بيروقراطية الإدارة الاقتصادية الجزائرية، مضيفا أن الحجج المقدمة بخصوص عدم وجود يد عاملة مؤهلة في ولايات الشرق أو غرب البلاد مجرد حجج واهية للتغطية على رفض المجموعة الفرنسية الابتعاد عن مصدر صناعة القرار المتمركز كليا بالعاصمة الجزائر.
[/size]
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/128076.html
Renault refuse (selon Echourok) le site de Belara (Jijel) ainsi que Annaba et Moustaganeme, les raisons étant 1-qu'elle veut être proche du centre de décision politico administratif, et 2-avoir un environnement (cadre de vie y compris loisirs) acceptable pour les expatriés qu'elle fera travailler en Algérie. C'est pour ça qu'elle veut le site de Rouiba.
Avatar de l’utilisateur

anzar
Fariq (فريق)
Fariq (فريق)
Messages : 21648
Inscription : 21 mars 2012, 11:50
Been thanked : 3 times

Re: Construction automobile en Algérie

Message par anzar »

Elle veut le site de Rouiba pour empêcher VW de s y installer et surtout de perturber le projet avec Mercedes. Sachant que Renault considère que le site de la SNVI appartient à Berliet qu'elle a racheté et dont la nationalisation est non avenu. D'ailleurs il y a plein d'immeubles dans Alger centre, dont beaucoup qui sont utilisés par les administrations publiques, dont la propriété a été restituée à leur propriétaire durant la colonisation ou à leur héritiers.... le pire c'est que l'état débourse des milliards en location
Image
Avatar de l’utilisateur

scorpion-rouge35
Fariq (فريق)
Fariq (فريق)
Messages : 5463
Inscription : 20 mars 2012, 13:03
Localisation : ALGERIE-ALGER
Contact :

Re: Construction automobile en Algérie

Message par scorpion-rouge35 »

ils peuvent toujours se brossé ..
THE ALGERIAN ARMY


Sifax
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 2574
Inscription : 31 mars 2012, 12:44

Re: Construction automobile en Algérie

Message par Sifax »

Un argument de plus en possession de la partie algérienne lors de négociations avec les groupes Renault et Volkswagen:
Le marché algérien du véhicule neuf se porte bien. Durant les trois premiers mois de 2012, l’Algérie a importé 102 720 véhicules, contre 87 962 unités à la même période en 2011, en hausse de 16,78 %, a indiqué ce lundi 30 avril le Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes algériennes.
(...)
Les importations de l’Algérie durant le premier trimestre de l’année en cours restent dominées par les marques françaises, toutefois les importations de Sovac (concessionnaire de Volkswagen, Audi, Seat et Skoda) ont connu un boom avec +87,51 %, passant de 4 347 à 8 151 unités. En valeur, le montant de Sovac, classé 3e importateur de véhicules en Algérie après les Français Renault et Peugeot, est passé de 6,11 milliards DA à 11,69 milliards de DA, en évolution de 91,3 %, a ajouté le Cnis. (...)
http://www.tsa-algerie.com/economie-et- ... 20524.html
En attendant, il deviens très urgent de lancer une industrie indigène de véhicules. En 2012 nous allons importer 15% de plus que le record de 2011.
Avatar de l’utilisateur

yak
Arif Awal (عريف أول)
Arif Awal (عريف أول)
Messages : 258
Inscription : 30 mars 2012, 16:11

Re: Construction automobile en Algérie

Message par yak »

Sifax a écrit :Un argument de plus en possession de la partie algérienne lors de négociations avec les groupes Renault et Volkswagen:
Le marché algérien du véhicule neuf se porte bien. Durant les trois premiers mois de 2012, l’Algérie a importé 102 720 véhicules, contre 87 962 unités à la même période en 2011, en hausse de 16,78 %, a indiqué ce lundi 30 avril le Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes algériennes.
(...)
Les importations de l’Algérie durant le premier trimestre de l’année en cours restent dominées par les marques françaises, toutefois les importations de Sovac (concessionnaire de Volkswagen, Audi, Seat et Skoda) ont connu un boom avec +87,51 %, passant de 4 347 à 8 151 unités. En valeur, le montant de Sovac, classé 3e importateur de véhicules en Algérie après les Français Renault et Peugeot, est passé de 6,11 milliards DA à 11,69 milliards de DA, en évolution de 91,3 %, a ajouté le Cnis. (...)
http://www.tsa-algerie.com/economie-et- ... 20524.html
En attendant, il deviens très urgent de lancer une industrie indigène de véhicules. En 2012 nous allons importer 15% de plus que le record de 2011.
Un argument de plus!, oui certainement, mais dans les mains de responsables patriotes , dignes, peu corrompus, compétents etc etc...., or le responsable en charge de ce dossier "renaullt", ainsi que ses subalternes n'ont visiblement rien de tout ça.
L'affaire renault n'est plus une simple mascarade, où le gouvernement algérien est ridiculisé et tourné en bourrique constamment, ni même un problème d’incompétence et de médiocrité. Non il s'agit là d'un vrai travail de sape, méthodique, consciencieux, et régulier. Le but n'est pas seulement d’empêcher le projet VW, de pourrir et briser celui de Mercedes, mais de miner tout le secteur de l'industrie mécanique en Algérie; les harka sont toujours parmi nous.
Image

