L'Université Algérienne

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numidia
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L'Université Algérienne

Message par numidia »

les derniers articles postés par les membres du forum / mars 2012

AAF 2020 a écrit :Formation maritime : Projet de coopération entre l’ENSM de Bou Ismail et l’université de Kobe
Un projet de coopération pour la formation de master en sciences maritimes a été lancé dimanche entre l’Ecole nationale supérieure maritime (ENSM) de Bou Ismail (Tipasa) et l’université de Kobe au Japon, au cours d’une cérémonie organisée au sein de l’école. La cérémonie a été présidée par le secrétaire général du ministère des Transports, M. Mehareb M’hamed, en présence de l’ambassadeur du Japon à Alger, M. Kawada Tsukasa, et celui de la République démocratique du Congo, ainsi que de représentants des ambassades du Niger et du Gabon. Ce projet, destiné à relever le niveau académique de la formation au sein de l’ENSM, s’inscrit dans le cadre de la convention signée en 2011 entre le ministère des Transports et l’Agence internationale de coopération japonaise (JICA) en vue de faire de l’ENSM un pôle de formation au niveau africain et arabe. Ce projet, dont l’objectif est de promouvoir la formation des cadres de l’administration maritime, consistera en des mises à niveau du personnel qui seront prises en charge par des professeurs japonais, dont cinq (5) sont déjà programmés au niveau de l’ENSM et par des séjours à l’université de Kobe. D'une durée de trois années (2012-2015), ce projet fera l’objet d’une évaluation par la tripartite déjà mise en place (JICA, ministère des Transports et ENSM) et aboutira, si l’expérience est concluante, à l’ouverture d’une école doctorale en sciences maritimes à Bou Ismail.
http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/24499

AAF 2020 a écrit :Ils ont tenu hier un sit-in devant le siège de L’UGTA
Les détenteurs du DEUA réclament la réhabilitation de leur diplôme
Les détenteurs du DEUA (bac + 3), qui ne trouvent aucune difficulté à se faire une place dans une université étrangère, sont classés par la Fonction publique au même titre que les techniciens supérieurs et autres fonctionnaires qui n’ont pas décroché le bac.

Après une année de combat, de contacts et d’organisation dans “la clandestinité”, les détenteurs du diplôme d’études universitaires appliquées, DEUA (bac +3), investissent le terrain de la protestation. Fini les dénonciations via la Toile, place désormais à l’action sur le terrain jusqu’à ce que le diplôme soit réhabilité. C’est la détermination affichée, hier, par les centaines de jeunes fonctionnaires ayant un DEUA lors d’un rassemblement national tenu au siège de la Centrale syndicale. Le choix de ce lieu n’est pas fortuit.
“Nous avons opté pour ce lieu car nous voulons rencontrer le SG de l’UGTA et non les autres secrétaires afin de finaliser les procédures de la création de notre syndicat pour pouvoir lancer notre combat sur le terrain”, explique l’un des membres du comité national de la défense des DEUA dont la naissance officielle tarde à voir le jour en raison d’“un blocage que nous n’arrivons pas à comprendre”. N’ayant d’autres choix que de se tourner vers le parrainage de l’UGTA pour la création de leur syndicat, les DEUA se sont structurés à travers les wilayas et ont tenu l’assemblée générale au mois de janvier. “Et depuis, on attend la remise du PV d'installation du comité. Des responsables de l’UGTA nous disent que le document est prêt et d’autres nous demandent de patienter encore”, soutient l’un des membres. Et d’ajouter : “Nous ne pouvons plus patienter, alors nous sommes là aujourd’hui pour solliciter l’intervention de Sidi-Saïd.” Une délégation du comité a été reçue, hier, par deux responsables de l’UGTA chargés de leur dossier. Une commission ad hoc a été installée pour prendre en charge sérieusement le dossier. En attendant la fin de la réunion, les manifestants se concertaient sur les meilleures formules de protestation. “Il faut profiter de cette période de campagne électorale pour faire pression”, propose l’un d’eux. Et d’expliquer que les
100 000 détenteurs du DEUA à travers le territoire national “font face à une situation professionnelle des plus catastrophiques. C’est un véritable drame que nous ne pouvons plus tolérer”, est le constat fait par le comité. Les nombreux manifestants venus très tôt des quatre coins du pays n’ont pas caché leur grande déception et colère face à “une injustice” qu’ils n’arrivent pas à comprendre. Exhibant des correspondances officielles, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur les raisons qui font que “notre diplôme soit dévalorisé, alors que des universités françaises et canadiennes le reconnaissent”. Pis, les DEUA sont classés par la Fonction publique au même titre que les TS autres fonctionnaires qui n’ont même pas le niveau de terminale (10 B). Ceci, alors que d’autres fonctionnaires ayant un bac + 3, à l’image des paramédicaux, sont classés à la catégorie 11. Les manifestants expliquent, toujours documents à l’appui, que le diplôme de TS délivré par des instituts privés est reconnu pour les non bacheliers, mais pas pour les DEUA. “C’est un simple diplôme en plus qui ne leur sert à rien.” À signaler, enfin, que l’éternel problème d’équivalence des diplômes et des passerelles se pose également pour les diplômés des études supérieures, DES, qui, eux aussi, s’organisent pour lancer leur combat.
http://www.liberte-algerie.com/actualit ... gta-173156
boussouf abdelkader a écrit :

