L'Economie Algérienne

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AAF 2020
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Lancement des premiers travaux du projet d’élevage de crevettes à Ouargla
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OUARGLA - Les premiers travaux du projet d’élevage de la crevette d’eau douce (Litopenaeus vannamei) ont été lancés récemment dans la commune de Hassi Benabdallah (Ouargla), a-t-on appris jeudi auprès du directeur de la pêche et des ressources halieutiques (DPRH) de la wilaya.

Les travaux de ce projet, inscrit dans le cadre du programme de développement quinquennal 2010-2014, font partie de la tranche confiée au partenaire Sud-Coréen et portent sur le cadastre et l’aménagement du terrain d’assiette de cette ferme aquacole, a indiqué le DPRH d’Ouargla, Nadir Korichi, en marge d’une cérémonie d’installation du nouveau bureau de la Chambre inter wilayas de la pêche et d’aquaculture.

La tranche du projet concernant la partie sud-coréenne, d’un montage financier de près de 6 millions dollars, consiste, a-t-il dit, en la réalisation d’une unité de fabrication d’aliment de crevettes d’une production de 1,5 tonnes/jour, d’une unité de pré engraissement renfermant plusieurs bassins d’élevage d’alevins de cette espèce de crustacés.

La même tranche prévoit également la réalisation de bassins d’engraissement, d’un centre de recherches à équiper en moyens nécessaires pour le développement de cette activité aquacole dans cette région du sud du pays, a ajouté M. Korichi.

Le DPRH a indiqué que la tranche confiée à la partie algérienne porte sur la réalisation de bassins d’engraissement, de structures administratives pour la gestion de cette ferme aquacole.

Seconde du genre après celle de la wilaya de Skikda, cette ferme, qui s’étend sur une superficie de 10 hectares, sera livrée à la fin 2014 avant d’entrer en production à l’horizon 2015 pour une prévision annuelle allant de 10 à 20 tonnes de gammare (crevettes d’eau douce), selon les estimations des responsables du secteur.

Pour assurer l’encadrement de cette ferme, sept ingénieurs diplômés en aquaculture de l’université Kasdi Merbah d’Ouargla bénéficient d’une session de formation d’une durée de quatre mois en Corée du Sud, a indiqué M. Korichi.

Susceptible de contribuer au développement de l’aquaculture dans les régions du Sud du pays, ce projet s’inscrit dans le cadre de la convention de coopération signée en novembre 2010 entre l’Algérie et la Corée du Sud, a rappelé le DPRH d’Ouargla.
http://www.aps.dz/Lancement-des-premier ... ux-du.html

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Message par AAF 2020 »

LES TRAVAILLEURS ONT DE PLUS EN PLUS DE MAL À BOUCLER LES FINS DE MOIS: Les salaires de la colère
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En l'absence totale de stratégie économique et de véritable politique salariale, le gouvernement navigue à vue.
L'ébullition sociale n'a pas cessé même lors de la campagne des législatives. Reflétant un malaise social profond et la mauvaise distribution de l'argent du pétrole, elle n'a jamais cessé depuis des années. C'est grève générale partout. Sur le terrain, la mobilisation est déjà conséquente, voire énorme et certains services publics sensibles de l'appareil d'État fonctionnent au ralenti. Les acquis sociaux et les droits syndicaux arrachés au prix de grands sacrifices sont menacés, avec l'érosion du pouvoir d'achat, l'absence de politique salariale digne de ce nom, constituent la lame de fond qui secoue le monde du travail dont la fronde va crescendo. La misère sociale rampante qui gagne de plus en plus des pans entiers de la société, suscite une montée au créneau à grande échelle, selon de nombreux les observateurs.
En somme, si les travailleurs sont nombreux à sortir dans la rue, c'est que leur salaire ne suffit pas à boucler les fins de mois. La rupture du contrat social a ponssé des secteurs entiers vers l'autonomie syndicale. Les secteurs de la santé et de l'éducation constituent de véritables poudrières. Un lot important de difficultés à gérer à très court terme sur le front social et sur le plan économique, se présente au nouveau gouvernement qui doit s'y atteler rapidement d'une manière qui soit crédible et inspire la confiance. En «dépensant sans compter», selon même le FMI. suite aux émeutes de janvier 2011, «les pouvoirs publics ont pu certes calmer relativement le front mais, ils n'ont pas moins encouragé tous les travailleurs à demander plus», selon l'expert international en économie, le Dr Abderrahmane Mebtoul. La tension sociale exprime à la fois «l'incertitude et l'inquiétude vis-à-vis de l'avenir», estime-t-il. dans ce contexte où «tout le monde veut sa part de la rente», relève-t-il. L'ébullition sociale reflète également «l'absence de relais ou de soupapes. Preuve en est que c'est près du tiers de la population qui ne s'est pas exprimé aux législatives. Notons qu'il y avait un million de bulletins nuls, soit la deuxième force après le FLN, et plus de la moitié de la population qui s'est abstenue», dit-il. Outre la faiblesse de la présentation politique, l'économie nationale est dominée par la sphère informelle, représentant plus de 40% de la masse monétaire et qui est elle-même le produit de la bureaucratie structurelle, la corruption socialisée et la débrouillardise dominante», poursuit-il. Etant donné l'absence totale de stratégie économique et de véritable politique salariale, le gouvernement «navigue à vue, en continuant à importer 75% des besoins des ménages et des entreprises et à exporter 98% des hydrocarbures à l'état brut», ajoute-t-il. Depuis 1986, l'Algérie n'est ni dans l'économie dirigée ni dans l'économie de marché. Seule une véritable transition sera à même d'en finir avec l'emploi de la rente qui prédomine actuellement et ramener une régulation de l'économie politique et sociale, souligne-t-il encore. Si la contestation persiste avec cette ampleur, on risque à la longue une déstabilisation et cela peut nous ramener aussi à la situation prévalant durant les années précédentes où des fusibles sautent. Par ailleurs, malgré son relèvement à 18.000 DA, l'équivalent de 243 dollars, le Snmg reste encore faible comparativement à d'autres pays de même type d'économie. Il ne diffère pas beaucoup du Snmg marocain, un pays non pétrolier, qui est de l'ordre de 223 dollars. Il est très loin du salaire minimum garanti du Liban qui dépasse 333 dollars, nonobstant que ce pays ne possède pas des gisements en hydrocarbures. Si on est légèrement mieux lotis en la matière qu'en Tunisie (151 dollars), la Syrie (118 dollars), la Jordanie (154 dollars) et 77 dollars en Mauritanie, la comparaison ne se prête même pas avec la Libye voisine dont le Snmg est de l'ordre de 404 dollars. Hormis les pays de l'Est du Vieux Continent, la différence est énorme avec le salaire minimum français (1073 dollars), 639 dollars au Portugal, 906 en Espagne et 909 en Grèce. En plus de la montée au créneau de plusieurs syndicats dans le secteur de la santé dont les spécialistes ont déclenché depuis le 29 avril dernier un débrayage illimité, l'éducation vit au rythme du mouvement de protestation continu mené par l'Unpef. Brandissant des revendications liées à leur promotion et au rétablissement de la prime de responsabilité, le comité des directeurs et des censeurs des lycées boycotte toutes les activités administratives. L'Unpef, qui compte dans ses rangs des adjoints d'éducation et les corps communs de l'éducation, se présente donc comme le représentant des plus lésés du secteur. Le secteur de l'enseignement supérieur n'est pas en reste, plusieurs mouvements de protestation sont annoncés et pas moins de 300 cités universitaires sont d'ores et déjà paralysées. Les greffiers entrés en grève de la faim, ont entamé leur grève le 10 avril dernier avec les corps communs du secteur de la justice. Les 16 travailleurs licenciés de Cevital sont en grève de la faim depuis 22 jours.
http://www.lexpressiondz.com/actualite/ ... olere.html

