L'Economie Algérienne

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motu
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Re: L'Economie Algérienne

Message par motu »

Pour qu’ils paient des impots il faudra dabord qu’ils sortent du circuit informel et qu'ils soient recrutés avec des contrats en bonne et due forme et que les employeurs paient les cotisations sociales les concernant ,mais leur statut de travailleurs étrangers pose probleme car la legislation nationale est tres contraignante et le gouvernement algeriens ne donne pas de visas à des travailleurs saisonniers étrangers et encore moins s’agissant des citoyens marocains .

zeitrecht
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Re: L'Economie Algérienne

Message par zeitrecht »

motu a écrit :
19 août 2018, 20:55
Pour qu’ils paient des impots il faudra dabord qu’ils sortent du circuit informel et qu'ils soient recrutés avec des contrats en bonne et due forme et que les employeurs paient les cotisations sociales les concernant ,mais leur statut de travailleurs étrangers pose probleme car la legislation nationale est tres contraignante et le gouvernement algeriens ne donne pas de visas à des travailleurs saisonniers étrangers et encore moins s’agissant des citoyens marocains .
Helas,le secteur informel plombe encore plus l'economie du pays.
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sadral
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Message par sadral »

Apparemment, le projet est toujours d'actualité..... affaire a suivre
Algerian Zinc-Lead Project Gets Shiny New Feasibility Study


Terramin Australia (ASX:TZN) has released an updated definitive feasibility study for its Tala Hamza zinc-lead project, which it owns in partnership with Algerian state-owned enterprises.

According to the release, the new study is an update on a previous 2010 study meant to “eliminate, or reduce to an acceptable level,” environmental and social concerns with the block cave mining method.

“The changes include optimization of previous studies, updating the ore reserve, revised plant layout, removal of the tailings storage facility and replacement with dry stacking, and updated economic analysis,” said the release.

The surface footprint of the project is also significantly reduced without reducing flexibility for expansion.

Elaborating on changes to minings and tailings disposal methods, Terramin said that it has looked into the underhand drift and fill (UDF) method over block cave. It describes UDF as “a small scale, selective mining method which has a higher associated mining operating cost compared to the original block cave mining method.”

While the different method saw a reduction in mineable ore tonnes over the life of the mine, it did not make the project unfeasible.

The new study “confirm[ed] the viability of an underground operation,” according to Terramin.

The project would require pre-production capital of AU$449 million, with operating costs expected to be ‘competitive.’

Under the new study, Tala Hamza, located near the city of Béjaia on the Mediterranean Sea, would have a 1.4 million tonne capacity processing plant to produce 129,300 tonnes of zinc concentrate at 54 percent grade zinc, and 26,000 tonnes of lead concentrate grading 63 percent lead per year.

The mine would have a 21-year life operating at those numbers, after a 2-year development phase to bring the project online.

Product from the mine would come at an average C1-cash cost of US$0.53 per pound and an all-in sustaining cost of US$0.61 per pound.

According to Terramin, Tala Hamza has a mineral resource of 53 million tonnes at 3 percent cut-off zinc equivalent, and an indicated resource of 44.2 million tonnes.

The promising numbers mean Terramin is going forward with optimization studies for the remainder of the year. “This should allow the base case project to proceed in conjunction with studies into expansion cases,” said the report.

CEO of Terramin, Richard Taylor, said that the company was excited to be able to show off a revised DFS that didn’t scuttle the project.

“The result is the outcome of steady and patient negotiation with our joint-venture partners,” said Taylor.

“It was important to engage and work consistently with our counterparts to ensure a robust long-life project that will be a flagship project in Algeria.

“Getting the base case project at Tala Hamza permitted opens up optionality for expansion and exploration both within the existing exploration area and further afield in a highly prospective emerging mining country which is looking to diversify from oil and gas.”

The project’s location so close to the Mediterranean Sea also means that it is well placed to connect to skilled workforces, transport links and vital infrastructure, and any production from Tala Hamza is well placed for shipping to European smelters.

Terramin owns a 65-percent stake in the company that operates Tala Hamza, Western Mediterranean Zinc, with the balance owned by two state-owned companies.

