Armée Belge

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tayeb
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Re: Armée Belge

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Force spéciale Belgique.
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Re: Armée Belge

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Le quatrième NH90 belge livré

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NH90 à Marignane

NH Industries annonce ce jour avoir livré le quatrième hélicoptère de manœuvre NH90 TTH (tactical transport) aux forces belges. La cérémonie s'est déroulée à Marignane, là où les NH90 sont assemblés. Les NH90 TTH belges sont basés à Beauvechain et mis en œuvre par le 1st Wing Heli. La Belgique a reçu son premier NH90 en décembre 2012. La commande totale s'élève à 8 machines : 4 TTH (transport tactique) et 4 NFH (version marine). « Les NH90 que nous avons, sont modernes et fiables » a précisé le Général Clément, équivalent du DGA belge « nous avons, jusqu'à aujourd'hui, réalisé plus de 450 heures de vol avec une disponibilité de 70% » a-t-il précisé.
http://www.air-cosmos.com/2014/11/14/26 ... elge-livre
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sadral
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Dassault Aviation propose le Rafale F3R à la Belgique

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Si la Défense belge doit en principe subir de nouvelles réductions budgétaires dans les années à venir, la question du remplacement de ses 54 F-16 demeure. D’où le lancement du programme Belgian Defence – Air Combat Capability (ACCap), qui est actuellement dans sa phase de collecte d’informations auprès de 5 agences gouvernementales ayant la responsabilité de gérer des projets d’avions de combat. Le choix d’un appareil doit se faire en 2018, sous réserves d’avoir les crédits nécessaires.

Ce contrat portentiel intéresse Boeing, qui y voir une occasion de placer son F-18 Super Hornet, ainsi que Lockheed-Martin, avec son F-35 Lightning II. Et Dassault Aviation compte bien tirer son épingle du jeu en proposant la dernière version du Rafale – le standard F3R -, dont le développement a été lancé au début de cette année par Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense.

Ainsi, Éric Trappier, le Pdg de Dassault Aviation, a en effet confirmé, lors d’un déplacement à Bruxelles, le 25 novembre, pour inaugurer les locaux du Groupement d’intérêt économique (GIE) Rafale, que la Direction générale de l’Armement (DGA) répondrait au questionnaire envoyé la Défense belge. Et la proposition française, a-t-il précisé, reposera « a priori » sur « le F3R qui sera disponible, certifié, qualifié, à partir de 2018″.

Plus tard, Yves Robins, vice-président de Dassault Aviation, a expliqué les intentions du constructeur français, lors d’une réception donnée à la résidence de l’ambassadeur de France en Belgique. Ainsi, la proposition qui sera faite prévoit « un transfert de technologie à 100% » ainsi qu’un « programme de coopération industrielle qui assure à la Belgique un retour économique au moins équivalent à l’investissement qu’elle fera dans le remplacement des F-16″.

En outre, les trois membres du GIE Rafale (Dassault Aviation, Thales, Snecma) ainsi que les 500 sous-traitants « ne privilégient pas une approche comptable mais plutôt une stratégie de coopération à moyens et long termes qui soit réellement structurante pour l’avenir de l’industrie aéronautique belge », a assuré M. Robins, qui n’a pas manquer de souligner, au passage, que les coûts d’achat et d’utilisation du Rafale sur sa durée de vie sont « connus, modérés, prouvés, garantis et sans dérive ». Une pique que l’on devrait méditer chez Lockheed-Martin.

Pour rappel, la version F3R du Rafale, dont le développement coûte un milliard d’euros, disposera du système de guerre électronique SPECTRA (Système de Protection et d’Évitement des Conduites de Tir du Rafale), du missile air-air longue portée METEOR et de la nacelle de désignation laser de nouvelle génération (PDL-NG) qui permettra de gagner en précision lors de frappes air-sol.

Elle comprendra également une version à guidage terminal laser de l’Armement Air Sol Modulaire (AASM, des améliorations portant sur le système de navigationn les liaisons de données et le radar RBE2 à antenne active (AESA).

Pour ce contrat, et même si le F-35 part favori dans la mesure où, avec les contraintes budgétaires, il peut faire l’objet d’une mutualisation avec les Pays-Bas qui l’ont adopté, Dassault Aviation a de solides arguments à faire valoir étant donné que les retombées industrielles sont l’un des critères retenus par la Défense belge, par ailleurs cliente ancienne de l’avionneur français. En outre, ce dernier est le principal actionnaire de la de la Société anonyme belge de construction aéronautique (SABCA). Enfin, la formation des pilotes de chasse belge se fait en France, ce qui ne peut être qu’un atout supplémentaire.
http://www.opex360.com/2014/11/26/dassa ... -belgique/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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sadral
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Où vont atterrir les A400M belges?