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Le prochain forum des chefs d'entreprises algériennes et marocaines se tiendra en octobre prochain à Marrakech.

Le premier Forum de partenariat Maroc-Algérie, réunissant des représentants des secteurs privés algérien et marocain, s'est tenu jeudi à Casablanca avec comme objectif de créer les synergies nécessaires à un développement économique fructueux et un accroissement du volume des échanges entre les deux pays.

Deux thèmes ont meublé ce forum d'une journée initié par l'Association marocaine des exportateurs (Asmex) «Vers le développement du partenariat économique et commercial entre le Maroc et l'Algérie» et «Comment tirer profit des opportunités et des complémentarités existantes entre les économies algérienne et marocaine».

Le Forum, dont les travaux ont été ouverts par le ministre marocain de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, Abdelkader Amara, a vu la participation de Boualem M'rakach, président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Mohand Saïd Naït-Abdelaziz, président de la Confédération nationale du patronat algérien (Cnpa), Ali Bey Nasri, président de l'Association nationale des exportateurs algériens (Anexal).

Le Maroc était représenté par Mohamed Tazi, président de l'Asmex, Driss Houat, président de la Fédération des Chambres marocaines de commerce, d'industrie et des services et Youssef Rouissi, directeur de Attijariwafa Bank, considéré comme le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et premier au niveau africain depuis 2010.

Cette rencontre a été marquée par la volonté de la dynamisation de la coopération bilatérale à travers un partenariat plus large et complémentaire.

Boualem M'rakach, président de la CAP, a estimé que ce forum doit permettre «l'instauration d'un échange approprié pour réaliser des objectifs communs au regard de la conjoncture dans son ensemble». «C'est une approche collective que nous sommes appelés à mettre en place», a-t-il notamment souligné en indiquant qu'il faut «mettre en exergue les importantes potentialités que recèlent les deux parties (...) en rapport au constat de faiblesse des échanges bilatéraux ou régionaux enregistrés jusqu'à ce jour.»

Quant à Ali Bey Nasri, président de l'Anexal, il a fait un exposé chiffré et riche sur les échanges entre les deux pays et des blocages qui empêchent les exportations algériennes vers le Maroc. Il a, en particulier, indiqué que les exportations algériennes ont des difficultés à cause des barrières non tarifaires imposées par la partie marocaine, notamment l'instauration de droits de douane très élevés et le refus de la franchise douanière.

