L'Université Algérienne

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tchpako
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Message par tchpako »

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AAF 2020
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Re: L'Université Algérienne

Message par AAF 2020 »

Algérie-France : des accords de coopération dans le domaine de l’enseignement supérieur
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ALGER- L’Algérie et la France ont signé lundi à Alger plusieurs accords de coopération dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, en vue de renforcer davantage leur coopération bilatérale dans ce domaine.
La signature des ces accords a eu lieu à l’occasion de la tenue de la 3è conférence algéro-française de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, co-présidée par les ministres du secteur des deux pays, Mohamed Mebarki et Geneviève Fioraso, qui effectue une visite de travail en Algérie.
Les deux pays ont, ainsi, procédé à la signature d’un protocole d’accord bilatéral qui permettra de créer un comité dont la mission sera de définir les modalités de discussion pour mettre en place une commission mixte qui aura notamment pour mission d’identifier les activités de formation et de recherche.
Ils ont également paraphé un accord portant sur la mise en place d’un réseau mixte liant les écoles algériennes et les grandes écoles françaises avec pour objectif de pérenniser les actions de coopération qui ont été menées dans le cadre du Fonds de solidarité prioritaire (FSP).
Un autre accord de coopération a été aussi signé entre la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT) du ministère de l’enseignement supérieur et l’agence française d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur.
Ce document prévoit notamment le développement des actions de coopération dans le domaine de l’évaluation des entités de recherche en Algérie et en France et l’élaboration d’un programme d’échange et de formation de personnel scientifique et administratif.
Les deux pays ont procédé également à la signature d’une convention-cadre entre l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique et la banque publique d’investissement française.
Cette convention vise à doter les deux institutions d’un cadre approprié pour leur coopération future dans la gestion, l’optimisation et l’évaluation des projets innovants.
Il a été aussi procédé à la signature d’un protocole de coopération entre le DGRSDT et la MINATEC du Commissariat de l’énergie atomique (CEA) de Grenoble dans le domaine des nanotechnologies.
Enfin, une déclaration d’intention a été signée entre l’université d’Oran et le Centre français de recherche scientifique (CNRS) pour mettre en détachement des chercheurs du centre au niveau de l’université d’Oran dans le domaine de la physique et pour l’accompagnement pour la réalisation d’un centre de recherche en physique expérimentale à Oran.
http://www.aps.dz/Algerie-France-signat ... 41655.html

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numidia
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Re: L'Université Algérienne

Message par numidia »

.............. Il a été aussi procédé à la signature d’un protocole de coopération entre le DGRSDT et la MINATEC du Commissariat de l’énergie atomique (CEA) de Grenoble dans le domaine des nanotechnologies................
ça me semble très ambitieux et peut être même naïf, ces 2 domaines sont ultra sensibles et les pôle de recherches universitaires les plus choyées surveillées et jalousées depuis quelques années. la concurrence internationale entre universités est une pression importante dans ces domaines.
espérons que nos étudiants et nos instituts profiteront vraiment de ces accords.
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Sifax
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Re: L'Université Algérienne

Message par Sifax »

Ce qui me préoccupe aussi c'est l’éventuelle engloutissement des cerveaux algérien par les laboratoires français. Soyons réalistes: l'Algérie ne pourra pas dans le court terme offrir aux cerveaux DZ le même environnement de recherche et les mêmes avantages que la France.

Il faudra faire en sorte que le frottement (scientifique) avec la France soit bénéfique pour l'Algérie.