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Si le calendrier est tenu, la composante aérienne de la Défense belge commencera à recevoir ses 7 avions de transport A400M « Atlas » en 2019 afin de remplacer ses C-130 Hercules. Mais, pour le moment, aucune base aérienne n’est en mesure d’accueillir ces nouveaux appareils.

Logiquement, la base de Melsbroek, qui est celle des C-130 belges, est pressentie pour accueillir les A400M. Mais elle devra adapter ses infrastructures pour ce nouvel avion, ses hangars étant trop bas de 3 mètres et trop courts de 2 mètres. Qui plus est, il est aussi nécessaire de renforcer les tarmacs et les voies d’accès qui mènent aux pistes, lesquelles sont trop étroites. Au total, le coût des travaux d’aménagement est estimé à 170 millions d’euros.

Seulement, le choix de Melsbroek ne va pas de soi pour tout le monde outre-Quiévrain. En 2014, alors que le ministre belge de la Défense, qui était alors Pieter De Crem, voulait lancer une procédure pour y effectuer les travaux nécessaires, des élus francophones s’y sont opposés, en faisant valoir que la Flandre accueillait « déjà toute la technologie militaire sur son territoire ».

Député du Mouvement réformateur, Denis Ducarme avait même proposé d’installer les A400M sur la base wallonne de Florennes, estimant que les coûts d’adaptation y seraient inférieur. Quant au Parti socialiste belge, son choix se porterait sur la base de Beauvechain.

Quoi qu’il en soit, les travaux pour accueillir les Atlas restent à faire… Seront-ils financés? Là, c’est une autre histoire. Car la Défense belge doit encore réaliser 1,6 milliard d’économies en 4 ans. Déjà, pour cette année, les militaires belges doivent se passer de 220 millions d’euros… De quoi réduire les investissements à la portion congrue. Et la tendance sera la même l’an prochain.

En clair, les fonds ne sont pas au rendez-vous pour financer les travaux d’infrastructures, ce qui inquiéte d’ailleurs la Cour des comptes belge qui, en novembre 2014, a estimé que les économies demandées à la Défense était « trop ambitieuse », au point même « de ne pas laisser assez de ressources pour le réaménagement de la base de Melsbroek ».

En outre, d’autres investissements importants sont aussi nécessaires pour la Défense belge, comme l’achat de 40 nouveaux avions de combat pour remplacer les F-16 actuellement en service… Et pendant ce temps, la composante terrestre, qui ne compte plus que 2 brigades, a une puissance de feu inférieure à celle de son homologue estonienne, comme l’a indiqué Joseph Henrotin (DSI) lors d’une audition devant la commission « Défense » de la Chambre des représantants de Belgique.


En savoir plus sur http://www.opex360.com/2015/02/25/ou-vo ... SjvYvbH.99
http://www.opex360.com/2015/02/25/ou-vo ... 0m-belges/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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La Belgique et les Pays-Bas se sont mis d’accord pour la surveillance conjointe de l’espace aérien du Benelux