Youma
Banni Définitivement
Banni Définitivement
Messages : 3343
Inscription : 30 mars 2012, 19:24
Localisation : Forcesdz

Re: Construction automobile en Algérie

Message par Youma »

03/05/2012
L'usine Renault en Algérie en bonne voie

Depuis plus de deux ans, on annonce l’arrivée d’une nouvelle usine en Algérie, mais force est de constater que celle-ci commence à jouer l’arlésienne. Voilà deux années déjà que la fin des négociations est en cours…

Ainsi, pour le moment, aucun accord n’a été signé entre Renault et l’Etat algérien.
Pourtant cette fois, selon Reuters, l’accord tant attendu devrait être officialisé en ce début de mois, même si Renault se refuse de confirmer ou infirmer l’information, se contentant tout juste de répondre que les négociations sont toujours en cours, et qu’une annonce devrait très prochainement être faite..

Une histoire politique
La longueur des négociations s’explique par différents désaccords entre le constructeur et le pays.
Par exemple, Renault veut s’installer dans la banlieue d'Alger sur le site de l'ancienne usine de Berliet alors que gouvernement préfère que le constructeur s’installe à Jijel, à plus de 360 km d'Alger afin rééquilibrer les investissements industriels entre les régions. "Nous nous sommes fixés pour règle à Renault de produire au plus près d'où l'on vend. De même, nous souhaitons trouver des ressources humaines nécessaires pour notre usine." expliquait en février un cadre du groupe.

Le but de la future usine algérienne est avant tout de produire pour le marché local, au contraire du nouveau site de Tanger, au Maroc. "A Tanger, nous produisons avant tout pour exporter. C'est l'esprit de l'accord avec le gouvernement marocain.. En Algérie, nous n'avons pas l'ambition d'exporter, c'est une usine prévue pour le marché local." Ajoutait-il. La taille des deux usines ne serait pas la même non plus. L’usine de Tanger a en effet une capacité de 400 000 véhicules, alors que celle en Algérie serait taillée pour « seulement » 75 000 véhicules par an. Rien à voir donc.

Avec 25% du marché local, l’un des plus gros d’Afrique, en plein « boom » cette année avec une hausse de 17% au cours du premier trimestre de cette année, Renault est déjà bien implanté. Mais en important ses modèles (Dacia), le constructeur doit faire face à d’importantes taxes, comme en Chine d’ailleurs. L’implantation d’une usine se justifie donc.

http://www.planeterenault.com/1597-actu ... onne-voie/

Sifax
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 2574
Inscription : 31 mars 2012, 12:44

Re: Construction automobile en Algérie

Message par Sifax »

Le nouveau gouvernement algérien devra revoir sa copie pour conclure avec Renault (07 MAI 2012)

Le président Sarkozy va quitter ses fonctions sans avoir scellé un grand accord industriel avec l’Algérie. Le constructeur Renault annoncera l’implantation d’un site de production en Algérie lorsque seront levés les deux derniers obstacles qui entravent l’accord. Une responsabilité du nouveau gouvernement issu des élections législatives du 10 mai. Renault est la première à profiter de l’expansion importations de voitures en Algérie, encore + 17% au 1er trimestre 2012.