On the Australian Securities Exchange, Terramin was trading at AU$0.1 as of market close on Wednesday (August 29) AEST, up 1.01 percent.
https://investingnews.com/daily/resourc ... ity-study/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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sadral
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Message par sadral »

C'est un bon début...a suivre
Condor signe deux mémorandums d’entente à Washington

Le leader algérien des produits électroniques, électroménagers et multimédias Condor, a signé mardi soir à Washington, deux mémorandums d’entente avec deux représentants américains pour la commercialisation de ses produits aux Etats-Unis.

Ces mémorandums avec la société News Media Solutions (NMS) et le bureau Gabriel J. Christian & Assoaciates portent sur la commercialisation et la promotion des produits de la marque Condor sur le marché américain ainsi que le consulting, les services administratifs, techniques et commerciaux de la marque avec les partenaires dans l’Etat du Maryland.

Il y a lieu de rappeler que Condor participe à la Semaine économique et culturelle algérienne à Washington qui s’est ouverte lundi dernier dans la capitale américaine. Sur un stand de 20 m², Condor expose ses produits électroménagers et mobiles.

La présence de Condor à cette Semaine économique a pour objectif l’élargissement du champ de distribution de Condor dans le cadre de sa politique d’internationalisation, et ce, en vue de s’ouvrir au marché américain.

La Semaine économique et culturelle algérienne à Washington, qui se poursuit sur l’esplanade du centre fédéral Ronald-Reagan jusqu’au 13 septembre, a été inaugurée par le ministre du commerce, Saïd Djellab, en présence de l’ambassadrice Joan Polaschik, de la première sous-secrétaire d’Etat adjoint par intérim au Proche-Orient Sarah Kemp, du sous-secrétaire adjoint au département du Commerce, des autorités du district de Columbia et de l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Madjid Bouguerra.

L’évènement représente une énorme opportunité pour les entreprises algériennes afin de s’ouvrir sur le marché américain, dont l’accès est appelé à se développer à la faveur de la reconduction du système généralisé de préférence américain. Le Système généralisé de préférence (SGP) permet aux pays bénéficiaires l’accès de leurs produits au marché américain en franchise de droits de douane.

Outre les rencontres B2B prévues pour renforcer cette mise en relation d’affaires entre les entreprises des deux pays, les organisateurs ont convié trois géants de la distribution aux Etats-Unis, Walmart, Costco et Whole Foods, dans une démarche visant à placer des produits algériens dans les grandes surfaces américaines.

L’enseigne amie et compagnon des Algériens au quotidien représente, aujourd’hui, plus que la société citoyenne qu’elle a toujours été. Condor est un acteur économique national et régional, déterminé et novateur mais surtout engagé à faire du produit «made in Algeria» une référence sur le marché algérien et international.
https://www.algeriepatriotique.com/2018 ... ashington/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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sadral
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Message par sadral »

Apres les échecs avec les Indiens, les indonésiens, les Qataris et les Pakistanais..le projet se fera Inchallah avec les Chinois
Projet du Complexe du phosphate: un investissement de 6 milliards de dollars

Le coût du projet du Complexe de phosphate à l'Est du pays devant entrer en service en 2022 s'élève à près de 6 milliards de dollars, a indiqué, jeudi à Alger, le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi.

Intervenant lors 'une séance de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, le ministre a précisé que "le volume global de l'investissement de ce projet intégré s'élève à près de 6 milliards de dollars, répartie entre la mine de Bled El-Hadba à Tebessa (1,2 milliards de dollars), la plateforme de Hadjer Kebrit à Souk Ahras (2,2 milliards de dollars), la plateforme de Hadjar Essoud à Skikda (2,5 milliards de dollars) et le port de Annaba (0,2 milliards de dollars).

Ce projet porte sur l'exploitation du phosphate extrait du champs de Bled El-Hadba dans la wilaya de Tébessa, d'une capacité de 500 millions de tonnes et la valorisation de cette ressource naturelle à travers la production des engrais, de l'ammoniac, du silicium et autres matières utilisées dans les différentes activités économiques.

Le projet prévoit l'extraction de 6 millions de tonnes/an de phosphate de haute qualité de Bled El-Hadba (Tébessa), la production de 3 millions de tonnes d'acide phosphorique à Oued Kebrit (Skikda) et la réalisation d'une unité d'accompagnement pour la récupération des rejets fluorés à partir des unités de production de l'acide phosphorique, ce qui permettra de produire 60.000 tonnes d'Acide fluorhydrique anhydre (AHF) et 57.000 tonnes de SIO².