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L’on peut se demander si les décideurs sont toujours bien informés. Chef d’état-major des forces néerlandaises, le général Tom Middendorp a ainsi tenu des propos surprenant, lors d’une audition devant la commission de la Défense de la Chambre des représentants belge.
Selon le compte-rendu qui en a été fait par la Libre Belgique, cet officier a justifié le choix de l’avion F-35 pour remplacer les F-16 néerlandais en usant d’arguments peu convaincants.
« Vous cherchez le meilleur rendement possible pour chaque euro. Chez nous, il y avait de l’intérêt à des capacités qui peuvent être utilisées pour de nombreuses tâches », a dit le général Middendorp. Et, selon lui, le F-35 est conforme à ces exigences alors que « beaucoup d’appareils européens sont plus specialisés pour une ou deux tâches ».
Savoureux quand l’on sait que la qualité principale dur Rafale est d’être un avion multi-rôles, capable de faire de la police du ciel, de la reconnaissance, de l’appui au sol et de la dissuasion nucléaire et que « le F-35 n’est pas construit comme une plate-forme de supériorité aérienne et qu’il a donc besoin du F-22″, comme l’admettait en février 2014 le général américain Mike Hostage, le chef de l’Air Combat Command (ACC).
Cela dit, les propos du général Middendorp ne sont pas surprenants. En 2008, le quotidien NRC Handelsblad révéla en effet que, en 2002, les autorités néerlandaises avaient favorisé le F-35 – qui était encore une avion de papier – en ne tenant pas compte des évolutions prévues de ses concurrents.
Et c’est ainsi que La Haye a commandé, en 2013, 37 exemplaires du F-35 pour 4,5 milliards de dollars. Et cela en raison de la hausse du coût de l’appareil qui, développé par Lockheed-Martin, a multiplié les retards et les problèmes techniques au cours de ces dernières années. Seulement, seulement 32 avions seront basés aux Pays-Bas, les 5 autres devant rester aux États-Unis pour y assurer l’entraînement des pilotes néerlandais.
En clair, ce niveau est insuffisant pour honorer l’ensemble des missions confiées à la Koninklijke Luchtmacht (la force aérienne royale, ndlr), notamment pour ce qui concerne la police du ciel. D’où la signature, en octobre 2013, d’une lettre d’intention avec la Belgique pour assurer conjointement la surveillance de l’espace aérien du Benelux en se partageant les tâches de décollage d’alerte (Quick Reaction Alert, QRA) et d’idenfication des avions suspects (Renegade).
Une telle collaboration suppose de se mettre d’accord sur de nombreuses questions juridiques, comme celles portant sur les règles d’engagement. Par exemple, s’il s’avère nécessaire d’abattre un avion civil, qui prendra la décision?
Quoi qu’il en soit, tous ces détails ont visiblement été réglés car un accord devrait être signé le 4 mars prochain à La Haye, lors d’une réunion conjointe des gouvernements belge et néerlandais. Cette coopération aérienne commencerait ainsi en 2016, le temps que le traité soit ratifié par les Parlements des deux pays.
Cela étant, les coupes budgétaires dont est victime la Défense belge inquiétent les responsables néerlandais, pour qui la coopération militaire avec la Belgique risque de devenir « difficile ».
« Si nous n’avons pas le même matériel, cela réduit les possibilités, et donc le rendement de la coopération », a affirmé le général Middendorp, alors que la Belgique vient de lancer une procédure pour remplacer ses F-16 vieillissants… Cela étant, Bruxelles a assuré que cette collaboration n’influerait pas sur le choix du futur avion de la composante aérienne de sa défense.
http://www.opex360.com/2015/02/27/la-be ... u-benelux/

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Message par AAF 2020 »

Avec Vision 2030, l'armée belge fait le plein d'équipements

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Une armée belge moins nombreuse mais mieux équipée, tel sera l’axe majeur de la vision stratégique 2030 approuvé ce jeudi par le gouvernement belge. Comme nous l’annoncions il y a quelques jours, un mouvement de rattrapage va permettre au budget de l’armée de passer d’ici à 2030 de 0,9% du PIB à 1,3 %, voire 1,5%. Comme dans le même temps le nombre de militaires passera de 32000 à 25000, une part importante du budget sera consacrée au rééquipement de l’armée belge :

34 avions de combat multi rôles : 3,592 milliards, incluant une ultime remise à jours des actuels F-16 et la première remise à jour du nouvel appareil choisi.
2 frégates multifonctionnelles dotées de capacité antimissiles: 1 milliard.
6 navires chasseurs de mines : 932 millions.
6 drones MALE : 180 millions pour deux appareils à court terme (2021-2025) et 310 millions pour 4 MALE européens à plus long terme.
1 avion ravitailleur (MRTT) : 300 millions.
4 avions à décollages et atterrissages courts (STOL) pour les forces spéciales : 130 millions.
http://www.air-cosmos.com/avec-vision-2 ... ents-77757
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vonstuck
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l"ancien camo de l'atmée de l"air

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Re: Armée Belge

Message par Izenzaren »

Chaque année des élèves officiers Belges viennent faire un stage désert a Errachidia, sur la zone d'entraînement des FAR.