Nasri a ainsi préconisé la signature d'une convention tarifaire bilatérale et la normalisation des normes et réglementations, à savoir des accords de reconnaissance en adoptant «des règles d'origine identique pour profiter des opportunités offertes par l'Union européenne (UE) qui permettent le cumul de l'origine», a-t-il déclaré, avant d'appeler les deux pays à faire jouer les avantages comparatifs pour une meilleure attractivité afin de mettre en oeuvre les recommandations de l'Union du Maghreb arabe (UMA) en matière économique».

http://www.lexpressiondz.com/actualite/ ... ation.html

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Les exportations hors hydrocarbures restent marginales
Hausse des exportations et nouvelle baisse des importations algériennes
(Par Ali Idir)

La baisse des importations se poursuit. Après une première chute de 9,76 % au cours du premier trimestre 2012, les achats à l’étranger affichent une nouvelle baisse durant les quatre premiers mois de l’année : ils s’établissent à 14,43 milliards de dollars contre 15,59 milliards au cours de la même période de l'année précédente, soit une baisse de 7,41 %, selon les chiffres publiés, ce dimanche 20 mai, par le Centre national de l'informatique et des statistiques des Douanes (Cnis).

Durant la même période, les exportations ont atteint 27,46 milliards de dollars contre 24,03 milliards à la même période l'année précédente, en hausse de 14,28 %. Dans ce contexte, l'excédent de la balance commerciale de l'Algérie a enregistré une très forte hausse de 54,35 % pour atteindre 13,02 milliards de dollars contre 8,43 milliards de dollars à la même période en 2011.

Ces chiffres montrent que l’économie nationale reste fortement dépendante des hydrocarbures, qui représentent 97,63 % des exportations. Les exportations hors hydrocarbures demeurent faibles, avec seulement 1,78 % du volume global, en baisse de 5,51 % comparé à la même période de 2011. Plus inquiétant, l’Algérie n’exporte presque pas de produits finis. Les principaux produits hors hydrocarbures exportés sont constitués en effet du groupe "demi‑produits" avec 512 millions de dollars (+6,22 %), les produits bruts avec 58 millions (+18,37 %), et les biens d'équipements industriels avec 11 millions (+ 37,5 %).

En avril, les cinq principaux clients de l'Algérie étaient : les USA avec 955 millions de dollars, le Canada (665 millions de dollars), les Pays‑Bas (553 millions de dollars), la France (359 millions de dollars) et l'Espagne (345 millions de dollars). Concernant les principaux fournisseurs du pays, la France occupe la première place avec 497 millions de dollars, suivie de la Chine avec 409 millions de dollars et l'Espagne à 350 millions de dollars, selon la même source.
http://www.tsa-algerie.com/economie-et- ... 20829.html

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Baisse de 10,5% de la facture alimentaire de l’Algérie durant les 4 premiers mois de 2012
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ALGER - La facture alimentaire de l’Algérie a enregistré une importante baisse de 10,51 % durant les quatre premiers mois 2012 par rapport à la même période de l’année dernière, a-t-on appris lundi auprès des Douanes algériennes.

La facture des produits alimentaires, qui occupent la troisième position dans la structure des importations algériennes (19,1%) du volume global, a diminué de 324 millions usd, passant de 3,08 milliards de dollars (mds usd) durant les quatre premiers mois 2011 à 2,76 milliards usd, selon les chiffres du Centre national de l’informatique et des statistiques des Douanes (CNIS) obtenus par l’APS.

Ce recul de la facture alimentaire est dû à une baisse des différents produits importés notamment le blé dont le montant est passé de 872,56 millions usd à 640,26 millions usd, soit une baisse de plus de 26,6%, note le CNIS.

La facture des importations des céréales est appelée à poursuivre sa tendance baissière en 2012 grâce à une bonne récolte de céréales attendue cette saison.

Selon les premières prévisions du secteur de l’agriculture, la récolte devrait atteindre durant cette saison au moins 55 millions de quintaux à la faveur des conditions climatiques favorables.

Les importations algériennes ont enregistré une baisse générale de 7,40%. Trois groupes de produits sur les sept qui constituent la structure ont enregistré des baisses : il s’agit des biens d’équipements industriels qui se sont établis à 4,35 mds usd (-25,83%), les biens d’équipements agricoles (98 millions usd, -42,01%), les biens alimentaires (près de 2,76 mds usd, -10,51%) et les demi-produits (3,38 mds usd, -3,72%), indique la même source.

Au mois d’avril dernier, la facture des importations alimentaires a connu une baisse "plus prononcée" de près de 24,3%, totalisant 652 millions usd contre 861 millions durant le même mois en 2011, indique le CNIS.

Les principaux produits alimentaires importés par l’Algérie en avril dernier ont connu des baisses. Il s’agit essentiellement du groupe céréales, semoules et farines qui a connu une baisse de plus de 40%, puisque la facture est passé de 389,35 millions usd en avril 2011 à 233,46 millions usd à la même période de l’année en cours.

La valeur des importations du groupe "laits et produits laitiers" a également chuté de près de 45%, passant de 193,98 millions usd à 106,82 millions usd.

Les légumes secs ont également participé à cette baisse puisque leur valeur est passée de 16,21 millions usd à 11,75 millions, soit un recul de 27,51%, précise la même source, précise le Cnis.

Par ailleurs, d’autres produits alimentaires ont connu des hausses. La plus importante a concerné les sucres et sucreries (+172,03%) à 90,94 millions usd), les viandes (+24,37% à 14,29 millions usd) et les cafés et thé (+20,69 à 31,67 millions usd).