Il est question également de la production de 1,2 millions de tonnes/an d'ammoniac et 4 millions de tonnes d'engrais, selon les explications fournies par M. Yousfi.

Ce projet intégré sera réalisé en partenariat entre deux groupes algériens Sonatrach et ASMIDAL-MANAL et deux groupes chinois CITIC et WENGFU.

Soulignant que dans ce projet, la partie chinoise détient 49% contre 51% pour la partie algérienne, le ministre a fait état de la création d'une joint-venture entre les deux parties durant le dernier trimestre de l'année en cours, en attendant le lancement effectif de la production début 2022.

M. Yousfi a rappelé que ce projet et la nécessité d'accélérer sa réalisation ont été évoqué par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia et les responsables chinois, durant sa dernière visite à Pékin.

"Ce projet, qui aura un impact socioéconomique positif sur la région, permettra la création de près de 2.500 postes d'emplois directs permanents, dont 963 à Hadjer Essoud, 654 à Oued Kebrit et 880 à Bled El-Hadba, selon le ministre.

Le flux de production à acheminer par voie ferroviaire dans le cadre de ce projet atteindra 17 millions de tonnes/an, ce qui exige le dédoublement de la voie minière reliant Bled El-Hadba à Annaba avant 2022.

Par ailleurs, l'Entreprise du port de Annaba a programmé une extension de 42 ha, destinée à l'exportation des produits finis et à l'importation du soufre (1,7 millions de tonnes/an).
Grâce à ce projet, l'Algérie aura l'opportunité de valoriser ses réserves en phosphate et en gaz naturel, à travers la création d'une industrie manufacturière structurante créatrice de richesse et deviendra ainsi l'un des plus grands pays exportateurs d'engrais, a ajouté le ministre.

Il a révélé, dans ce cadre, que ce complexe permettra d'exporter près de 2 milliards de dollars/an d'engrais, ce qui garantira des revenus en devises à hauteur de 1,5 à 2 milliards de dollars/an.

A une autre question sur le projet de la zone industrielle d’Aïn Ouessara à Djelfa, le ministre a précisé que les travaux de réalisation sont actuellement à l'arrêt en raison de l'opposition de certains citoyens à ce projet, ajoutant que ce dossier est en cours de traitement par les autorités concernées. M. Yousfi a indiqué, cependant, que le ministère veille à son parachèvement "dans les plus brefs délais".

Une enveloppe de 10 milliards DA a été dégagée pour cette zone d'une superficie de 400 ha, a fait savoir le ministre.

Le programme national de réalisation des zones industrielles, qui intervient en application de la décision rendue public par le Conseil national de l'investissement le 24 mars 2016, prévoit la réalisation de 30 zones industrielles qui seront élargies en 50 zones, à la demande des walis pour une superficie globale de 12.000 ha répartis sur 39 wilayas.
http://www.aps.dz/economie/78480-projet ... de-dollars
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

samir_reghaia
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Message par samir_reghaia »

Domage domage. Il faut que l'Algérie mise plus sur sa coopération avec la Chine. On a d'excellentes relations politiques avec eux, mais on en tire pas suffisament de bénéfices...
Algerie/Chine: encore une opportunité ratée