Sur la même zone les chuteurs opérationnels des Paras Belges chaque années ils viennent s'entraîner avec les Chuteurs Op de la BIP.
Pour information, les FRA sont en train de finir la construction de la 7 ème BAFRA a Errachidia, nouvelle base .
Royal Military Academy  

Camp militaire / Militair kamp

Ce lundi 22 janvier 2018, les élèves du bataillon officiers-élèves (années master) de l’Ecole Royale Militaire ont atterri sur l’aéroport
Moulay-Ali-Cherif d’Errachidia (au Maroc) pour participer à une période de camp militaire d’une douzaine de jours. Lors de cette période
de camp, ils perfectionneront leurs compétences de chef de peloton et apprendront à travailler dans un environnement très différent de
ce qu’ils ont connu jusqu’à présent.
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Quelques photos de l'année dernière, matos des FAR


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submarine
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Message par submarine »

Source:http://www.lalibre.be/actu/belgique/rem ... abb9fd6fb6
Remplacement des F16: Dassault promet 20 milliards d'euros de retombées à la Belgique

afp Publié le mardi 13 février 2018 à 13h22 - Mis à jour le mardi 13 février 2018 à 13h58
Le groupe français Dassault a promis mardi 20 milliards d'euros de retombées économiques à la Belgique si le gouvernement belge fait le choix du Rafale pour remplacer sa flotte d'avions de combat.

"On ne demande pas de nous croire les yeux fermés. On apportera les garanties de ce que nous affirmons aujourd'hui", a déclaré à Bruxelles Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation, qui produit le Rafale.

L'avion de combat du groupe français est en compétition avec le F-35 de l'Américain Lockheed Martin, souvent présenté comme favori, et le Typhoon du consortium européen Eurofighter pour le remplacement des F-16 américains actuellement utilisés par l'armée de l'Air belge.

Il s'agit d'acheter un total de 34 nouveaux avions de combat pour remplacer les F-16 à compter de 2023, un marché estimé à 3,6 milliards d'euros.

Les Etats-Unis pour le F-35 et le Royaume-Uni (avec le soutien de l'Italie, de l'Espagne et de l'Allemagne) pour l'Eurofighter Typhoon doivent remettre mercredi leur "meilleure offre finale" à la Belgique en réponse à un appel d'offres lancé d'Etat à Etat.

La France s'est pour sa part distinguée en septembre de ses deux concurrents en proposant à la Belgique un partenariat comprenant, outre la fourniture des avions de combat, "une coopération approfondie" dans les domaines militaire et industriel.

Le ministre belge de la Défense Steven Vandeput (N-VA, nationalistes flamands) avait reproché à Paris d'avoir formulé son offre en dehors du cadre de l'appel d'offres, exposant selon lui son pays à "des poursuites judiciaires" de la part des concurrents si elle la prenait en compte. La France assure que son offre est sûre juridiquement.

"Très certainement, la France prend un risque", a concédé M. Trappier mardi. "La Belgique va-t-elle prendre en compte l'offre française ou non ? Le sujet n'est pas encore tranché, si j'ai bien compris".

Mais "la France a estimé qu'elle avait plus à proposer que ce qui était exprimé explicitement dans l'appel d'offre, trop limité", a-t-il ajouté.

Le gouvernement belge devrait arrêter son choix courant 2018.

M. Trappier était à Bruxelles pour signer "13 accords de coopération" avec des industriels belges, qui prendraient corps si l'offre française était choisie par la Belgique.

"Cette démarche s'inscrit sans ambiguïté dans le cadre de la construction d'une Europe de la Défense", a-t-il insisté.

Dassault valorise l'impact "économique et sociétal" de l'offre française à "au moins 20 milliards d'euros en 20 ans", ce qui permettrait de soutenir selon l'entreprise "plus de 5.000 emplois à haute valeur technologique".

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La Belgique rejoint le programme MRTT
La semaine dernière, deux des programmes multinationaux de grande envergure de l'OTAN ont fait des progrès importants. Le 14 février, la Belgique a adhéré à la force multinationale européenne de transport de pétrole et de transport, rejoignant ainsi l'Allemagne, le Luxembourg, les Pays-Bas et la Norvège. Le jour suivant, deux autres pays ont adhéré au programme conjoint d'avions de patrouille maritime (AMP) de l'OTAN, ce qui a donné un nouvel élan à un effort croissant visant à remplacer les AMP vieillissantes en Europe et au Canada.

Connu sous le nom de MMU (Unité multinationale MRTT), l'effort de ravitaillement / transport a été lancé en juillet 2016 pour fournir un pool d'avions de ravitaillement et de transport de troupes et de fret, réduisant ainsi la dépendance européenne aux moyens de transport aérien et pétrolier américains. Le programme a été initié par le Luxembourg et les Pays-Bas, qui ont passé une première commande pour deux Airbus A330MRTT (avion cargo multirôle). Alors que d'autres pays, notamment l'Allemagne, rejoignaient le programme, l'ordre avait été porté à sept.