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numidia
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Re: L'Université Algérienne

Message par numidia »

oui absolument, c'est exactement le sens de mes propos, là ça ressemble plus à une arnaque qu'à autre chose.
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Rebell
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Re: L'Université Algérienne

Message par Rebell »

niveau infrastructure etc.. bien que que l’Algérie et capable dans cette décennie a offrir un très bonne environnement de recherche la on parle d'argent et c'est pas sa le probleme
je suis moi même a l'université en France et franchement c'est pas beau mais je veux surtout parlé de formation et a numidia a propos de la formation en médecine..je sais pas combien d'année la formation de médecin en Algérie mais on France il faut 10 ans et la 1er année de médecine et trop trop dure a avoir avec un taux de réussite a 23% seulement
âpre a par les moyen il faut aussi avoir une bonne ligne de formation qui sois au norme des pays développer et avoir des professeur de renomme et pour augmentez rapidement le niveau de formation (dans tout les domaine) il faut avant tout importé des professeur du monde entier ensuite envoyer des élève étudier dans les meilleur université du monde et aussi former des professeur afin que cela puissent a l'avenir former nos jeune
et la on pourra élever le niveau dans notre pays qui reste médiocre....

une foi dans un cours un prof nous a parlez de la formation des jeune et combien coûte la formation pour un seul élève et bien sur je contredit toujours mon professeur et c'est ce qui le fait rire d'ailleurs et me donne souvent des explication :lol: alors il m'a dit que l’état peye 8000 euro pour la formation d'un seul étudiant..et une ami a moi m'a dit que sont prof lui a dit 12 000 suis a raison? je sais pas en tout cas c'est très élevez sans compté ceux qui on une bouse ou qui arête les étude ou qui échoue..sa fait beaucoup d'argent dépenser..mais ce qui sort du lot c'est de la qualité.j'ai demandez comment sa se fait que c'est aussi cher..sa réponse était simple il faut investir pour la jeunesse pour l'avenir du pays le moindre relâchement a ce niveau la et tu verra une generation de ton pays pandant de longue année ralentie et un pays perdu...donc il faut toujours offrir ce qui a de mieux....le probleme c'est que notre pays a régresser a cause de sa
vous savez les pays émergent investissent beaucoup dans les université

et sa dans tout les domaine sans trop entré dans le HS on se plein que le foot algérien et faible c'est normal dans les année 70-80 on former de bon joueur et maintenant le niveau de formation et médiocre donc équipe médiocre sa sera pareille pour les médecin et toute autre domaine au point ou on importe tout de la nourriture au travailleur chinois jus'au joueur de foot..et j'en passe...et c'est pas bon pour l'avenir

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numidia
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Re: L'Université Algérienne

Message par numidia »

Sifax t'as parlé hier des "cerveaux algériens"
ceux qui passent haut la main les épreuves sont de 2 catégories, les vrais bûcheurs et les pistonnés
le problème c'est que la réussite truquée des uns va ternir gravement les efforts des autres
une sale et méprisable habitude qui pèse sur la fiabilité et la valeur de tout le secteur universitaire
DES ENFANTS DE PERSONNALITES INFLUENTES REUSSISSENT AVEC DES NOTES FALSIFIEES : Scandale à l’université d’Annaba
Le département de Biologie de l'Université de « Badji Mokhtar » à ’Annaba, a été ébranlé par un scandale de gros calibre, après que des parties dans l’administration aient connivé pour permettre à plus de 190 étudiants de « réussir » à leurs examens en procédant à la falsification des notes. Un délit commis par l’un des employés du centre informatique, qui a falsifié des bulletins officiels en gonflant les notes de certains modules et pour le compte d’enfants de personnalités influentes dans les wilayas de l’Est selon des sources concordantes.