Par ailleurs, le CNIS précise que d’autres produits de consommation non alimentaires importés ont connu d’importantes hausses. Il s’agit notamment des médicaments dont la facture est passée de 146,36 millions usd à 233,75 millions usd, en hausse de 59,7%, ajoute le CNIS.

La facture des importations de véhicules de tourisme a également augmenté de 73,38% pour s’établir à 272,21 millions usd en avril dernier, contre 157 millions le même mois de l’année dernière.

Durant le mois d’avril 2012, les importations globales de l’Algérie ont connu une baisse de 12,88% passant de 4,16 mds usd en avril 2011 à 3,62 mds usd.

Cette baisse est due à une chute des importations des biens d’équipements et des biens de consommations alimentaires respectivement de 26,95% et de 24,27% par rapport à la période de référence.

Les exportations globales de l’Algérie en avril 2012 ont progressé de 4,99% totalisant 6,73 mds usd, tirées essentiellement par les hydrocarbures qui ont connu une hausse de 5,2 %.

Ces résultats se sont traduits par un excédent commercial de 3,10 mds usd en avril 2012 contre 2,25 le même mois en 2011, en hausse de 38%%, selon les Douanes.
http://www.aps.dz/Baisse-de-10-5-de-la-facture.html

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Hausse à 6,4% du rythme annuel de l’inflation en avril 2012 (ONS)
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ALGER - Le rythme d’inflation annuel en Algérie a accentué sa hausse durant le mois d’avril dernier pour atteindre 6,4% contre 5,9% en mars, a appris lundi l’APS auprès de l’Office national des statistiques (ONS).

Ce taux, qui était de 5,3% en février et 4,9% en janvier 2012, est "nettement" supérieur à celui observé durant toute l’année 2011 (4,5%), ainsi qu’à celui relevé en 2010 (3,9%).

Cette tendance haussière, entamée dès le dernier mois de l’année écoulée, est due notamment à une "remarquable" hausse des prix à la consommation, soit 11% par rapport au même mois de l’année 2011, précise l’ONS.

L’indice des prix à la consommation du mois d’avril dernier et par rapport au mois de mars a augmenté de 0,9%, soit une évolution mensuelle "plus importante" à celle relevée le même mois de l’année écoulée (0,1%).

Corrigé des variations saisonnières, l’indice des prix à la consommation a enregistré en avril 2012 une hausse de 0,5% par rapport à mars dernier. En glissement annuel, les produits alimentaires ont augmenté de 15,86% avec notamment 26,30% pour les produits agricoles frais et 7,1% pour les produits alimentaires industriels, explique l’ONS.

Les produits manufacturés ont également augmenté de 7,4% et les services de 5,84% en avril dernier par rapport à la même période de l’année écoulée, ajoute l’office.

Par rapport au même mois de l’année dernière, la hausse a touché en avril dernier tous les produits alimentaires, mais les augmentations les plus importantes ont concerné les produits agricoles frais (26,30%), dont notamment la pomme de terre (116,39%), les légumes (23,97%) et les fruits frais (9,29%), relèvent les chiffres de l’ONS.

Cette hausse a touché également d’autres produits alimentaires. Il s’agit notamment des viandes de mouton (28,14%), des œufs (15,42%), des sucre et produits sucrés (12,82%), poisson frais (8,44%), des huiles et graisses (4,87%), laits, fromage et dérivés (2,05%) et la viande blanche (1,3%), ajoute l’ONS.

De son côté, l’indice des prix à la consommation a connu une hausse de 0,9 en avril 2012 par rapport au mois de mars 2012, en raison également d’une hausse généralisée des prix des produits agricoles frais qui ont augmenté de 1,52%, relève l’Office.

Cette hausse des produits agricoles frais s’explique par la forte augmentation des prix de la pomme de terre (12,61%), les légumes frais (9,62%), selon les chiffres de l’ONS.

Les produits alimentaires industriels ont connu aussi une légère hausse de près de 0,64% en raison essentiellement de l’augmentation des prix des sucres (0,24%) et des huiles et graisses (0,41%), ajoute l’organisme des statistiques.

Durant les quatre premiers mois 2012, l’indice des prix à la consommation a connu une ’’forte hausse" de 9,5% par rapport à la même période en 2011, en raison d’une hausse généralisée des prix des produits agricoles frais qui ont augmenté de 20,75%.

Cette hausse des produits agricoles frais s’explique toujours par la forte augmentation des prix de la pomme de terre (64,50%), la viande de mouton (27,24%), des œufs (21,98%), les légumes frais (15,03%) et des fruits frais avec 5,27%, relève l’Office.

Les produits alimentaires industriels ont aussi marqué une hausse de 6% en raison essentiellement de l’augmentation des prix des boissons (19,86%), du café et thé (7,8%), des sucres et produits sucrés (5,87%) et des huiles et graisses (3,87%), ajoute l’organisme des statistiques.

Les prix des produits manufacturés ont également enregistré une hausse de 7,8% ainsi que ceux des services avec 4,87% durant les quatre premiers mois de 2012, selon l’office.
http://www.aps.dz/Hausse-a-6-4-du-rythm ... -de-l.html

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Commerce : 7.000 agents contrôleurs recrutés avant fin 2014 (ministre)
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SKIKDA - Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a annoncé, lundi à Skikda, que 7.000 nouveaux agents contrôleurs allaient être recrutés dans l’ensemble des wilaya du pays avant la fin du programme quinquennal 2010-2014.