Maintenant, avec la Belgique, après avoir été observateur officiel pendant un certain temps, un huitième A330MRTT a été ajouté à la commande. Le pays a également acquis les droits d'un maximum de 1 000 heures de vol par an, auxquelles il est possible d'accéder dès que le premier avion est livré. La flotte doit être livrée entre 2020 et 2024, pour être basée à Eindhoven aux Pays-Bas, qui abrite actuellement le KDC-10 tanker / transports de l'armée de l'air néerlandaise. Il y aura également une base d'opérations avancée à Cologne en Allemagne. L'avion peut être configuré pour le ravitaillement air-air, le transport de passagers et de fret, ainsi que des missions d'évacuation médicale.

Le 15 février, au lendemain de l'annonce de la Belgique, une cérémonie de signature a eu lieu à Bruxelles pour accueillir deux nouveaux membres, le Canada et la Pologne, dans le cadre de l'initiative multinationale «Coopération multinationale maritime multinationale». Lancée en juin 2017 par la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Italie, l'Espagne et la Turquie, elle a signé une lettre d'intention concernant l'acquisition conjointe ou le développement de nouveaux avions pour remplacer les avions maritimes anti-sous-marins et de renseignement, de surveillance et de reconnaissance.

"Cet effort conjoint reconnaît le fait que la majorité des flottes d'avions de patrouille maritime des Alliés atteindront la fin de leur vie opérationnelle entre 2025 et 2035", a déclaré la secrétaire générale adjointe de l'OTAN, Rose Gottemoeller, lors de la cérémonie de signature. Elle a également encouragé les participants à «pousser à la phase de mise en œuvre. Le but ici n'est pas seulement une conception de planche à dessin - nous avons besoin d'une nouvelle génération d'avions, dans l'air, accomplissant ce qui est une mission de plus en plus importante. "

À un moment donné cette année, les pays participants doivent avoir terminé un document de définition décrivant les futures exigences de capacité des AMP. Cela devrait fournir la base pour développer et mettre en place des solutions de suivi.
Les candidats possibles pour répondre à l'exigence multinationale devraient provenir du «haut de gamme» du marché des AMP, avec une capacité ASW robuste et moderne, mais aussi avec la capacité d'effectuer certaines tâches ISR terrestres. Le P-8 Poséidon de Boeing a déjà été sélectionné de manière indépendante par la Norvège et le Royaume-Uni et devrait être fortement promu en raison de son interopérabilité et du potentiel d'entretien et de maintenance centralisés. Cependant, l'inclusion du Canada dans le groupe peut influencer le choix d'un produit Boeing. L'espadon Global 6000 de Saab pourrait être un candidat, et il est probable qu'Airbus offrirait une version MPA de son A319.
Source:http://www.aeros-news.tk/2018/02/la-bel ... -mrtt.html

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Re: Armée Belge

Message par Dragunov »

Paris améliore son offre pour remplacer les avions de combat de l’armée belge

Le gouvernement français a relancé, mardi, son offre de « partenariat élargi » à la Belgique pour remplacer ses avions de combat par des Rafale.
Le gouvernement français relance son offre de « partenariat élargi » à la Belgique pour le renouvellement de ses avions de combat, soit un marché de 34 appareils, estimé à ce stade à quelque 3,6 milliards d’euros. Une délégation du cabinet de Florence Parly, la ministre française des armées, a précisé, détaillé et amplifié, mardi 15 mai, son offre à la défense belge pour le remplacement de ses actuels F-16 américains.

Deux agences gouvernementales, celle des Etats-Unis et du Royaume-Uni, qui représentent respectivement Lockheed Martin (pour le F-35) et le consortium Eurofighter (pour le Typhoon), ont déposé une offre en février. Le gouvernement français avait, lui, choisi une autre voie, celle d’un projet à multiples facettes s’écartant du cahier des charges et de la grille d’évaluation fixés initialement par le gouvernement belge. Il s’articule autour du Groupement d’intérêt économique (GIE) Rafale – Dassault Aviation avec Thales et Safran avec une offre d’acquisition du Rafale, désormais assortie de divers compléments.