En réalité, deux moutures d’accord sont, depuis plusieurs semaines, sur la table entre l’Algérie et Renault. Celle soutenue par le département de Mohamed Benmeradi prévoit une production d’entrée à 150 000 véhicules par an, basée à Bellara à 340 km à l’est d’Alger et dans laquelle le distributeur Renault Algérie est intégré à la nouvelle entité. L’autre copie, celle de Renault, exclue d’inclure Renault Algérie dans la mise, préfère Rouïba à Bellara pour le site d’implantation et ne s’engage pas sur le volume de 150 000 véhicules par an dès le début. L’alternance politique à la tête de la France pourrait rendre Alger plus flexible. Ou pas. Car le dossier n’est pas certain d’être encore traitée par Mohamed Benmeradi, le ministre de l’industrie actuel en attente lui aussi d’une redistribution des portefeuilles ministériels après les élections législatives du 10 mai. La source interne de Renault qui a annoncé un accord possible dès les premiers jours de mai a sous-estimé l’inertie de la conjoncture politique. Sur un dossier, en plus, où les positions paraissent encore bien éloignées.
Les expatriés ne resteraient pas à Bellara
Le point de désaccord le plus ancien entre le gouvernement algérien et le constructeur français n’était toujours pas levé, début mai, entre les deux parties. Alger veut que le réseau de distribution de Renault Algérie soit « apporté » dans l’investissement par la partie française. Renault refuse. «Il s’agit de réduire les intermédiaires pour nous. L’usine aura, avec la concession Renault Algérie, son propre réseau de distribution » explique une source algérienne proche du ministère de l’industrie qui admet dans le même temps que cette condition ne devrait pas devenir rédhibitoire, car il existe d’autres moyens d’éviter un emballement des marges en faveur du distributeur et au détriment de l’usine. Il est vrai également que l’intégration de Renault-Dacia Algérie dans le tour de table de l’investissement global signifie sa nationalisation, puisque la production automobile se fera sous le régime des 51% pour la partie algérienne et 49% pour la partie étrangère. Difficile à faire avaler pour un réseau leader du marché avec 75 000 véhicules vendus en 2011 dont les deux tiers sous la marque Renault. Le ministre algérien qui prendra la main sur ce dossier devra motiver son renoncement à cette clause de l’intégration de Renault Algérie dans l’accord. En obtenant en contrepartie l’implantation du site de production à Bellara ? Rien n’est moins sur. La délégation de Renault qui s’est rendue, fin janvier dernier, sur la zone de Bellara a certes bien constaté les atouts du site. Il est pourvu de toutes les utilités, se situe à 30 km du plus grand port d’Algérie, DjenDjen, à proximité d’une voie ferrée. Avec l’apport de l’université de Jijel et des centres de formation de la région, l’usine automobile à Bellara peut être lancée avec 200 travailleurs pour passer à 1500 en cinq ans. Renault ne voit pas pourtant pas les choses ainsi. Le site de Rouiba demeure plus concurrentiel à ses yeux pour trois raisons : le gisement plus grand de la sous-traitance environnante, le mode de vie plus compatible pour les expatriés et leurs familles qui vivront à Alger et la proximité des centres de décision administratifs dans la capitale. Là aussi, il est très peu probable que Renault renonce à son choix du site de Rouiba, même s’il comporte l’inconvénient majeur de plafonner la production à 100 000 véhicules par an dans sa configuration actuelle. Pour atteindre le plateau des 150 000 véhicules an recherché, il faudra envisager des extensions.

Renault aussi ne peut pas rester inflexible
Renault n’a lâché sur rien depuis plusieurs mois. Mais aucun accord n’affleure sur ses propres conditions. Le constructeur français sait que le gouvernement algérien a trop engagé sa crédibilité sur ce projet pour vouloir le torpiller en s’arcboutant sur ces conditions. Dans le même temps, Renault ne peut pas rester inflexible alors que sa position de leader d’un marché en très forte croissance pourrait être soufflée dans le cas d’un échec définitif de la négociation. Carlos Ghosn, le PDG de l’Alliance Renault-Nissan l’a bien laissé entendre l’automne dernier en affirmant qu’il ne laisserait à aucun concurrent la priorité d’investir dans la production en Algérie. Les 450 000 nouvelles immatriculations pourraient déjà être atteintes dès 2012 rendant tout à fait bancable un investissement immédiat pour 150 000 véhicules par an. A la différence de l’investissement 100% Renault de Tanger au Maroc, celui en Algérie, en joint venture, devra être tiré par les commandes domestiques plus que par les exportations. Il est basé sur les véhicules low-coast et de milieu de gamme.
http://maghrebemergent.info/investissem ... nault.html
Enacta/ projet espagnol de réalisation d’une usine de fabrication des équipements de contrôle techniques des véhicules en Algérie