De ce fait, des étudiants du département de biologie de la Faculté des sciences naturelles, se sont exprimé, avant-hier, exigeant de l'administration de l'université d’intervenir d'urgence pour répondre à la demande qu'ils avaient formulée, et qui est en rapport avec l’affaire de fraude des notes d’examen d'un groupe d'étudiants, ce qui a provoqué la fermeture de la porte principale du département durant toute la matinée, avant l'intervention d'un représentant du rectorat de l'université et le doyen de la faculté, qui ont réussi à convaincre les étudiants de former une délégation pour les représenter pour un dialogue avec le recteur de l'université. L'état d’ébullition chez les étudiants a continué jusqu’à une heure tardive après que les choses ont évolué dans une escarmouche avec les services de sécurité selon la même source. Les étudiants ont précisé qu’ils n’avaient pas approuvé la décision prise le 15 Janvier dernier par le recteur de l'université après des réunions marathoniennes avec le doyen de la faculté, sur le scandale de falsification des résultats de scolarité pour l'année universitaire 2013/2014 par un membre du personnel chargé du processus de saisie des notes des examens trimestriels, et qui a permis à 190 étudiants de différents niveaux de réussite et dont la plupart sont des enfants de personnalités influentes. Selon la même source, l’opération a été annulée suite à cette violation des règles. En effet, la décision du recteur de l'université, a été rendue sur la base des résultats d'une enquête administrative après la découverte d’une fraude programmée des résultats, ce qui a entraîné plus tard à la confirmation de l'existence d'une fraude flagrante dans les procès-verbaux des délibérations relatives aux relevés de notes d’examen qui ont été amplifiés, dans le cadre des travaux dirigés avec la complicité de certains enseignants et un agent administratif chargé de la saisie qui a été évincé de son poste, ajoute la même source. Dans le même contexte, les représentants des étudiants ont lancé un appel à la tutelle, en vue d'intervenir et d'envoyer une commission d'enquête dans le cadre de ce qu'ils ont décrit comme le scandale de la saison et le ‘’business" avec l’avenir des étudiants. Ils ont également exigé des mesures dissuasives légales envers les parties impliquées dans le scandale afin de préserver le statut de l'université et la crédibilité des examens précise la même source.

Touffik
Lundi 20 Janvier 2014
http://www.reflexiondz.net/DES-ENFANTS- ... 27680.html
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Message par AAF 2020 »

Université et recherche scientifique : 24.000 étudiants algériens en France
Actuellement, 24 000 étudiants algériens poursuivent leurs études dans différents établissements en France. «C'est la troisième communauté d'étudiants étrangers en France», a précisé hier Mme Geneviève Fioraso, ministre française de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, en marge de la signature de cinq conventions de partenariat, au siège du Cerist à Alger.

En visite avec une délégation importante à Alger, la ministre a précisé que la France accueille 5000 étudiants en plus chaque année. «Ils sont aujourd'hui, 24 000 qui sont inscrits dans différentes universités de France», dira-t-elle.

Elle précise encore que les étudiants algériens sont inscrits essentiellement dans les sciences dites dures, tel que les mathématiques, la physique et l'informatique et dans les filières médicales. Ce qui est souhaitable, selon la ministre «est de continuer à accueillir des étudiants algériens, mais aussi de développer des formations sur place, c'est le sens même de cette coopération et de l'accompagnement du travail bilatéral qui se fait entre les deux pays».

La ministre a également précisé qu'il y a eu des facilitations en matière de procédure pour l'obtention des visas pour les étudiants. «Il y a eu beaucoup de progression, notamment depuis juillet dernier. Nous octroyons des visas pluriannuels pour les étudiants de master et les doctorants, une façon de leur éviter chaque année le parcours du combattant», a-t-elle encore déclaré en ajoutant que des directives ont été également données aux consulats français en Algérie pour garantir toutes les facilitations possibles pour les étudiants demandeurs de visas. Et de préciser que même en France « on est en train de mettre en place, à travers les grands pôles universitaires, des lieux destinés aux étudiants étrangers, y compris pour les étudiants algériens pour qu'ils trouvent toutes les informations possibles sur les offres de logement, de santé, de transport en commun ….».

Le nouveau aussi, selon la ministre française, est que le doctorant une fois son doctorat obtenu, a le droit de séjourner en France pendant un an, alors qu'auparavant cette période était limitée à six mois, pour lui permettre de trouver un emploi après ses études.

La question qui se pose d'elle-même : «Est-ce que ces étudiants seront de retour un jour dans leur pays d'origine ?»