Paris a insisté, mardi, sur « la dimension politique » de son plan. Divers projets d’association sont proposés à Bruxelles. Pour de futures opérations, l’entraînement des pilotes, la mise en commun de diverses capacités, la mutualisation de simulateurs ou pièces de rechange, etc. La défense belge se voit également offrir l’option d’un partage de la capacité aéronavale de la France, et donc la possibilité d’opérer aussi à partir de porte-avions à l’avenir. La Belgique verrait aussi son accès à l’espace aérien français élargi, pour des exercices et des missions d’entraînement.....
https://mobile.lemonde.fr/economie/arti ... oogle.com/

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Message par Dragunov »

Remplacement des F-16: "Notre offre est équivalente, sinon supérieure à la proposition française"

Pour le consortium Eurofighter, il n'y a que deux vrais candidats au remplacement des F-16 belges: le F-35 de l'avionneur américain Lockheed Martin et l'Eurofighter.

"Je me demande ce qu'il y a dans le partenariat stratégique (que la France propose, NDLR) que nous n'offrons pas via le procédure officielle", a déclaré à Londres le directeur de la campagne pour le marché belge, Anthony Gregory.

Contrairement à la France, Washington et Londres ont suivi strictement la procédure fixée par l'appel d'offres lancé l'an dernier par la Belgique pour remplacer les avions de combat F-16, proposant respectivement le F-35 Lightning II du groupe américain Lockheed Martin et l'Eurofighter - Typhoon pour les Britanniques - du consortium éponyme, rassemblant BAE Systems, Airbus Defence & Space et l'italien Leonardo.

La France a elle proposé, hors appel d'offres, un "partenariat stratégique global" bâti autour de la fourniture de 34 avions de combat produits par le Groupement d'intérêt économique (GIE) Rafale international, composé de Dassault Aviation, Safran et Thales.
Pour les Britanniques de BAE Systems, la procédure officielle se déroule de manière "professionnelle, équitable et transparente dans un environnement très difficile". Mais les Français ont "choisi de faire autrement", alors que "notre offre est équivalente, sinon supérieure à la proposition française et elle a été faite via la procédure officielle", a plaidé Anthony Gregory lors d'une visite pour la presse de BAE Systems au Royaume-Uni. L'offre d'Eurofighter est également "un vrai programme de coopération européen", a-t-il souligné.

Le consortium propose un partenariat stratégique durable entre la Royal Air Force (RAF) britannique et la Composante Air de l'armée belge, qui entretiennent déjà une relation historique. L'armée de l'air belge pourrait faire usage de l'espace aérien et des bases britanniques. Les deux armées de l'air pourraient en outre entraîner ensemble leurs pilotes.
http://m.trends.levif.be/economie/entre ... 34977.html

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Re: Armée Belge

Message par Dragunov »

La Marine belge tire, au large de la Norvège, son premier missile Harpoon
image.jpeg
5, 4, 3, 2, 1... Sous un soleil presque de minuit, un missile mer-mer Harpoon d'une portée de 150 km s'envole avec fracas et panache de fumée de la frégate belge Louise-Marie pour aller frapper un objectif naval d'un pays imaginaire, Gunnar, rétif aux injonctions du Conseil de sécurité de l'ONU. Sous la surveillance attentive, à distance, d'un navire-espion russe.

Tels sont quelques éléments, mêlant fiction et réalité, du scénario de l'exercice "Mjoelner" qui rassemble un "task group" d'une demi-douzaine de navires des pays de l'Otan (Belgique, Danemark, Pays-Bas et Norvège) en mer de Norvège pour affûter leurs compétences en matière d'opérations navales, contre des menaces de surface, aériennes et sous-marines.

Le Louise-Marie, l'un des deux bâtiments de ce type en service depuis dix ans dans la Marine belge, a effectué mercredi vers 22h15, au nord du cercle polaire arctique, le premier tir d'un missile AGM-84 Harpoon jamais réalisé par une frégate belge de type M (pour multifonctionnelles).

Un coup à 750.000 euros, nécessaire pour s'assurer que "tout fonctionne correctement", explique le "patron" de la Marine, l'amiral de division Wim Robberecht, à l'agence Belga.

Le Harpoon a "détruit son objectif", un catamaran servant de cible à plus de 17 miles nautiques (plus de 30 km), après deux minutes de vol, selon le chef des opérations du navire, le lieutenant de vaisseau Nicolas Van Damme.

L'engin était toutefois dépourvu de charge explosive, mais doté d'une instrumentation pour mesurer tous les paramètres du tir.