L’Enterprise nationale de contrôle technique des voitures a licencié 15 agents de contrôle au 1er trimestre de 2012, suite à l’irrespect des règles professionnelles. Cinq de ces derniers ont été licenciés d’une manière définitive, a annoncé aujourd’hui dimanche le Directeur Général de l’Etablissement national du contrôle technique automobile (Enacta), Abdellah Laghrib. Cet établissement est entrain de mener des entretiens avec l’Espagne pour installer une usine des équipements du contrôle technique des véhicules en Algérie. Dans une déclaration à la radio nationale, le même interlocuteur a estimé que 15 contrôleurs ont été licenciés durant le premier trimestre de 2012, dont cinq d’une manière définitive, « retrait définitif d’agrément ». Le parc automobile national ne cesse de grandir et de se développer via l’expansion du réseau de contrôle technique. On vise çà rendre cette prestation à la portée des citoyens, a expliqué le même responsable. « Environ 1973 voitures ont été arrêter de la circulation durant le 1er trimestre de 2012, alors que 11930 autres voitures ont été soumises au contrôle » a expliqué la même source avant d’ajouter que plus de 15.5 millions de voitures ont été soumises au contrôle par les agences de l’entreprises entre 2003 et 2012 à l’échelle nationale. Enacta a également entamé des entretiens avec un groupement espagnole portant sur la nécessité de réaliser une usine de fabrication des équipements de contrôle technique des voitures, qui permettra de réaliser le développement technologique, créer des postes d’emploi et réduire les dépenses publiques.

I. Belahcène/ version française K.F
http://www.numidianews.com/fr/article~15188.html
Dernière modification par Sifax le 29 mai 2012, 10:35, modifié 1 fois.

Sifax
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 2574
Inscription : 31 mars 2012, 12:44

Re: Le projet de voiture "made in Algeria"

Message par Sifax »

Enacta/ projet espagnol de réalisation d’une usine de fabrication des équipements de contrôle techniques des véhicules en Algérie

L’Enterprise nationale de contrôle technique des voitures a licencié 15 agents de contrôle au 1er trimestre de 2012, suite à l’irrespect des règles professionnelles. Cinq de ces derniers ont été licenciés d’une manière définitive, a annoncé aujourd’hui dimanche le Directeur Général de l’Etablissement national du contrôle technique automobile (Enacta), Abdellah Laghrib. Cet établissement est entrain de mener des entretiens avec l’Espagne pour installer une usine des équipements du contrôle technique des véhicules en Algérie. Dans une déclaration à la radio nationale, le même interlocuteur a estimé que 15 contrôleurs ont été licenciés durant le premier trimestre de 2012, dont cinq d’une manière définitive, « retrait définitif d’agrément ». Le parc automobile national ne cesse de grandir et de se développer via l’expansion du réseau de contrôle technique. On vise çà rendre cette prestation à la portée des citoyens, a expliqué le même responsable. « Environ 1973 voitures ont été arrêter de la circulation durant le 1er trimestre de 2012, alors que 11930 autres voitures ont été soumises au contrôle » a expliqué la même source avant d’ajouter que plus de 15.5 millions de voitures ont été soumises au contrôle par les agences de l’entreprises entre 2003 et 2012 à l’échelle nationale. Enacta a également entamé des entretiens avec un groupement espagnole portant sur la nécessité de réaliser une usine de fabrication des équipements de contrôle technique des voitures, qui permettra de réaliser le développement technologique, créer des postes d’emploi et réduire les dépenses publiques.

I. Belahcène/ version française K.F
http://www.numidianews.com/fr/article~15188.html
Avatar de l’utilisateur

Souf
Arif Awal (عريف أول)
Arif Awal (عريف أول)
Messages : 365
Inscription : 30 mars 2012, 17:34

Re: Le projet de voiture "made in Algeria"

Message par Souf »

guidher a écrit :ouyahia critique Renault il parait qu il ne crois plus en son projet
Ouyahia parle du marché de l'automobile en Algérie
Le SG du RND a été très critique envers les concessionnaires automobile. “Avez-vous vu un pays au monde où quelqu’un vient avec une pile de dossiers et achète 60 voitures en gros. Cela se passe en Algérie. Nous avons importé pour les Algériens des marques les plus bizarres de la planète”, a relevé Ouyahia. Mohamed Baïri, également vice-président du FCE, note que l’Algérie a importé plus de 400 000 véhicules en 2011.
Nous sommes le premier marché dans la région et le deuxième en Afrique, après l’Afrique du Sud. Et nous restons le marché qui a le moins réussi à engager des efforts d’intégration et de développement d’une industrie mécanique nationale. Nous continuons à négocier avec un partenaire qui, manifestement, n’est pas intéressé par l’investissement sur le marché algérien”, a-t-il ajouté. “Si l’opérateur que vous venez de citer (Renault, ndlr) continue à faire encore un peu de coquetterie, d’autres opérateurs, pas dans le véhicule léger, sont en train d’avancer”, a répondu Ouyahia, citant le projet Mercedes
http://www.fibladi.com/goto/?url=http:/ ... g%C3%A9rie
C'est le comble de l’hypocrisie et de l'incompétence cette intervention, c'est lui le chef du gouvernement et ce sont ses ministres qui mènent ces négociations stériles comme leurs cerveaux. Pourquoi il n'a pas donné l'ordre ou des consignes pour arrêter les négociations ? Au contraire, il confirme qu'on va continuer à négocier mais quoi ? je sais pas...
PROUDLY MUSLIM
PROUDLY ALGERIAN : 22/12/2012 à cause de boutef