Le ministre qui présidait l’ouverture d’une rencontre nationale de sensibilisation consacrée au "Guide du consommateur algérien", organisée au palais de la Culture et des arts, a précisé que ces nouveaux agents s’ajouteront aux 3.600 contrôleurs en activité au sein des différentes directions du commerce du pays.

Le renforcement des personnels chargés du contrôle vise à rassurer les citoyens quant à la détermination des pouvoirs publics d’éradiquer la commercialisation de produits alimentaires "d’origine et de qualité douteuses", même si, a-t-il ajouté, la "maîtrise des questions relatives à la consommation demeure ardue".

M. Benbada a également souligné que cette mesure vise aussi à renforcer le contrôle de proximité, à un moment où le ministère du Commerce se préoccupe de plus en plus d’une meilleure protection des consommateurs.

Le ministre a encore ajouté, dans le même contexte, que son département ministériel s’apprête à ouvrir 20 nouveaux laboratoires d’analyses et créera "avant la fin du quinquennat en cours" un réseau de laboratoires à travers les 48 wilayas du pays.

M. Benbada devait également, dans le cadre de sa visite d’inspection et de travail dans la wilaya de Skikda, inaugurer et lancer plusieurs structures relevant de son département
http://www.aps.dz/Commerce-recrutement-de-7-000.html

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Cnep-bancassurance : Portes ouvertes sur la totale prévoyance
[img]http://www.elmoudjahid.com/temp/fr/actu ... 28128].jpg[/img]
La Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (Cnep-Banque) a organisé hier des portes ouvertes sur la «totale prévoyance», un produit de bancassurance lancé depuis près de trois ans en partenariat avec l’assureur Cardif El Djazair. Durant dix jours, le grand public pourra s’informer, auprès de l’agence Cnep du boulevard Mohamed V (Alger-Centre), sur ce produit d’as- surance de personnes qui a réussi à attirer 30 000 souscripteurs depuis sa création en juillet 2009, selon M. Amar Oudahmane, directeur de la cellule de la bancassurance à la Cnep-Banque. «Nous sommes passés de 480 souscriptions/mois en moyenne en 2009 à 3 312 en décembre 2011, soit une multiplication par sept», a indiqué M. Oudahmane lors d’un point de presse en marge de cette manifestation. La couverture «totale prévoyance» a profité à 16 sinistres depuis son lancement à travers les 211 agences de la Cnep-Banque, selon M. Oudahmane, qui n’a pas précisé le montant global des primes versées ni celui des couvertures. Cette assurance est déclinée en deux formules de protection, l’une appelée totale prévoyance «toutes causes» qui couvre le décès ou l’invalidité absolue et définitive (IAD), quelle qu’en soit la cause, alors que l’autre, dite prévoyance «accidentelle», couvre les mêmes risques survenus à la suite d’un accident. Aucune condition relative au revenu mensuel ou autre n’est exigée pour la souscription à ce produit, à part l’obligation d’être titulaire d’un livret d’épargne ou d’un compte-chèques auprès de la Cnep-Banque et être âgé entre 19 et 70 ans. Pour une prime mensuelle de 130 DA par exemple, le souscripteur d’une formule «accident» pourra faire bénéficier ses proches ou toute autre personne de son choix d’une couverture, exonérée d’impôts et de droit de succession, équivalant à 1 million de DA au cas où il serait victime d’un accident mortel ou invalidant, a expliqué le responsable. «C’est vrai- ment minime, c’est même inférieur au prix d’un paquet de cigarettes», ironise un autre haut cadre à la Cnep. Les ayants droit pourront ainsi bénéficier d’une couverture de 2 millions de DA au cas où le souscripteur payerait 260 DA de prime mensuelle, de 3 millions de DA pour une prime de 390 DA, de 4 millions de DA pour 520 DA et d’une couverture de 6 millions de DA pour une prime de 780 DA/mois, et ce, pour la prévoyance-accident. Quant à l'assurance «toutes causes», elle permet à son porteur de faire bénéficier les personnes qu’il choisit d’un capital allant de 500 000 à 3 millions de DA en payant des primes allant de 225 à 1 590 DA. En cas d’accident, le capital payé est systématiquement doublé. Selon M. Oudahmane, le paiement de l’assurance se fera dans les 24 ou les 72 heures qui suivent la présentation d’une déclaration justifiée du sinistre par les ayants droit. Une réduction «considérable» de la tarification en matière d’assurance des emprunteurs (ADE), couvrant le risque de décès ou d’IAD souscrite par les bénéficiaires de crédits immobiliers aux particuliers de leurs co-emprunteurs ou caution, a été par ailleurs annoncée par la Cnep-banque. Il s’agit, selon un responsable de la communication à la banque, d’une «prime en baisse de 12% qui s’ajoute à une indemnisation complémentaire de l’ordre de 20% du capital remboursé».
La réduction est de 38% pour la prime couvrant les prêts bonifiés et la location- vente et de 24% pour les autres crédits immobiliers, y compris la location habitation, selon la même source. La Cnep-Banque, qui compte plus de 3 millions de clients, est la première banque publique à s’investir dans la bancassurance en Algérie en partenariat avec Cardif El- Djazair, filiale assurance vie du groupe bancaire français BNP Paribas. M. Oudahmane n’a pas écarté l’éventualité que ce partenariat, qui se limite actuellement à la distribution par la Cnep des produits de Cardif, évolue vers la création d’une société mixte dans le futur.
http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/28128
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Forte hausse de l’inflation en avril
Les prix des produits alimentaires s’envolent