Les résultats définitifs du tir ne sont attendus que dans quelques semaines, après analyse des données.

"Nous avons fait une bonne attaque sur Gunnar, on peut s'attendre à des représailles", lance alors via l'interphone le pacha du Louise-Marie (appelé familièrement LoMa par son équipage), le capitaine de vaisseau Kristof Van Belleghem, en décrétant l'appel aux postes de combat.

Etat voyou
Une nouvelle phase de l'exercice débute au large de l'île d'Andoya, dans le nord de la Norvège, avec des attaques aériennes (simulées) menées par l'aviation de Gunnar, un Etat voyou ne respectant pas un ultimatum lancé par le Conseil de sécurité des Nations unies. Le navire danois Absalon réussit toutefois à abattre deux avions et le Louise-Marie s'en va protéger deux frégates néerlandaises, le Tromp et l'Evertsen.

Le LoMa a aussi tiré, plus habituellement, un missile anti-aérien RIM-7 Sea Sparrow contre un missile de croisière tiré par un sous-marin, qui a été abattu. Un second tir a été annulé, le drone devant simuler la menace s'étant écrasé à une trentaine de km du navire. "La faute à pas de chance", commente un officier, dans l'attente d'une nouvelle occasion.

A distance, un navire-espion russe, bien réel, suit depuis plusieurs jours les évolutions des bâtiments de l'Otan, tout en veillant à rester en dehors des eaux territoriales norvégiennes.

Cette présence insistante est, selon le commandant Van Belleghem, une des manifestations de l'assertivité accrue des forces russes, dans un climat de tensions ravivées avec l'Occident depuis l'annexion par Moscou de la péninsule ukrainienne de Crimée, au printemps 2014.

Par mesure de précaution, tous les téléphones portables des membres d'équipage et des visiteurs à bord doivent être mis en mode avion, pour éviter les interceptions auxquelles se livre le Youri Antonov.

Le Louise-Marie a déjà participé depuis le début de l'année à l'opération anti-terroriste Sea Guardian de l'Otan en mer Méditerranée puis aux exercices "Dynamic Manta", dédiés à la lutte anti-sous-marine près de la Sicile, et "Joint Warrior", au large de l'Ecosse. Il doit regagner jeudi prochain le port de Den Helder (nord-ouest des Pays-Bas) pour une période de maintenance, assurée par la marine néerlandaise à laquelle les deux frégates ont été rachetées en 2005.

Le navire reprendra ensuite la mer pour participer à l'automne à l'un des plus vastes exercices de l'histoire de l'Otan, "Trident Juncture", dans le nord de l'Europe.
https://www.rtbf.be/info/belgique/detai ... id=9932932
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Dragunov
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Re: Armée Belge

Message par Dragunov »

La Belgique a survolé l'offre de Dassault pour le remplacement des F-16

L’offre française de partenariat stratégique n’a jamais été étudiée dans le détail. La version complète n’a d’ailleurs pas été déposée auprès des autorités du pays.

La proposition de partenariat stratégique mise sur la table par Paris pour le remplacement des F-16 n’a jusqu’ici pas été examinée en détail par la Belgique, dont les autorités ne sont même pas en possession de l’offre complète, a-t-on appris d’une source proche du dossier.
La France a décidé de ne pas participer à l’appel d’offres (Request for Government Proposal ou RfGP) lancé en mars 2017 par la Belgique pour l’achat de 34 chasseurs-bombardiers de nouvelle génération. S’engageant dans une autre voie, Paris a fait parvenir le 6 septembre 2017 au cabinet du ministre belge de la Défense, Steven Vandeput, une lettre proposant un "partenariat approfondi et structurant" fondé sur l’avion de combat Rafale. Une coopération allant bien au-delà de la seule fourniture d’avions de combat, selon les responsables français.

La proposition française est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense.