Le Roi prédateur

Sifax
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 2574
Inscription : 31 mars 2012, 12:44

Re: Construction automobile en Algérie

Message par Sifax »

Une nouvelle partie du feuilleton...

Il serai possible que Renault annonce l'aboutissement des négociations aux marges de la foire d'Alger.
accord préliminaire de réalisation du projet de l’usine Renault en Algérie

Il est prévu que les deux parties algérienne et française annoncent dans les jours à venir le lancement d’un des plus importants projets entre les deux pays, à savoir celui de la réalisation de l’usine Renault en Algérie. Les deux parties ont conclu un accord de principe lors de la visite effectuée en Algérie par une délégation de haut niveau. La délégation Renault qui s’est entretenue pendant deux jours à la résidence d’El Mithak à Alger avec des responsables et représentants du ministère de l’Industrie et des petites et moyennes entreprises et de la promotion des investissements, sur le projet de réalisation du projet de montage des véhicules Renault à Belara, wilaya de Jijel. Le projet de Belara à Jijel sera lancé à la base de 51% des actions pour la partie algérienne contre 49% pour la partie Française. Le conseil d’administration de Renault Algérie sera, par ailleurs, présidé par la partie française, a appris « Numidianews ». La partie algérienne qui s’associera à ce projet sera composée du Fonds national pour l’investissement et de la Société nationale des véhicules industriels. Quatre sortes de véhicules « Renault » sont prévues être montées à l’usine de Belara. La capacité de production de cette usine sera estimée entre 50 et 75 mille véhicules, et atteindra les 150 mille unités dans les horizons de 2015 et 2016, sachant que les besoins du marché algérien sont estimés environ 200 et 250 mille véhicules par an. La partie algérienne a exigé que les véhicules qui seront industrialisés en Algérie aient les mêmes caractéristiques et la même qualité de la marque originale. Ce projet s’il venait d’être réalisé, sera le plus important projet français en Algérie, après celui du montage des véhicules du Tramway.
http://www.numidianews.com/fr/article~15590.html
Version arabe: http://www.numidianews.com/ar/article~15578.html

Sifax
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 2574
Inscription : 31 mars 2012, 12:44

Re: Construction automobile en Algérie

Message par Sifax »

Le projet d’usine Renault en Algérie : Un accord a été trouvé (Par Khidr Omar, 29/05/2012)

Une délégation du groupe Renault conduite par le président directeur général Carlos Ghosn a séjourné durant la semaine dernière en Algérie en vue de relancer le projet de construction d’une usine de montage.

Des discussions entre la délégation Française et des responsables Algériens ont eu lieu au niveau de El-Djenane El Mithak à Alger. Selon le quotidien national El khabar, qui révèle l’information dans sa livraison de ce mardi, des concessions ont été faites de deux cotés en vue de la levée des contraintes qui freinent encore la concrétisation de ce projet.

Le site initialement choisi pour abriter l’usine Renault en Algérie, à savoir, Bellara dans la wilaya de Jijel, est toujours maintenu selon la même source. En contre partie du maintien de leur position, les autorités Algériennes promettent de lancer des travaux supplémentaires à l’effet de réunir des conditions meilleures et favorables au lancement de cet investissement notamment la viabilisation et l’aménagement du site ainsi que la réalisation d’une liaison avec l’axe autoroutier et la voie ferrée.

Selon toujours El khabar les deux parties seraient même parvenues à un accord de principe sur le lancement prochain de ce projet à l’issue de ces nouvelles discussions. Un accord qui pourrait être rendu public dans les prochains jours.