La China Development Bank (CDB) et 16 institutions financières correspondantes en Afrique ont créé conjointement l’Association interbancaire sino-africaine (CAIBA), qui constitue une première action concrète pour parvenir à une coopération gagnant-gagnant et à un développement commun de meilleure qualité dans le domaine financier et bancaire.
CE qui est à déplorer c’est qu’aucune banque algérienne n’a pris part à cet accord. Selon un expert algérien en finance, “traditionnellement l’Algérie ne se joint pas à des pays africains au PIB faibles pour des partenariats internationaux sur le développement”. “L’Algérie opte généralement pour des accords bilatéraux et rechigne à rejoindre des plate-formes multilatérales”, souligne notre source qui évoquera l’exemple du fameux accord Sino-algérien pour la construction du grand port du Centre.
Notre source dira aussi que l’Algérie avec cette attitude manque énormément d’opportunités contrairement au Maroc et l’Afrique du Sud qui ont par exemple phagocytés cet accord avec la Chine. L’Algérie aujourd’hui se positionne comme marché pour la Chine tandis que l’Afrique du Sud et d’autres pays se sont transformés en paradis d’investissement chinois.
En effet, cet accord marque la création officielle du premier mécanisme multilatéral de coopération financière entre la Chine et l’Afrique. Le Président chinois, en visite dans la région, porte sur lui un projet de renforcement des relations de son pays avec l’Afrique et la promotion de « dix principaux plans de coopération » entre ce pays et le continent Africain, « huit actions majeures » de la coopération Chine-Afrique ont été planifiées afin de consolider le partenariat.
Compte tenu du déficit des financements nécessaires pour répondre aux besoins des pays africains en matière d’industrialisation, de connectivité des infrastructures et de réduction de la pauvreté, une collaboration plus étroite entre les institutions financières chinoises et les pays africains a été décidée. À terme, avec la CDB, la CAIBA renforcera la coopération financière entre toutes les banques membres pour promouvoir le partenariat dans divers domaines tels que l’interconnexion des infrastructures Chine-Afrique, la coopération internationale et les échanges en sciences humaines. Les 3 et 4 septembre, rappelons-le, 53 chefs d’État et de gouvernements étaient réunis à Pékin pour le 7e sommet international Chine-Afrique (FOCAC, Forum on China-Africa Cooperation, Forum sur la coopération sino-africaine), espace diplomatique et économique initié par la Chine en 2000.
À propos de la « China Development Bank », elle a toujours mis l’accent sur la coopération avec l’Afrique. Depuis le lancement de la coopération de financement avec l’Afrique en 2006, la CDB a continuellement élargi sa coopération avec les institutions financières des pays africains en investissant et finançant plus de 50 milliards de dollars dans près de 500 projets dans 43 pays africains. La CDB incite les entreprises chinoises à investir en Afrique, aide les gouvernements locaux africains à résoudre des problèmes tels que la pénurie de fonds et les retards dans la construction d’infrastructures et s’efforce de développer la coopération économique et commerciale, d’accroître l’emploi et de stimuler la croissance économique des pays africains.
https://www.maghrebemergent.info/algeri ... ite-ratee/
Les grands changements ne viennent que d'en bas.

samir_reghaia
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Re: L'Economie Algérienne

Message par samir_reghaia »

sadral a écrit :
13 septembre 2018, 23:03
Apres les échecs avec les Indiens, les indonésiens, les Qataris et les Pakistanais..le projet se fera Inchallah avec les Chinois
Projet du Complexe du phosphate: un investissement de 6 milliards de dollars
Que Dieu t'entendes... :prie: :prie:

Le gigantisme du projet me fait tout de même douter... 6 milliards de dollars c'est 2 fois le port de Cherchell... :affraid:
Ce projet a capoté plusieurs fois, il y a surement des raisons profondes à cela.
Ce qui est bien (et il faut le saluer) c'est que les autorités perseverent pour le concrétiser.
Les grands changements ne viennent que d'en bas.

guidher
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Message par guidher »

Issad Rebrab nous dit tout sur la nouvelle technologie de Cevital
https://www.tsa-algerie.com/issad-rebra ... e-cevital/
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sadral
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Re: L'Economie Algérienne

Message par sadral »

y a de quoi se flinguer
Ahmed Ouyahia offre Fertial à Ali Haddad et le syndicat d’Asmidal monte au créneau


Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a-t-il offert à son ami Ali Haddad sur un plateau d’argent, Fertial, une entreprise algéro-espagnole, appartenant à 60% à Villar Mir et 40% à Asmidal spécialisée dans la production des engrais et des fertilisants et filiale de Sontrach ? Il y a tout lieu de le penser quand on examine la correspondance adressée au syndicat d’Asmidal que préside Smain Kouadria par le président du conseil d’administration de Fertial, Javier Goni del Cacho, l’invitant à assister à la réunion devant statuter définitivement sur la cession des actions de «GVM» , c’est-à-dire les parts de l’Etat au profit du groupe ETRHB.