L’inflation continue d’évoluer à un rythme élevé en Algérie. En avril, elle a progressé de 6,4 % contre 5,9 % en mars, selon l’Office national des statistiques (ONS), cité ce lundi 21 mai par l’agence APS. Ce taux, est nettement supérieur à celui observé durant toute l'année 2011 (4,5 %), ainsi qu'à celui relevé en 2010 (3,9 %).
http://www.tsa-algerie.com/economie-et- ... 20838.html


normalement le control se fait a haute niveau en control dabors les grands importateurs et apres les grossistes en arrivant aux détaillant en dernier lieu
c'est pas l'arme qui tue mais l'être humaine qui tir sur la gâchette

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Re: L'Economie Algérienne

Message par Sifax »

Bejaia : La valeur des exportations en 2011 s’est chiffrée à 296 millions de dollars (22/05/2012)

Les opérateurs de la wilaya de Bejaia ont exporté, durant l’année 2011, 500 tonnes de marchandises, représentant une valeur vénale de 21,5 milliards de dinars, soit l’équivalent de 296 millions de dollars, selon un bilan de la direction de wilaya du commerce.

Onze opérateurs ont participé à cet effort d’ouverture à l’international, en y proposant une large gamme de produits et marchandises, notamment dans le créneau de l’agroalimentaire (huiles, sucre, laitages, et boissons) ou celui des matières premières dont les peaux et lièges.

« Le résultat est encourageant mais insuffisant au regard des potentialités de la wilaya », a cependant relevé le président de la chambre d’Industrie et de Commerce Soummam, Abdelkader Hocini, qui ne désespère pas de voir l’économie locale « boostée par une inclinaison de plus en plus importante à l’international ». Son argument repose sur l’étendue du tissu des PME/PMI locales, considéré comme l’un des plus importants du pays.

« Avec plus de 12.000 unités, Bejaia, occupe le 4eme rang national et son dynamisme est de nature à lui ouvrir de nouvelles perspectives », a-t-il dit, en notant cependant qu’une telle éventualité, n’a de chance de se concrétiser « qu’au cas où les contraintes auxquelles elles sont confrontées seraient levées ».

Hocini, a évoqué à ce titre, « l’inadaptation » de l’administration aux nouvelles exigences économiques, notamment en matière de procédures et de réglementation, les questions inhérentes au foncier, les contraintes de financement, qui, de son point de vue, « limitent les ambitions des entrepreneurs locaux à regarder au-delà des frontières ».D’autant, a-t-il souligné, que beaucoup d’opérateurs, frileux, par « méconnaissance des dispositifs relatifs à l’exportation, préfèrent ne pas s’y hasarder ».

Un grand nombre d’opérateurs, tout à fait innovants et concurrentiels, hésitent, par ailleurs, à se jeter à l’eau à cause de l’instabilité sociale qui caractérise la wilaya, touchée notamment par le phénomène récurrent des fermetures de routes. « L’étranger ne peut tolérer des retards dans les livraisons, et ne saurait comprendre les difficultés techniques ou sociales locales. Pour lui, un contrat, c’est un contrat », a-t-il expliqué.
http://www.algerie1.com/affaires/bejaia ... e-dollars/

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Re: L'Economie Algérienne

Message par AAF 2020 »

Les Douanes algériennes ont bloqué les importations de 442 opérateurs économiques en 2011
Les Douanes algériennes ont bloqué en 2011 les importations de 442 opérateurs économiques pour fraudes douanières et fiscales, a appris l'APS mardi auprès d'une source douanière.


"Uniquement pour les opérateurs économiques, nous avons eu à bloquer 442 opérateurs en 2011, pour des infractions constatées lors des opérations de contrôle à posteriori", a indiqué la même source.

Majoration ou minoration de valeur, fausse déclaration d'espèce, détournement des avantages fiscaux, utilisation des faux documents, sont autant d'infractions constatées aussi bien chez les entreprises importatrices des biens pour la revente en l'état que chez les opérateurs économiques producteurs ou investisseurs.

En outre, plus d'un millier d'autres opérateurs, n'ont pas été localisés, lors des opérations du contrôle à posteriori, aux adresses mentionnées sur leurs registres d'importation, selon la même source.

Ces opérateurs, qui n'ont pas répondu aux convocations des Douanes, "ont été systématiquement bloqués", à l'exception de ceux qui ont accepté de payer les amendes imposées dans le cadre des contentieux engagés par l'institution des Douanes, ajoute-t-elle.

Ces dernières années, les Douanes algériennes ont renforcé l'étau autour des fraudeurs mais toutes les opérations d'assainissement n'ont pas réussi à endiguer le phénomène des registres d'importation prête nom.

Plus grave encore, l'institution douanière n'est pas parvenue à établir un fichier crédible des importateurs, changeant d'année en année à cause de des registres annulés et remplacés par des nouveaux.