UN ACCORD ALGERO-FRANÇAIS POUR L'INDEPENDANCE NUMERIQUE

Pour développer un partenariat stratégique «gagnant-gagnant», les deux parties (française et algérienne) ont signé hier cinq conventions jugées importantes. La ministre française s'est beaucoup focalisée sur l'accord-cadre bilatéral relatif au domaine de l'innovation numérique. Un accord scientifique entre l'Institut national de Recherche en Informatique et Automatisme ( l'INERA), la société française «BULL» et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique permettra de développer un centre de calcul intensif. «Un projet qui permet à nos pays, la France et l'Algérie, de ne plus être dépendants des seuls modes de calculs développés aux Etats-Unis», selon Mme Fioraso.

Elle explique que «cette dépendance a des conséquences sur les ordinateurs, sur les produits technologiques que nous développons ; tout ce qui nécessite des calculs complexes, concernant tous les domaines, l'énergie, l'informatique, l'information, la communication, la santé …».

Mme Geneviève Fioraso a indiqué que «toutes nos entreprises, en particulier les PME-PMI, les entreprises de tailles intermédiaires, celles qui créent de l'emploi, celles qu'on veut développer en Algérie ou en France, ne sont pas complètement converties au numérique. Il est donc essentiel que nous développions tous ces modes de calcul de haute performance et surtout de conserver leur autonomie».

La ministre conclut en affirmant que le développement de ce genre de partenariat a un intérêt économique, et scientifique. «C'est un accord de souveraineté pour notre autonomie».

Les autres accords portent sur une convention-cadre pour la mise en place d'un réseau mixte liant les écoles algériennes aux grandes écoles françaises, une convention de coopération entre la Direction générale de la recherche scientifique et technologique et l'Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur. Un autre protocole d'accord a été signé entre la Direction générale de la recherche scientifique et la Minatec, ainsi qu'une convention de donation entre le DGRST et Univers-sciences pour développer de bonnes méthodes d'évaluation. A cela s'ajoute une convention de coopération entre L'ANVREDET et BPI-France, un accord qui permet de trouver comment passer de l'innovation et la recherche à la pratique industrielle.

Le ministre algérien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohammed Mebarki, a exprimé son satisfecit pour les résultats de la coopération universitaire algéro-française. «Nous avons des centaines de thèses de magister et de doctorats qui ont été soutenues, des centaines de publications scientifiques cosignées avec des Français». Il précisera que «durant la période 2008-2013, le rythme de croissance de cette production a progressé d'une manière significative, allant de 573 publications en 2008 à 739 publications en 2013». A noter que la France est le pays le plus collaborateur avec l'Algérie, en termes de Co-publications, au monde avec un très grand écart par rapport au deuxième pays collaborateur qu'est les USA.

«Aujourd'hui, précise le ministre, on veut passer à une autre étape qualitativement meilleure ; on ne veut plus se limiter à la Co-publication, mais il faut qu'on passe à l'industrialisation des prototypes des résultats de la recherche». Autrement dit, la traduction de ces résultats de recherche en innovation et en industrialisation.

LANCEMENT DE QUATRE INSTITUTS TECHNOLOGIQUES DES LE MOIS DE SEPTEMBRE

Le ministre a annoncé le lancement de quatre instituts technologiques dès septembre prochain, fruit de coopération algéro-française. Le ministre explique que ce projet de réforme du système universitaire sera accompagné par des Français qui nous ont déjà soutenus, comme ce fut le cas pour le système LMD. «Des instituts à l'image des instituts d'enseignement technique ( IET) français, un système qui forme pendant trois ans des cadres intermédiaires en différentes maîtrises technologiques». Il poursuit : «Tout est fin prêt pour démarrer dès le mois de septembre». Selon le ministre, les instituts seront installés à Tiaret, Bouira, Jijel, le dernier sera à Ouargla.
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5193113

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Message par Rebell »

pourtant a l'université de lille1 je croise pas beaucoup d’algérien il ya que des marocain