Selon cette missive envoyée depuis Madrid, Ali Haddad insiste pour que l’opération soit bouclée urgemment avant le 30 septembre 2018, c’est-à-dire dans une semaine. Le président du Conseil d’administration, l’espagnol Javier Goni del Cacho, précise à ses interlocuteurs du syndicat que Ali Haddad a reçu de la part du Premier ministre Ahmed Ouyahia, la lettre de renoncement de l’Etat à exercer son droit de préemption le 27 août dernier. Un précieux document qui sera remis lors de la réunion du conseil d’admnistration, «séance tenante» lit-on.

Autrement dit, l’Etat renonce inexplicablement à son droit mais aussi devoir de racheter une entreprise solvable qu’il a pourtant redressée financièrement et rénovée ses équipements. C’est une décision assez bizarre de vendre à un privé une entreprise en bonne santé financière qui plus est, avec des risques d’avoir des licenciements à l’avenir.

Par ailleurs, le responsable du syndicat et député du Parti des Travailleurs (PT), Smain Kouadria, s’interroge sur la décision du Premier ministre d’offrir ce «cadeau» à Ali Haddad alors que le président de la république «est seul habilité», d’après lui, à trancher sur les privatisations des entreprises publiques. Il en veut d’autant plus que le président Bouteflika avait invalidé la décision de la tripartite (gouvernement-patronat et UGTA) concernant le partenariat public-privé qui ouvrait la voie au bradage du patrimoine public de l’Etat au profit de «l’oligarchie».

Il y a lieu par ailleurs de souligner l’impatience curieuse de Ali Haddad à boucler la reprise de Fertial avant le 30 septembre. Il convient de noter que le gouvernement a souvent exercé son droit de préemption quand il s’agit des entreprises pérennes et parfois même de moindre importance comme ce fut le cas pour le rachat avorté d’Issad Rebrab de l’usine de production de pneumatiques du groupe francais Michelin.
https://www.algerie1.com/actualite/ahme ... au-creneau
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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Re: L'Economie Algérienne

Message par sadral »

Le vent a tourner pour l'Oligarque dialna ;)
Rachat de Fertial par Ali Haddad : La présidence met son veto

Les travailleurs de la société algéro-espagnole Fertial sont visiblement rassurés. Après avoir manifesté leurs courroux devant la décision du gouvernement de céder ses parts dans la société au profit de l’ETRHB Haddad, la Présidence de la République serait intervenue pour arrêter la transaction.

Des informations obtenues de sources diverses indiquent en effet que la présidence de la République a ordonné au gouvernement d’annuler la décision de transférer des 40% des parts de la société publique Asmidal au profit de l’ETRHB de Ali Haddad.

Les travailleurs de l’entreprise se sont mis en colère parce qu’ils n’arrivent pas à comprendre comment est-ce qu’on peut vendre des parts de l’Etat dans une entreprise redressée par l’argent public et qui fonctionne très bien depuis son association avec la société espagnole Villar Mir.

Cette décision du gouvernement entre dans le cadre du « partenariat public-privé » décidé lors de la Tripartie de mars dernier. La présidence de la République avait dans un premier temps bloqué toute transaction entrant dans ce cadre sans l’aval du chef de l’Etat.
https://algeriepart.com/2018/09/23/rach ... -met-veto/
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samousa
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Re: L'Economie Algérienne

Message par samousa »

https://www.algeriepatriotique.com/2018 ... ebut-2019/
Sonatrach : lancement des premiers forages en offshore début 2019

L'entrée en exploitation de l'offshore est inscrite sur le moyen terme. D. R.

Les premiers forages en offshore seront lancés début 2019, a indiqué lundi à Alger le P-dg de la compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour.

«On va bientôt avoir la première exploration forage pour le offshore. C’est très intéressant pour nous. C’est certain, il y a du potentiel. D’après les études préliminaires, il y a de très bonnes perspectives. Maintenant, il faut qu’on attende encore de voir. Mais je pense que dès l’année prochaine, on commencera à faire les premiers forages», a-t-il affirmé lors d’un point de presse tenu à l’issue de la présentation du rapport annuel de l’Organisation des pays exportateurs du pétrole (Opep) sur les perspectives mondiales du marché pétrolier.