"Nous avons des difficultés à mettre en place un fichier crédible. Les conditions d'octroi des registres de l'importation doivent être revues si on veut assainir le commerce extérieur", enchaîne la même source.
http://www.elwatan.com/economie/les-dou ... 90_111.php

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Re: L'Economie Algérienne

Message par AAF 2020 »

La population a dépassé les 37 millions d’habitants en janvier 2012 (ONS)
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ALGER - La population de l’Algérie était de 37,1 millions d’habitants au 1er janvier 2012, selon l’Office national des statistiques (ONS), qui prévoit une population de 37,8 millions d’habitants en janvier 2013 avec le maintien du rythme des naissances de 2011.

La population résidente s’est accrue en 2011, de 748.000 personnes, soit un taux d’accroissement naturel de 2,04%, la population résidente totale est estimée, au 1er janvier 2012, à 37,1 millions d’habitants, selon l’estimation de l’organisme des statistiques.

Ce taux d’accroissement naturel est considéré par l’office "comme important par rapport à celui observé lors des années 2000", ajoutant qu’"il annonce probablement le début de sa stagnation puisqu’il se rapproche de celui de 2010 (2,03%)". "Si ce niveau d’accroissement devait se maintenir, la population résidente se rapprocherait probablement, au 1er janvier 2013, de 38 millions d’habitants", estime une publication de l’Office obtenue par l’APS.

Le taux d’accroissement naturel a entamé sa progression dès 2008 avec 1,92%, puis il est passé à 1,96% en 2009, 2,03% (2010) et 2,04% (2011). Avec le maintien de ce taux, la population serait de 37,8 millions au 1er janvier 2013, détail l’organisme.

La dynamique démographique en Algérie maintient son rythme entamé durant la dernière décennie avec l’augmentation continue du nombre des mariages, des naissances et de décès, note l’ONS. Les hommes représentent 50,6% de la population de l’Algérie en 2011, quant aux femmes, elles représentent 49,4%.

En effet, le nombre des mariages se distingue par une augmentation de 7% pour totaliser (369.031 unions) en 2011 par rapport à 2010, le volume des naissances a dépassé la barre des 900.000, "seuil jamais atteint auparavant", relève l’office, précisant que la mortalité a connu également un taux d’accroissement de 4,41 pour mille pour atteindre le nombre de (162.000 décès).

Concernant la structure de la population, la répartition par âge fait ressortir que la population âgée de moins de 5 ans continue de progresser, passant de 10,7% en 2010 à 11% l’année dernière, ce qui "témoigne de l’augmentation récente de la natalité", souligne l’organisme. La part de la population âgée de moins de 15 ans connaît une légère baisse, représentant 27,7% de la population totale.

La population en âge d’activité (15 à 59 ans) a connu également une légère baisse, passant ainsi de 64,5% à 64,4%, mais continue de représenter la part la plus importante dans la population, tandis que la part des personnes âgées de 60 ans et plus poursuit toujours sa progression, passant de 7,7% en 2010 à 7,9% de la population totale en 2011. Quant au nombre des femmes en âge de procréer (15-49 ans), il est estimé à 10,4 millions contre 10,2 millions en 2010, selon l’ONS.

Pour la natalité, l’Office relève que la progression des naissances se poursuit avec une augmentation de 909.563 naissances vivantes en 2011 par rapport à 2010, soit une moyenne de 2.500 naissances vivantes par jour. Le volume des naissances vivantes a connu un accroissement relatif de 2,4% en 2011.

Cet accroissement est considéré par l’office "comme limité par rapport au rythme d’évolution observé ces dernières années". La répartition de ces naissances par sexe révèle 104 garçons pour 100 filles, détaille l’office des statistiques.

L’évolution récente du nombre de naissances indique que la natalité en Algérie "maintient le cap vers un niveau de plus en plus élevé", commente l’ONS, précisant que le taux de natalité n’a pas été très affecté par cette augmentation, puisqu’il est passé de 24,68 pour mille à 24,78 pour mille entre 2010 et 2011.

De même l’indice de fécondité n’a pas été affecté par les naissances, il est de 2,87 enfants par femme. En revanche, le rythme d’augmentation des naissances ces dernières années permet d’avancer "que le volume des naissances vivantes atteindra probablement le seul d’un million en 2015", estime l’Office.

Le nombre de décès est de 162.000 en 2011, soit 3% de plus par rapport à 2010, et qui s’est traduit par une légère augmentation du taux de mortalité qui est passé de 4,37 pour mille à 4,41 pour mille, précise l’ONS. L’espérance de vie à la naissance a progressé à 76,5 ans contre 76,3 ans en 2010 et 75,5 ans en 2009, soit 75,6 ans pour les hommes et 77,4 ans pour les femmes.

La mortalité infantile continue de baisser en 2011, reculant de 0,6 point, alors que la mortinatalité (enfants mort-nés) a connu un important recul. Le nombre passe de 16.444 à 15.480, alors que le taux s’est réduit de 18,2 pour mille à 16,7 pour mille.

Concernant la nuptialité, l’année 2011 se distingue par la forte augmentation des mariages, ainsi le taux est passé de 9,59 pour mille en 2010 à 10,05 pour mille, soit un total de 369.031 nouveaux mariages enregistrés.