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Message par AAF 2020 »

Académie algérienne des sciences : Un grand projet pour le progrès technologique
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L’Académie algérienne des sciences et des technologies, qui doit ouvrir ses portes en mars prochain, est un « grand projet prometteur » pour le progrès des sciences et des technologies dans le pays, a affirmé, hier, le président de l’Académie des sciences de Paris, Philippe Taquet. « C’est un grand et beau projet qui avance très bien (...). Je suis très optimiste quant à l’avenir de cette académie », a-t-il dit au terme d’une rencontre, au siège de l’Académie française à Paris, avec le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed-Seghir Babès, qui effectue en France une visite exploratoire auprès de la communauté nationale établie à l’étranger. M. Taquet, également président de l’Institut des sciences de Paris, qui abrite l’Académie française, s’est « réjoui » de voir l’Algérie rejoindre le concert des nations et édifier des académies des sciences et des technologies, signalant qu’« il y a beaucoup de travail à faire, tous ensemble, pour le progrès de la science et des technologies ». Invité à expliquer le rôle d’une académie des sciences pour la société, il a indiqué que l’Académie française, qui a été créée à l’époque de Louis XIV et de Colbert (XVIIe siècle), a eu toujours pour vocation de contribuer au progrès des sciences et de la technologie, de susciter des vocations de jeunes talents scientifiques, de récompenser les meilleurs scientifiques et de préparer pour l’Etat des rapports leur permettant d’éclairer les choix difficiles à faire, dans le futur des nations, dans les domaines de la science et des technologies. « C’est un vaste programme. Et, au fond, toutes les académies dans le monde collaborent ensemble même à l’échelle mondiale pour susciter l’intérêt des gouvernements en faveur de la science et de la technologie », a ajouté M. Taquet dont l’Académie qu’il préside doit assister le Cnes dans la mise sur pied de l’Académie algérienne.
http://www.horizons-dz.com/?Un-grand-pr ... le-progres
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Message par KI? »

Re: L'Université Algérienne
Message par Rebell » 21 Jan 2014, 20:32

pourtant a l'université de lille1 je croise pas beaucoup d’algérien il ya que des marocain
Salut Rebell j'ai lue ton poste et pense pouvoir te répondre ,en effet dans les universités Française on croise beaucoup plus de Marocains ou Tunisiens cela est sans doute due au fait que des étudiants venant de ces pays viennent pour des 1er,2nd et troisième cycle alors que l'Algérie n'envoie ses étudiant à l étranger qu'en troisième cycle ou sur des spécialités non dispensé localement (les 1er et 2nd cycles sont entièrement pris en charge en Algérie ce qui n'est pas le cas pour le Maroc et la Tunisie cela était vrai déjà durant mes études dans les années 80 )

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Message par samir_reghaia »

Enseignement supérieur : le constat alarmant du CNES
Article | 4. février 2014 - 13:05