Pour rappel, Ould Kaddour avait indiqué en mars dernier que des projets de forages en offshore au large de Bejaïa et d’Oran étaient au stade d’évaluation des données sismiques. Il avait également relevé que plusieurs partenaires de Sonatrach comme Anadarko (Etats-Unis), Total (France), Eni (Italie) et Statoil (Norvège) étaient intéressés à se joindre à Sonatrach pour pouvoir développer l’activité du forage en offshore en Algérie.

Evoquant les énergies fossiles, il a souligné que l’Algérie est classée 3e au niveau mondial : «C’est une réserve que Dieu nous a donnée, il faut bien qu’on l’exploite. Il est nécessaire de mettre en œuvre cette solution», a-t-il dit. Toutefois, il a affirmé que «le gaz de schiste est un processus très long. Il y a une phase d’études qui est lancée et à partir de cette phase, il va y avoir des essais au niveau du centre d’innovation. Il s’agit, selon lui, d’un travail qui demande 3 à 5 années, ajoutant que l’idéal est de le faire avec un partenaire qui a des compétences et la technologie dans l’exploitation du pétrole non conventionnel.

En réponse à l’acharnement d’un journal marocain contre Sonatrach, Ould Kaddour a expliqué qu’avec «l’inauguration de pipeline (un mode de transport des matières fluides réalisé au moyen de conduites constituant généralement un réseau), reliant les Dairas d’El Aricha (Tlemcen) à Beni Saf (Aïn Témouchent), un journal a titré que Sonatrach veut couper le pipeline du Maroc (…) Bien au contraire, je veux qu’il reste». Et d’ajouter que Sonatrach cherche à augmenter ses exportations de gaz grâce à la réalisation d’un nouveau pipeline.

L’Algérie a joué un rôle important dans la stabilisation des prix du pétrole

Interrogé sur les prix de pétrole qui ont atteint les 80 dollars le baril, le P-dg de Sonatrach a estimé que l’avantage actuellement était d’avoir un prix stable entre 70 et 80 dollars le baril. Ce qui permet, selon lui, de planifier des projets et des programmes de développement pour les prochaines années.

Ould Kaddour a par ailleurs rappelé le rôle de l’Algérie dans le rapprochement des visions entre les pays Opep et non-Opep et dans la stabilité du marché pétrolier à travers la réunion historique tenue à Alger en 2016 et la rencontre du Comité de suivi de l’accord Opep et non-Opep (JMMC) tenue dimanche à Alger.

«L’Algérie a joué (dimanche) un rôle extraordinaire dans la stabilisation des productions et des coûts. Cette année, on est satisfait avec un baril entre 70 et 80 dollars», a-t-il ajouté. Il a rappelé, dans ce sens, que lorsque les prix étaient à 40 dollars, il a été enregistré une réduction des investissements dans le secteur pétrolier, équivalant à 500 milliards de dollars.

A noter que des experts de l’Opep ont présenté aux cadres de Sonatrach, le rapport annuel de l’Organisation sur les perspectives mondiales du marché pétrolier. Selon ce rapport, le total de l’énergie primaire devrait augmenter de 33% entre 2015 et 2040, principalement grâce aux pays en développement, qui enregistrent près de 95% de la croissance de la demande énergétique globale. Quant à la demande de pétrole à long terme, elle a été révisée à la hausse pour la deuxième année consécutive, avec une demande totale de plus de 111,7 Mb/j en 2040. La croissance de la demande est tirée par les régions non membres de l’OCDE qui enregistrent une forte augmentation d’environ 23 Mb/j en2040, explique le rapport.

La croissance de la demande à long terme provient principalement des secteurs de la pétrochimie (4,5 mb/j), du transport routier (4,1 mb/j) et de l’aviation (2,7 mb/j), note le document.

Pour ce qui est de la demande de pétrole brut de l’Opep, elle devrait atteindre environ 40 Mb/j en 2040, contre 32 Mb/j en 2018. La part du brut de l’OPEP dans l’offre mondiale de pétrole devrait passer de 34% en 2017 à 36% en 2040, précise la même source.
:algerie01:
" L'art de la guerre, c'est soumettre l'ennemi sans combat "
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Bravo Mr REBRAB
CEVITAL VA TRAITER LES EAUX DE GAZ DE SCHISTE AUX USA

Dans une déclaration à Maghreb Emergent, le patron de Cevital, Isaad Rebrab, nous a révélé qu’il est en discutions avec « Schlumberger », pour créer une joint-venture, pour traiter les eaux des puits de pétrole et gaz de schiste des sociétés pétrolières américaines.