Congrès des mathématiciens : 350 participants à Annaba

ANNABA - Près de 350 participants issus de toutes les wilayas du pays sont attendus à Annaba où ils prendront part, mercredi et jeudi prochains, aux travaux du Congrès des mathématiciens algériens, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Première du genre, cette manifestation scientifique, organisée par la Société des mathématiciens algériens (SMA) et l’université Badji-Mokhtar de Annaba, a pour but de "rassembler enseignants-chercheurs, doctorants et étudiants pour échanger et partager leurs expériences, présenter les résultats de leurs recherches dans le domaine et s’imprégner des nouvelles idées émises en la matière", a précisé la même source.
Ce congrès constitue également une occasion pour réunir la communauté des mathématiciens qui s’attache à rendre les mathématiques plus "plus visibles et plus intéressantes", a-t-on soutenu.
Des communications traitant de divers thèmes liés aux mathématiques, figurent au programme de ce rendez-vous scientifique qui sera mis à profit pour faire le point sur les avancées mathématiques récentes concernant la recherche et l’enseignement de cette discipline.
http://www.aps.dz/Congres-des-mathematiciens.html
sifax a écrit :
Université d’Alger II
La crise au département d’anglais s’aggrave


Depuis les délibérations contestées, le département d’anglais de l’université d’Alger II vit une situation particulière. Le nombre d’étudiants non admis est trop élevé au point d’engendrer un véritable conflit entre enseignants et administration. Le bras de fer entre les deux parties se durcit. Les étudiants, l’administration et les enseignants demandent une enquête ministérielle.
Lire la suite ici: http://www.elwatan.com/actualite/la-cri ... 57_109.php
AAF 2020 a écrit :MEDEA: Une convention pour la recherche scientifique
L'université Dr Yahia Farès de Médéa, à travers sa faculté des Sciences et de la Technologie, continue de s'ouvrir sur le monde extérieur, pour une meilleure prise en charge du cursus universitaire de ses étudiantes et étudiants, en signant une autre convention de coopération avec, cette fois-ci, le Centre national de recherche en soudage et contrôle (C.S.C.), sis à Chéraga (Alger) et relevant du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS).

Une signature de convention dont la cérémonie officielle a eu lieu dans la salle de conférences de ladite faculté, sise au pôle universitaire, situé à Haouche Bazid à Médéa. Une cérémonie à laquelle étaient présents notamment le Dr Mostefa Yahi, directeur général du C.S.C., le Dr Saâdane Chebaïki, recteur de l'U.D.Y.F. de Médéa, le Dr Saâdane Adik, doyen de la faculté hôte et initiateur de cette rencontre, les directeurs des laboratoires de recherches (quatre opérationnels et deux nouvellement agréés) de l'U.D.Y.F. de Médéa, les enseignants ainsi que des étudiantes et étudiants de ladite faculté. Une assistance nombreuse évaluée à près de 200 personnes, à laquelle le Dr Mostefa Yahi, a d'abord présenté, lors d'une intéressante conférence – débat, le Centre national de recherche en soudage et contrôle, à travers un film documentaire qui a retenu l'attention des présents pour les multiples services que cet organisme peut offrir aux étudiantes et étudiants tout autant qu'au corps enseignant. Une conférence-débat portant sur le thème: «expérience, défi et fécondité» et qui s'est étalée longuement sur «la valorisation de la recherche scientifique», «la manière de gérer efficacement des laboratoires de recherches», «l'indispensable contact avec les opérateurs et industriels privés et étatiques», «l'indispensabilité de l'accréditation des laboratoires scientifiques, universitaires et autres», «les différentes conventions de coopération qui ont été signées entre le C.S.C. et une dizaine d'universités et de centres universitaires du pays», et, enfin, «la présentation d'une plate-forme technologique pour la promotion d'un pôle scientifique au sein de nos établissements universitaires».
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5165656
sifax a écrit :Il ne s'agit pas vraiment d'université, mais ça toute ça place dans l'enseignement supérieur en Algérie:
Création à Adrar d’une école spécialisée dans la construction en terre

La ministre de la Culture, Khalida Toumi, a annoncé la création à Adrar d’une école de formation de techniciens et d’architectes spécialisés dans la construction en terre.