Pour rappel, fin avril dernier, le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi avait déclaré que la partie Française « a mis en avant le manque de main-d’œuvre qualifiée dans la wilaya de Jijel et considéré que seules les grandes villes, comme Alger ou Oran, sont en mesure de lui fournir la ressource humaine nécessaire » pour solliciter le changement du site d’implantation de l’usine en question.

On a même évoqué la probabilité d’abandon par les dirigeants du groupe Renault de l’option de s’installer en Algérie.
http://www.algerie1.com/actualite/le-pr ... te-trouve/

Sifax
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 2574
Inscription : 31 mars 2012, 12:44

Re: Construction automobile en Algérie

Message par Sifax »

Jijel n’accueillera pas la future Renault en Algérie (Par Ali Idir)

Renault s’éloigne définitivement de Jijel pour l’implantation de son usine algérienne. Le gouvernement algérien n’est pas parvenu à imposer le site de Bellara au constructeur français pour accueillir une usine de fabrication de voitures de la marque au losange. « Une délégation de Renault a séjourné récemment à Alger. Les discussions ont repris avec le gouvernement algérien sur le choix d’un nouveau site capable d’accueillir une usine de fabrication de voitures », affirme une source française. La délégation de Renault était conduite par des cadres du groupe français.

Le 25 avril, le ministre de l’Industrie, Mohamed Benmeradi, avait accusé Renault de faire traîner les négociations et de refuser le site de Bellara près de Jijel. « Les discussions ont pris plus de temps que prévu. Le partenaire étranger (Renault) a considéré que le lieu proposé pour l'implantation de l'usine est loin du bassin de l'emploi et qu'il n'offrait pas les opportunités nécessaires », avait déclaré M. Benmeradi.

Le constructeur français a en effet rejeté le site de Bellara choisi par Alger par souci « d’équilibre entre les régions » en matière d’investissement. « Renault a menacé de mettre fin aux négociations sur l’implantation de cette usine si le gouvernement maintenait le site de Jijel », ajoute notre source.

Le constructeur français préfère obtenir un terrain à Rouiba, près d’Alger, pour y implanter une petite usine de fabrication de voitures destinée au marché algérien. En Algérie, et contrairement au Maroc, Renault ne produira pas pour exporter. L’usine algérienne aura une capacité de 75 000 véhicules contre 400 000 pour celle de Tanger, au Maroc. Pour des connaisseurs du dossier, Renault cherche à gagner du temps, en rejetant le site de Bellara. « L’argument lié au manque de la main‑d’œuvre à Jijel ne tient pas la route. Renault peut faire venir des compétences de tout le pays », estime un spécialiste de l’automobile.

De son coté, le gouvernement algérien semble prêt à toutes les concessions pourvu que Renault accepte de construire une usine dans le pays. « Notre gouvernement ne sait pas ce qu’il veut exactement. Il est anormal qu’un tel projet soit bloqué à cause d’un terrain. Le gouvernement peut bien proposer plusieurs sites à Renault », ajoute le même spécialiste. En 2011, Renault a vendu plus de 75 000 véhicules en Algérie, soit 25 % de parts de marché.
http://www.tsa-algerie.com/economie-et- ... 20969.html
Avatar de l’utilisateur

anzar
Fariq (فريق)
Fariq (فريق)
Messages : 21648
Inscription : 21 mars 2012, 11:50
Been thanked : 3 times

Re: Construction automobile en Algérie

Message par anzar »

Deux articles parus en deux jours d'intervalle et des infos complétement contradictoires :!: :?: Qui croire :?:
Image
Avatar de l’utilisateur

anzar
Fariq (فريق)
Fariq (فريق)
Messages : 21648
Inscription : 21 mars 2012, 11:50
Been thanked : 3 times

Re: Construction automobile en Algérie

Message par anzar »

Comme par hasard TSA pond un article mi-choux mi-chèvre pour noyer le poisson
Renault et l’Algérie auraient signé un accord-cadre mais des divergences importantes demeurent

Rafik Tadjer

Le dossier Renault continue d’avancer doucement. Après plusieurs mois de négociations, le gouvernement algérien et le constructeur français Renault ont signé le 25 mai un accord‑cadre pour la création d’une usine en Algérie, rapporte ce jeudi soir le quotidien français Le Figaro. « Les négociations continuent pour un accord définitif, à une échéance non précisée », note le journal français. Mais malgré cet accord‑cadre, le dossier n’a pas vraiment avancé sur le fond, précise Le Figaro. Les deux parties devront s’entendre sur le lieu d’implantation – Renault a refusé Jijel, préférant Rouiba – et la cadence de production.
Selon la même source, Renault produira dans un premier temps 25 000 voitures. Une cadence qui pourrait augmenter en fonction du succès commercial et du développement du tissu fournisseur. « Plus ambitieux, Alger mise de son côté sur une capacité de 75 000 voitures par an, qui pourrait monter à 150 000 », selon Le Figaro.