A ce propos, Rebrab nous explique que grâce à sa nouvelle technologie de traitement d’eau, dans la station a été exposée dernièrement lors du salon Maghreb Pharma 2018 à Alger, Cevital va fabriquer des stations pour Schlumberger afin de les installer chez les foreurs des exploitants des pétroles et gaz de schiste américains. « Les stations permettront de traiter l’eau des puits qui sera revendu par la suite aux pétroliers américains », explique Rebrab. « La station est rentabilisée en espace d’une année et on partagera les bénéfices avec Schlumberger, tout en restant propriétaires des stations », a-t-il précisé.

La station de production d’eau ultra pure, UPWater-System (UPW1.0), une technologie réalisée par EvCon, une filiale du groupe Cevital, ne concerne pas un seul secteur d’activité. Elle est utilisée aussi dans l’industrie pharmaceutique, semi-conducteur, l’industrie agroalimentaire, l’industrie de dessalement de l’eau de mer et le traitement des eaux usées des industries chimiques.

Mais l’activité qui utilisera le plus cette nouvelle technologie, est celle du dessalement de l’eau de mer. Le patron de Cevital nous révèle qu’actuellement, son entreprise se projette d’aller en Arabie Saoudite pour installer cinq centrales de dessalement d’eau de mer de 500 000 m³ par jour. Aussi, des commendes lui sont parvenues des hôteliers de la mer Rouge pour leur produire de l’eau de mer dessalée pour 5 000 m³ jour, nous indique aussi Rebrab, qui ajoute aussi qu’en niveau local, son entreprise est en étude pour installer une station de dessalement à Bejaia de 25 000 m³ jour.

Rebrab nous précise que l’avantage de sa technologie c’est qu’elle permet de produire des stations de 100 m³ jusqu’à 100 000 m³, selon la demande de ses clients. Il explique aussi que son entreprise va s’associer dans l’exploitation des stations de dessalement qui vont êtres installées aux clients, à hauteur de 20 à 30%. « C’est nous qui allons gérer les stations et facturer l’eau traitée à 0,669 USD le m3 », a-t-il précisé.

« C’est une fierté pour l’Algérie et un gain en devise pour l’économie nationale »

Toute l’industrialisation de cette nouvelle technologie sera produite en Algérie, nous indique le président de groupe Cevital. « On a déjà deux centres de productions qui vont être expédiés d’Allemagne la fin du mois de novembre. Ils vont être installés à Larbaâ, près d’Alger, au début de l’année prochaine », nous a-t-il révélé.

On fabriquera les membranes, qui représentent le cœur de la station, en Algérie, a poursuivi Rebrab en précisant que ces membranes vont être vendues aux joint-ventures (JV) à 300% de leur prix de production. « On prend déjà une marge en Algérie. 97 à 99% des membranes produites vont être exportées. C’est un gain en devise pour l’économie nationale », ajout-il.

La fabrication des membranes est entièrement automatisée, nous explique le numéro un du groupe Cevital. « Plusieurs ingénieurs de différentes sociétés allemandes, italiennes, sud-coréennes, autrichiennes, en plus de nos ingénieurs, ont travaillé pour mettre au point les centres de production de membranes », a-t-il précisé.

Au sujet du coût d’investissement de cette nouvelle technologie, Rebrab nous dira qu’au niveau de la recherche sur le projet, l’équipe qui a travaillé sur le projet était réduite à 7 à 10 personnes, ce qui n’avait pas un impact important au niveau du coût. « Mais le plus gros des coûts est l’investissement industriel », a-t-il ajouté. « Les centres de production des membranes en deux lignes en full production, nous ont coûté 17. 975. 000 euros le centre complet », a-t-il confirmé.