Quelques éléments de cette offre ont filtré, principalement en ce qui concerne les retombées industrielles potentielles si la Belgique achète le Rafale. Des retours économiques que la France chiffre à 20 milliards d’euros sur 20 ans. Ensuite, plus rien! Du moins jusqu’au 15 mai dernier, lorsqu’une délégation de membres du cabinet de la ministre française des Armées, Florence Parly, s’est rendue à Bruxelles – pour la première fois en huit mois – dans le but d’expliciter auprès de leurs homologues belges l’offre française.
Mais la proposition n’a pas été réellement scrutée à la loupe ni examinée sous tous les angles, puisque le document complet, qui fait plus de 3.000 pages, n’a jamais été formellement déposé en Belgique. À l’exception de la Défense, aucun cabinet belge n’a été autorisé à recevoir des représentants de l’Hexagone, et encore moins à réceptionner le volumineux dossier. Que ce soit au niveau du Premier ministre ou des Affaires étrangères. Aucun contact, même informel, ne semble avoir eu lieu non plus avec le SPF Économie ou le cabinet qui le chapeaute. Bref, la proposition française – ou du moins son résumé – est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense qui, de son côté il est vrai, était tenu de travailler dans le seul cadre de l’appel d’offres en l’absence de décision politique du gouvernement remettant cette procédure en cause.

Rien de nouveau?


Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que ce même cabinet ait toujours jugé non pertinente l’offre française. Ou qu’il ait indiqué n’avoir "rien entendu de nouveau" lors de la visite des émissaires français il y a quelques semaines.
Que les experts militaires de l’équipe Accap, chargée d’évaluer les deux offres finales considérées comme juridiquement valables, n’aient pas pris en compte la proposition française, rien de plus normal. Pour rappel, les deux candidats qui ont remis des offres en bonne et due forme sont les Etats-Unis avec le F-35 Lightning II de Lockheed Martin et l’Eurofighter Typhoon du consortium européen éponyme. Le rapport de ces experts se trouve désormais sur le bureau de leur ministre, qui doit le transmettre au kern.
Par contre, que le contenu du partenariat français n’ait jamais été examiné de près à un autre niveau en l’absence de tout engagement, voilà qui a de quoi surprendre. D’abord parce qu’il contient visiblement des éléments intéressants, comme une éventuelle participation au programme de Système de combat aérien du futur (Scaf) franco-allemand, ou encore, selon nos informations, une période très courte (sur moins de trois ans) pour la livraison des 34 appareils, quel que soit le moment où le contrat serait signé.
Par ailleurs, le gouvernement belge serait bien avisé de garder plusieurs fers au feu. Parce que le résultat de l’appel d’offres risque de se heurter à des obstacles géopolitiques imprévus. Il ne va pas être très aisé en effet de justifier l’éventuelle acquisition d’appareils américains alors que l’administration Trump a déclaré une guerre commerciale au Vieux continent et que Paris et Berlin tentent de relancer l’Europe de la défense.
https://www.lecho.be/entreprises/defens ... 21780.html

malikos
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Re: Armée Belge

Message par malikos »

Belgium offered sweetener to pick up Eurofighter
EURACTIV.com with Reuters 7:34 (updated: 9:15)

The Eurofighter Typhoon [@Eurofighter_1 Twitter]


Belgium is being offered a possible role in future European combat jet developments if it picks the Eurofighter Typhoon over the US-built F-35, in a fierce contest to rearm the country’s air force, a senior official with Britain’s BAE Systems said.

The sweetener comes as four nations behind the Eurofighter – Britain, Germany, Italy and Spain – step up lobbying to try to secure the order for 34 multi-role jets, amid reports that the Lockheed Martin F-35 is viewed as the leading contender.

The Belgian government is expected to pick a winner in its fiercely contested tender by October. France opted out of the formal competition, but has pitched Dassault Aviation’s Rafale as part of a larger military cooperation deal.


Belgian Eurofighter
@BAES_Belgium
Protecting our borders today and tomorrow. @Eurofighter_1 is the combat proven fighter aircraft of choice for #Europe's air forces, protecting sovereignty, industry and capability across the continent. Our proposal to #Belgium is the true #European choice for now and the future


Anthony Gregory, BAE’s campaign director in Belgium, told Reuters at the Farnborough Airshow that his company was offering direct investments in Belgian firms to ensure they were ready to participate in a future fighter programme.

That proposal could appeal to Belgium, whose officials have expressed regret that they skipped becoming a partner in the F-35 programme when it first began in the 2000s.


Valerie Insinna

@ValerieInsinna
The State Department just cleared an F-35 sale to Belgium. But don't freak out! The Belgians still have to choose between the F-35, Dassault Rafale and Eurofighter Typhoon:https://www.defensenews.com/air/2018/01 ... o-belgium/

00:21 - 20 Jan 2018

US State Department clears potential (and likely) sale of F-35s to Belgium
The State Department has cleared the sale of 34 F-35s to Belgium, but the country hasn't picked a new fighter yet.
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