Le bureau national du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES) a sonné, dans un communiqué, une nouvelle charge contre le ministère de tutelle, décrivant une université algérienne au bord de l’explosion. Le syndicat, qui s’apprête à tenir son conseil national les 14 et 15 février exige, «afin de prendre toutes les mesures nécessaires», des autorités d’«engager en urgence une réelle prise en charge des problèmes socioprofessionnels des enseignants, notamment ceux concernant la carrière, le logement et la révision des salaires et de mettre en place un vrai plan de redressement de l’université algérienne». Dans son communiqué, rendu public à l’issue de la session ordinaire de son bureau, tenue les 30 et 31 janvier, le CNES dresse un véritable réquisitoire contre la gestion actuelle de l’université algérienne qu’il qualifie, à l’occasion, de «politicienne». «Notre université est aujourd’hui l’otage d’une gestion politicienne au lieu d’une gestion rationnelle, fondée sur des valeurs académiques et scientifiques et qui ne prendra en compte que l’amélioration de ses performances.» Pour le CNES, «l’analyse profonde de l’ensemble des dysfonctionnements dont souffre notre université révèle la nécessité urgente de se débarrasser de toutes les pesanteurs qui convergent à river tous les efforts déployés pour la construction d’une institution universitaire au service de pays, et concourent à l’accumulation d’une masse incommensurable de problèmes». Chargeant la tutelle qui «n’a jamais été capable de proposer un projet cohérent pour arracher notre université à sa réalité dure et amère», le CNES estime que «les pouvoirs publics ont toujours choisi la fuite en avant en sursoyant indéfiniment à la recherche de vraies solutions». Le syndicat énumère ce qu’il considère comme «d’énormes contradictions et autres aberrations» engendrées, d’après lui, par «les solutions de rafistolage» menées. Il s’agit de la coexistence de deux systèmes d’enseignement (classique et LMD) et de trois types de doctorat, ainsi qu’un système de recherche polycéphale. Concernant le volet revendicatif, le bureau national estime que la tutelle «doit rapidement et sérieusement se pencher sur la situation socioprofessionnelle alarmante des enseignants chercheurs». Il estime que «malgré les discours triomphalistes de la tutelle, qui ont suivi l’augmentation des salaires en 2010, les enseignants chercheurs constatent amèrement l’effritement de leur pouvoir d’achat, face au taux d’inflation galopant et incontrôlable». Les maîtres-assistants de classe A et B, qui représentent 85% du corps des enseignants chercheurs et assurent plus de 95% des charges pédagogiques et de formation, touchent, d’après le CNES, des salaires dérisoires, comparativement à d’autres corporations moins diplômées, «notamment après la révision de certains statuts particuliers et les augmentations des salaires conséquentes, calculées sur la base de l’ancienneté et non des diplômes». Le CNES pose, de nouveau, la question du logement des enseignants du supérieur, mais aussi de la dévalorisation du «métier» à travers «des modalités incohérentes de recrutement des enseignants, la non-promulgation des textes d’application du statut particulier de l’enseignant chercheur, le peu d’intérêt accordé aux conditions réelles du déroulement de l’acte pédagogique, le laxisme généralisé et la passivité dangereuse de la tutelle dans la prise en charge des conflits liés aux questions pédagogiques». Selon le CNES, cette tendance se vérifie aussi dans «le recours abusif de l’administration aux commissions paritaires, transformées pour la circonstance en véritables tribunaux». Le syndicat lance, enfin, un appel pressant à la tutelle «pour dégager rapidement des voies de réflexion afin de protéger l’enseignant-chercheur de cette tyrannie ambiante et surtout démobilisatrice».
Amine Sadek
http://www.algeriepatriotique.com/artic ... nt-du-cnes
Les grands changements ne viennent que d'en bas.

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Re: L'Université Algérienne

Message par AAF 2020 »

Nouvelle offre de bourses d'études au Japon pour les universitaires algériens
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ORAN- De nouvelles bourses d'études seront prochainement offertes aux universitaires algériens désirant poursuivre leur post-graduation au Japon, a annoncé mardi à Oran un représentant de l'ambassade de ce pays en Algérie.

"Cette initiative qui entre dans le cadre de la coopération bilatérale s'étend à toutes les universités algériennes, toutes filières confondues", a précisé M. Masato Akahori, chargé des affaires culturelles et de la communication auprès de l'ambassade.

Les candidats retenus pourront poursuivre leurs études dans un établissement universitaire japonais pour une durée de deux années, a expliqué M. Akahori lors d'une séance de présentation du programme de coopération.

Seul le diplôme de licence est requis pour les postulants qui pourront déposer leurs demandes à partir d'avril prochain, a-t-il indiqué lors d'une rencontre à l'auditorium de l'Université des sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf (USTO-MB).

Une centaine d'étudiants ont assisté à la présentation donnée en présence du vice-recteur de l'USTO chargé des relations extérieures et de la coopération, M. Rachid Kessas qui a, de son côté, mis l'accent sur "la qualité exceptionnelle des relations nouées de longue date entre les universités des deux pays".