A ce sujet, Rebrab nous dira que même ce coût d’investissement n’est pas important, car le site est amorti en seulement une année. « On fait un chiffre d’affaires annuel de 30 millions d’euros pour un seul centre uniquement, mais on compte réaliser à l’avenir jusqu’à 500 centres à travers le territoire national », a-t-il avancé. « Avec cette technologie unique au monde, nous avons affaire au monde entier. C’est une technologie dont tout le monde en a besoin », a-t-il précisé avant d’ajouter, « c’est une fierté pour l’Algérie ».
https://www.maghrebemergent.info/cevita ... e-aux-usa/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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saladin
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Re: L'Economie Algérienne

Message par saladin »

Des Rebrab, il nous en faut des dizaines, en tout cas "ya3tih Essaha" :super:
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sadral
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Re: L'Economie Algérienne

Message par sadral »

Enfin le méga projet des engrais/Phosphates avec les Chinois passe a la vitesse supérieure et sauf accident va se concrétiser...c'est un projet majeur dans la politique de relance industrielle avec la valorisation de nos ressources naturelles.
Les wilayas d'Oran, Tebessa et Skikda: déclassement de terres agricoles au profit de projets industriels

Deux décrets relatifs au déclassement de parcelles de terres agricoles au profit de projets industriels, dans les wilayas d'Oran, Tebessa et Skikda, ont été adoptés mercredi par un Conseil des ministres tenu sous la présidence du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.


......Quant aux deux autres parcelles, elles sont d'une superficie, respectivement, de 150 hectares dans la commune de Bekkouche Lakhdar (wilaya de Skikda) et de 487 hectares dans la commune d'El Aouinet (wilaya de Tébessa).

Elles sont destinées à la réalisation de deux importantes usines d’engrais phosphatés.

Ces deux unités feront partie d’un vaste projet industriel et minier qui augmentera la production de phosphate au niveau du gisement d’Oued El Hedba (wilaya de Tébessa) et développera la transformation de ce minerai en divers engrais dans trois usines qui seront implantées dans les wilayas de Tébessa, Souk Ahras et Skikda, précise encore le communiqué.

Tout ce projet intégré sera réalisé en partenariat entre des sociétés algériennes et chinoises, affirme la même source.

L’investissement atteindra plus de 6 milliards de dollars et créera près de 20.000 emplois directs et indirects au bénéfice de la population des wilayas de Tébessa, Souk Ahras, Skikda et Annaba.
APS
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

samir_reghaia
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Re: L'Economie Algérienne

Message par samir_reghaia »

sadral a écrit :
27 septembre 2018, 10:28
Enfin le méga projet des engrais/Phosphates avec les Chinois passe a la vitesse supérieure et sauf accident va se concrétiser...c'est un projet majeur dans la politique de relance industrielle avec la valorisation de nos ressources naturelles.
Les wilayas d'Oran, Tebessa et Skikda: déclassement de terres agricoles au profit de projets industriels

Deux décrets relatifs au déclassement de parcelles de terres agricoles au profit de projets industriels, dans les wilayas d'Oran, Tebessa et Skikda, ont été adoptés mercredi par un Conseil des ministres tenu sous la présidence du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.


......Quant aux deux autres parcelles, elles sont d'une superficie, respectivement, de 150 hectares dans la commune de Bekkouche Lakhdar (wilaya de Skikda) et de 487 hectares dans la commune d'El Aouinet (wilaya de Tébessa).

Elles sont destinées à la réalisation de deux importantes usines d’engrais phosphatés.

Ces deux unités feront partie d’un vaste projet industriel et minier qui augmentera la production de phosphate au niveau du gisement d’Oued El Hedba (wilaya de Tébessa) et développera la transformation de ce minerai en divers engrais dans trois usines qui seront implantées dans les wilayas de Tébessa, Souk Ahras et Skikda, précise encore le communiqué.

Tout ce projet intégré sera réalisé en partenariat entre des sociétés algériennes et chinoises, affirme la même source.

L’investissement atteindra plus de 6 milliards de dollars et créera près de 20.000 emplois directs et indirects au bénéfice de la population des wilayas de Tébessa, Souk Ahras, Skikda et Annaba.
APS
C'est une très bonne chose. J'espère effectivement que ca se concrétisera. Ceci étant, les articles de l'APS sont souvent acquis à la cause du gouvernement... J'espère que cette fois ca marchera.
Les grands changements ne viennent que d'en bas.
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