« Cette implantation commencerait par la fabrication de la voiture la plus vendue par Renault sur ce marché : la Symbol, une Clio 2 avec un coffre apparent, proposée notamment au Maghreb. Ce véhicule serait destiné uniquement au marché algérien. Il s’agit d’une différence majeure avec l’usine marocaine de Tanger, dont 85 % des voitures low‑cost ont vocation à être exportées vers l’Europe », ajoute la même source.

Renault n’a pas commenté l’information. « Renault ne compte pas laisser sa place en Algérie à un rival mais attend un véritable accompagnement de l’État et non pas du dirigisme », explique une source interne citée par Le Figaro. La même source rappelle que « pour attirer Renault, le Maroc a déroulé le tapis rouge ».
http://www.tsa-algerie.com/economie-et- ... 20980.html

Oui fallait bien rectifier le tir, le Figaro ayant déjà dégager le chemin :face:
Renault signe un accord pour créer une usine en Algérie

Par Cyrille Pluyette, Charles Gautier | Publié le 31/05/2012 à 22:14 | Mise à jour le 31/05/2012 à 22:36
INFO LE FIGARO - Le groupe compte produire des voitures pour le marché local. Mais s’oppose avec Alger sur le lieu d’implantation.

Après plus de deux ans et demi de discussions, Renault est parvenu à un accord préalable avec le gouvernement algérien. Le constructeur a signé le 25 mai un accord-cadre en vue de la création d’une usine en Algérie, pour accompagner le développement du marché local , selon nos informations . Les négociations continuent pour un accord définitif, à une échéance non précisée.

Renault table sur une cadence initiale de 25 000 voitures par an indique au Figaro un bon connaisseur du constructeur. «Elle pourrait augmenter à moyen terme en fonction du succès commercial et du développement du tissu fournisseur», précise-t-il. Plus ambitieux, Alger mise de son côté sur une capacité de 75 000 voitures par an, qui pourrait monter à 150 000.

Cette implantation commencerait par la fabrication de la voiture la plus vendue par Renault sur ce marché: la Symbol, une Clio 2 avec un coffre apparent, proposée notamment au Maghreb. Ce véhicule serait uniquement destiné au marché algérien. Il s’agit d’une différence majeure avec l’usine marocaine de Tanger, dont 85 % des voitures low-costs ont vocation à être exportées vers l’Europe. L’inauguration de ce site géant (il pourra produire 400 000 voitures par an à terme), en février, en pleine campagne présidentielle autour du «made in France», avait créé une polémique.
Un enjeu important pour l’économie algérienne

Renault est intéressé par une production locale sur un marché en croissance sur lequel il se classe numéro un, avec un quart des ventes. L’an dernier, le groupe a écoulé 75 000 voitures en Algérie (dont 28 000 Symbol), soit une hausse de 18 %. Le marché algérien a bondi de près de 32 %, à 297 000 véhicules.

L’enjeu est encore plus crucial pour l’Algérie, qui ne dispose pas d’une industrie automobile, contrairement à son voisin marocain. Et a sollicité Renault pour y remédier.

Malgré cet accord-cadre, le dossier n’a pas vraiment avancé sur le fond. Avant une signature définitive, Renault et Alger devront se mettre d’accord sur les cadences, et surtout sur le lieu d’implantation, à propos duquel ils s’opposent depuis des mois. Alger souhaite que le site s’installe à Jijel, une ville portuaire située à 350 kilomètres à l’est d’Alger, dans le but d’équilibrer les investissements entre les régions.

Fin avril, Renault a refusé cette implantation, la région disposant d’un faible tissu industriel. Le français préfère s’implanter dans la banlieue d’Alger, à Rouiba, « de façon à ce que les voitures soient fabriquées près de là où elles sont achetées et dans une zone où on peut recruter de la main-d’œuvre qualifiée», expliquait en février un responsable de Renault, ajoutant que les négociations étaient compliquées par la « faible culture industrielle» des officiels algériens.