M. Kessas a rappelé que la conception de l'USTO, inaugurée en 1986, fut signée par le célèbre architecte japonais feu Kenzo Tange, tandis que la construction fut l'oeuvre de l'entreprise Kajima.

Le vice-recteur de l'USTO a fait savoir encore que son établissement abrite également un service de représentation de l'Agence japonaise de coopération internationale (JICA), partenaire de l'Algérie dans le cadre du projet "Sahara Solar Breeder" (SSB) dédié au développement des technologies solaires.

Opération d'envergure portant sur la production électrique à partir du rayonnement solaire au Sahara, le "SSB" fera l'objet d'un workshop international en mai prochain à l'USTO, à l'occasion de la 4ème édition du Forum Asie-Afrique sur l'énergie durable.

Cet axe de coopération a permis aux universités algériennes partenaires d'acquérir des équipements scientifiques de dernière génération tout en consolidant la formation de plusieurs jeunes doctorants dans des centres de recherche japonais, a souligné M. Kessas.

La séance de présentation du programme boursier japonais a été suivie dans l'après-midi d'une projection à la cinémathèque d'Oran du film "Always, coucher de soleil sur la troisième rue", réalisé en 2012 par Takashi Yamazaki.

Ce long-métrage qui a pour contexte la fin des années 1950 marquant l'entrée en forte croissance économique du Japon d'après-guerre, figure parmi les trois oeuvres diffusées en février dernier à Alger dans le cadre du programme culturel de l’ambassade japonaise.

En outre, une nouvelle édition de la Semaine culturelle japonaise est prévue en juin prochain à Alger et dans d'autres villes du pays avec, au menu, des spectacles mettant en relief la variété des arts traditionnels propres au pays du Soleil levant.
http://www.aps.dz/fr/algerie/3473-nouve ... C3%A9riens

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Re: L'Université Algérienne

Message par AAF 2020 »

70.554 diplômes délivrés par l'USTHB en 40 ans (recteur)
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ALGER - Plus de soixante dix mille diplômes, toutes graduations confondues, ont été délivrés par l'Université des Sciences et de la Technologie Houari-Boumediene (USTHB) pendant quarante années, a indiqué dimanche à Alger son recteur, Benali Benzaghou, à l'occasion de la célébration du 40ème anniversaire de l'ouverture de l'université.

"Le nombre de diplômes délivrés par l'USTHB en quarante années est de 70.554 diplômes", a indiqué M. Benzaghou lors d'une conférence de presse consacrée au programme des festivités marquant le 40ème anniversaire de l'université qui est placé sous le thème: "40 ans de contribution au développement du pays".

Il a ajouté que 4.601 thèses de magister et 1.222 autres de doctorat ont été soutenues depuis l'ouverture de l'université.

Estimant que "l'université algérienne est devenue un élément majeur dans la vie de la société algérienne", M. Benzaghou a, par ailleurs, annoncé qu'une cérémonie au profit de 38 nouveaux enseignants nommés professeurs d'université aura lieu lundi.

Une rencontre qui regroupera près de 200 anciens étudiants sera organisée mardi, suivie d'un concert de l'orchestre symphonique national et de l'inauguration d'une exposition sur les quarante années de l'USTHB, a-t-il indiqué, ajoutant qu'un salon du livre universitaire sera ouvert mercredi.

Le recteur a, aussi, annoncé la tenue d'un forum USTHB-Entreprises les 4 et 5 mai afin de mettre en contact enseignants, étudiants et représentants

des entreprises, dans la perspective d'approfondir leur collaboration et de concrétiser divers accords, au delà de l'objectif de la recherche d'emplois.

Evoquant les priorités du prochain plan quinquennal, M. Benzaghou a cité le "rattrapage du retard dans le numérique par un plan de développement informatique, l'offre de plus d'espaces et de moyens aux formations doctorales et à la recherche et le renforcement de la relation de l'université avec son environnement économique".