Malgré un accroissement du nombre de mariage de 3% entre 2008 et 2009, le taux de nuptialité a subi un effet limité, passant de 9,58 à 9,68 pour mille durant cette même période, explique l’ONS. La population de l’Algérie a franchi le seuil des 30 millions d’habitants en 2000, puis les 35 millions dès 2009 pour dépasser les 37 millions en 2011.
http://www.aps.dz/#fragment-48939

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Re: L'Economie Algérienne

Message par Sifax »

Le groupe Antar Trade (propriétaire de la marque Condor) se prépare à se lancer dans l'industrie pharmaceutique. Il prévoit 2 usines à Sidi-Abdellah en partenariat avec des jordaniens.
أنشأت فرع ''جي دي فارما'' وستقيم مصنعين بسيدي عبد الله
مجموعة ''عنتر ترايد بن حمادي'' تقتحم قطاع صناعة الأدوية
http://www.elkhabar.com/ar/economie/290528.html
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Re: Economie de l'Algérie et IDE

Message par scorpion-rouge35 »

Nous voila a 37 million :algerie01: , la plus grande population au maghreb
D’après l'Office national des statistiques
La population de l'Algérie s'élève à 37,1 millions d'habitants



L'Algérie comptait 37,1 millions d'habitants au 1er janvier 2012, a indiqué mardi l'Office national des statistiques (ONS), cité par l'agence de presse APS. La population de l'Algérie devrait atteindre 37,8 millions d'habitants en janvier 2013, selon les projections de l'ONS.

Se basant sur l'accroissement naturel en 2011 de 748 000 personnes (2,03 %), la population résidente totale est estimée, au 1er janvier 2012, à 37,1 millions d'habitants, estime l'ONS. Le dernier recensement général effectué en avril 2008 indiquait une population de 34,8 millions d'habitants.

http://www.tsa-algerie.com/divers/la-po ... 20851.html
THE ALGERIAN ARMY


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Re: L'Economie Algérienne

Message par AAF 2020 »

Sur les 9000 tonnes que Frigomedit compte importer 2000 tonnes de viande rouge déjà réceptionnées
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A deux mois du Ramadhan, les entrepôts frigorifiques de la Méditerranée (Frigomedit) ont déjà réceptionné 2000 tonnes de viande rouge sur les 9000 tonnes que l’entreprise compte importer pour approvisionner son réseau de marchands de gros et de détail.


L’insuffisance de capacités d’entrepôts de froid et la défaillance des mécanismes de régulation et d’organisation des réseaux de distribution sont pour beaucoup dans la dérégulation du marché et la hausse des prix.
Quelques semaines du mois de Ramadhan, les entrepôts frigorifiques de la Méditerranée (Frigomedit) ont déjà réceptionné 2000 tonnes de viande rouge sur les 9000 tonnes que l’entreprise compte importer d’Inde pour approvisionner son réseau de marchands de gros et de détail. C’est ce que nous avons appris, hier, d’une source bien au fait du marché des viandes. Contacté, le PDG de la société en question, Djahid Abdelwahab Zefizef, préférera parler de l’opération d’importation sans trop s’attarder sur les chiffres, confidentialité oblige.

«Nous sommes une société étatique, mais nous nous considérons d’abord comme un opérateur économique, au même titre que les autres opérateurs privés, soumis aux règles du marché et de la concurrence», souligne-t-il. Et de préciser que Frigomedit, parmi tant d’intervenants sur le marché, a décidé d’importer cette année de la viande bovine pour participer à l’équilibre du marché, car l’offre demeure jusqu’ici insuffisante par rapport à la demande de plus en plus croissante, notamment durant le Ramadhan. Selon lui, l’offre nationale en viande rouge n’est que de 360 000 t par an, dont 50 000 t en importation. Mais, faut-il préciser, l’insuffisance de capacités d’entrepôts de froid et la défaillance des mécanismes de régulation et d’organisation des réseaux de distribution sont pour beaucoup dans la dérégulation du marché et la hausse des prix.

C’est la raison pour laquelle, d’ailleurs, le Conseil des participations de l’Etat a décidé, en 2010, de créer cette nouvelle entité économique, en l’occurrence Frigomedit, en lui attribuant le rôle de réguler le marché et de doter le pays de capacités de gestion de stocks de sécurité de produits de large consommation. Frigomedit a également pour vocation la fourniture de la prestation d’entreposage frigorifique, le conditionnement et l’exportation des excédents des produits agricoles frais ainsi que l’importation de produits agroalimentaires.

Un nouveau projet d’entrepôts frigorifiques

M. Zefizef ne manquera pas de préciser que l’objectif essentiel de Frigomedit est «la mobilisation, à l’issue de la réalisation du programme de développement 2010-2014, d’une capacité d’un million de mètres cubes en combinant à la fois le froid positif et le froid négatif».
Pour l’heure, sa capacité est de 150 000 m3 en froid positif et 100 000 en froid négatif. Un nouveau projet est en cours de lancement pour la réalisation de plusieurs entrepôts frigorifiques d’une capacité totale de 627 000 m3, souligne encore le même responsable. S’agissant de l’origine des importations, M. Zefizef tient à noter que les abattoirs sélectionnés sont situés en Inde et répondent aux normes requises : «Nos importations se font sur la base d’un cahier des charges et nos experts veillent au respect strict des conditions exigées en la matière.»
http://www.elwatan.com/economie/sur-les ... 27_111.php
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