Pour l’heure, Renault, qui ne fait pas de commentaire sur ce dossier sensible, attend les propositions sur le lieu d’implantation . «Renault ne compte pas laisser sa place en Algérie à un rival. Mais attend un véritable accompagnement de l’État et non pas du dirigisme », explique une source interne, qui rappelle que pour attirer Renault, le Maroc a déroulé le tapis rouge.
http://bourse.lefigaro.fr/indices-actio ... rie-216918
Image

Sifax
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 2574
Inscription : 31 mars 2012, 12:44

Re: Construction automobile en Algérie

Message par Sifax »

Usine Renault en Algérie : le gouvernement aurait renoncé à Bellara
Renault ne voulait pas de Bellara, il y aura... Rouïba!
(Par Par Oussama Nadjib, 01 JUIN 2012)

Un accord cadre a été signé le 25 mai dernier en vue de la création d’une usine Renault en Algérie rapporte le Figaro. Alger aurait accepté l’exigence du constructeur français qui refusait l’implantation de l’usine dans la région de Bellara à Jijel, affirme de son côté le journal économique français La Tribune. Un accord définitif pourrait être signé prochainement. Mais tout n’est pas réglé. Alger ne veut pas de voitures de moindre qualité et Renault des garanties pour le transfert des dividendes.

Le gouvernement algérien et le constructeur français ont signé le 25 mai dernier un accord-cadre pour la création d’une usine en Algérie. Les discussions se poursuivent pour la conclusion d’un accord définitif. Selon le Figaro qui cite « un bon connaisseur du constructeur », Renault table sur une production de départ de 25 000 voitures par an qui « pourrait augmenter à moyen terme en fonction du succès commercial et du développement du tissu fournisseur». Les ambitions d’Alger qui veut favoriser le développement d’une industrie automobile sont plus grandes. Selon la Figaro, l’usine commencerait par la fabrication de la Symbol, une Clio 2 avec coffre apparent uniquement destinée au marché algérien. « Il s’agit d’une différence majeure avec l’usine marocaine de Tanger, dont 85 % des voitures low-costs ont vocation à être exportées vers l’Europe » souligne le journal. Alors que le Figaro soulignait que les deux parties devaient encore se mettre d’accord sur les « cadences » et le « lieu d’implantation », le journal économique la Tribune affirme que le bras de fer sur cette dernier question a tourné en faveur de Renault. Le constructeur français ne voulait pas s’installer à Bellara, dans la wilaya de Jijel, qu’il considérait inapproprié. Renault préférait Rouïba, dans la banlieue est d’Alger « de façon à ce que les voitures soient fabriquées près de là où elles sont achetées et dans une zone où on peut recruter de la main-d’œuvre qualifiée». En février un responsable de Renault avait déclaré que les négociations étaient compliquées par la « faible culture industrielle» des officiels algériens.

Des garanties pour le transfert des dividendes

A la fin avril, le ministre de l’industrie, Mohamed Benmeradi avait fait état du désaccord sur le lieu d’implantation en soulignant l’attachement du gouvernement au site de Bellara pour des soucis d’équilibre des régions. "Nous n'avons pas encore proposé un autre lieu pour la construction de l'usine, nous tenons à ce que le projet soit réalisé à Bellara… Pour nous la zone de Bellara c'est l'arrière-pays de Constantine qui est une plateforme de l'industrie mécanique", avait indiqué le ministre. Selon la Tribune, probablement sourcée chez le constructeur, « Renault a menacé de ne pas réaliser ce projet si les autorités ne changeaient pas d'avis sur le site d'implantation de l'usine". C’est apparemment le cas. Bellara semble avoir été abandonnée et les « deux parties ont repris les discussions sur le choix de la région, qui pourrait accueillir une usine automobile.

Pas de voitures de moindre qualité

Une délégation conduite par des cadres du groupe français a récemment séjourné en Algérie, selon la même source. "Un accord pourrait intervenir prochainement, c'est en très bonne voie", assure une source française citée par le journal qui indique de Renault demande également des « garanties sur le transfert de ses dividendes vers la France, un sujet qui préoccupe toutes les entreprises étrangères basées en Algérie ». La Tribune évoque également un motif de discorde : « la taille de l'usine et la destination des voitures qui y seront fabriquées. En Algérie, et contrairement au Maroc, Renault ne produira pas pour exporter. L'usine algérienne aura une capacité de 75.000 véhicules par an, contre 400.000 pour celle de Tanger, au Maroc. Mais Alger veut que les voitures produites en Algérie soient de la même qualité que celles fabriquées en France et qu'une partie soit destinée à l'exportation ».
http://maghrebemergent.info/entreprises ... llara.html
Répondre

Revenir à « Actualités en Algérie »