"Il y a eu certainement des améliorations tout au long des quarante années passées, mais il y a encore des difficultés à surmonter. C'est l'effort de tous, enseignants, étudiants et gestionnaires qui nous permettra d'aller de l'avant", a relevé M. Benzaghou qui affirme des "échos positifs", reçus de part et d'autres, sur la qualité de l'enseignement dispensé.

Par ailleurs, il a fait savoir que l'USTHB est classée 1.100ème sur 22.000 universités dans le monde par le classement mondial "webometrics", pour le nombre d'articles scientifiques publiés sur le site "www.usthb.dz", et 8.000ème en terme de visibilité sur Internet, d'où l'importance de déployer davantage d'efforts pour être plus visibles sur la Toile, a-t-il recommandé.

Conçue par l'architecte brésilien, Oscar Niemeyer, l'Université des Sciences et de la Technologie d'Alger (USTA) a été créée officiellement par l'ordonnance n° 74-50 du 25 avril 1974. Elle prendra la dénomination Université des Sciences et de la Technologie Houari-Boumediene (USTHB) en 1980.

Située dans la commune de Bab-Ezzouar à 15 km du centre d'Alger, l'USTHB est construite sur un site de 150 hectares.
http://www.aps.dz/fr/algerie/4833-70-55 ... ns-recteur

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Re: L'Université Algérienne

Message par AAF 2020 »

Les satellites à la rescousse de l'urbanisme

L'information géographique, les images satellitaires et leurs applications dans les questions d'urbanisme, notamment la gestion des villes, a constitué le thème d'une journée d'études qui a été organisée, jeudi, par l'université Constantine 3 de Constantine. Invité à justifier et expliquer cette initiative, le directeur de l'Institut des techniques de gestion urbaines (ITGU) de l'université, M. Amirèche Hamza, commencera par dire qu'il y a «un intéressement important pour ce domaine par les techniques spatiales et leurs applications dans la gestion urbaine du territoire, et plus spécialement de la ville, apparaissent maintenant comme une question vitale en ce sens que ces techniques constituent un outil puissant pour l'analyse des informations et leur application dans la gestion des espaces urbains, en ce sens qu'elles aident à prendre la décision et à gérer nos territoires et nos villes, parce que ces nouvelles techniques constituent un outil puissant pour l'analyse et l'application des informations qu'il offre pour la maîtrise et la gestion des espaces urbains». Et tout en signalant que l'âge de son université ne dépasse pas une année, «nous allons néanmoins ouvrir un laboratoire d'analyses des documents et des informations recueillies grâce à ce système. Dans ce cadre, nous avons commencé déjà à former les formateurs en constituant une cellule en Algérie et une autre en France. Poursuivant son argumentation, M. Amirèche expliquera que les techniques et les méthodes dégagées par les systèmes d'informations géographiques, appuyées par les images satellitaires, vont être introduites dans les cursus scolaires des étudiants, au niveau de toutes les étapes de leurs études universitaires, de la licence jusqu'au master et au doctorat, «parce qu'il importe pour nous de tenter de rattraper le temps perdu et se mettre au diapason des pays étrangers qui nous ont devancés dans ce domaine, essentiellement les pays européens et américains». La journée d'étude a vu la participation de chercheurs spécialisés du Centre national des techniques spatiales d'Arzew (CNTS), de l'Agence spatiale algérienne, du bureau d'études Géosciences de Skikda, de l'Institut national de cartographie et de télédétection de Constantine, en plus des enseignants et chercheurs et des étudiants de master et de doctorat. Et bien entendu, la direction de l'urbanisme et de la construction (DUC) de Constantine a été également invitée et un de ses représentants a fait une communication sur le thème de la journée. Il faut citer aussi la participation à cette journée d'études de l'Office national des statistiques (ONS), de l'URBACO, des APC de Constantine et d'El-Khroub et enfin de représentants du CRAAG.
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5197377
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