En réponse à une question orale d’un membre du Conseil de la Nation sur la réhabilitation des vieux Ksour du sud, la ministre a estimé que cette école qui sera réalisée à Adrar sera "un pôle d’excellence" pour cette wilaya qui compte la plupart des vieux Ksour construits avec ce matériau naturel dans le sud du pays.

Mme Toumi a indiqué qu’il y a cinq architectes seulement spécialisés dans la construction en terre à travers le territoire national, soulignant que ce mode de construction nécessite "le respect" des matériaux et des techniques entrant dans cette opération pour préserver sa spécificité.
Lire suite ici: http://maghrebemergent.info/actualite/f ... terre.html
sifax a écrit :
Chlef: Le département de biologie voit grand (par Abbad Miloud)
L'université Hassiba Benbouali de Chlef abrite, durant la période s'étalant du 18 au 21 de ce mois, le deuxième workshop de formation en biologie moléculaire sur l'initiation théorique et pratique aux techniques de l'ADN recombinant, organisé par le laboratoire de microbiologie moléculaire du département de biologie de cette même université, en étroite collaboration avec le laboratoire des techniques avancées en génomique et clinique (TABG) de l'université de Luminy à Marseille. Au menu des travaux de ce workshop figurent six ateliers pratiques, trois conférences et une vidéoconférence.

Parmi les travaux en ateliers pratiques, nous pouvons citer : «Purification de l'ADN chromosomique à partir d'une culture bactérienne», «Discrimination des clones recombinants par test «blanc bleu», «Purification des plasmides recombinants», «Analyse des plasmides recombinants par cartographie de restriction», etc.

Concernant les objectifs de cette manifestation scientifique, nous avons interrogé M. Belhocine Mohamed chercheur à l'université de Marseille qui nous déclara : «D'une manière générale, en Algérie, il y a peu de connaissances en biologie moléculaire et notamment génomique et cela, par rapport à des problèmes d'infrastructures et de matériel dans les laboratoires de recherche algériens. Le volet a été délaissé par les responsables concernés. C'est dans un souci de relancer ce domaine, afin de rattraper l'énorme retard accusé ces dernières années par rapport aux laboratoires étrangers, que nous avons décidé d'organiser ce workshop pour présenter à la communauté scientifique (enseignants, doctorants et magistérants) les principes de base de ce vaste domaine aussi bien du côté théorique que pratique».

«Nous avons invité un chercheur de renommée mondiale, le docteur Salvatore Spicuglia du laboratoire TAGC de l'université de Marseille, qui animera deux conférences plénières ayant pour thèmes : «Epigénétique et régulation de l'expression génique : concepts récents et approches d'étude à l'échelle du génome», et «Cancer et épigénome» et son étudiant en thèse, spécialiste en bioinformatique. La bioinformatique est un nouveau domaine mais qui peut être exploré en Algérie car ne nécessitant pas des infrastructures importantes et peut apporter des avancées spectaculaires aussi bien dans le domaine fondamental que clinique».

Nous avons interrogé le docteur Salvatore sur les objectifs de sa première conférence citée, il nous déclara : «Je pense que l'objectif principal est d'apporter les bases de la biologie moléculaire moderne qui se base sur ce qu'on appelle maintenant l'ère post-génomique. Jusqu'au début des années 2000, la biologie moléculaire s'est focalisée sur la caractérisation du génome humain. Aujourd'hui, avec les technologies modernes d'analyses génomiques, nous essayons de comprendre comment le génome est organisé de façon fonctionnelle. C'est ce que nous essayons de faire dans notre laboratoire TAGC à Marseille».
(...)
Lire l'article ici: http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5165908
AAF 2020 a écrit :La réalisation de la ville universitaire va bon train
Le taux de réalisation de la ville universitaire de Ali Mendjeli a atteint les 70%, les travaux concernant l'école polytechnique qui ont connu un léger retard se situent 50%, alors que ceux de l'Ecole normale supérieure sont à 60%.

Selon le Directeur du logement et des équipements publics (DLEP) de la wilaya de Constantine, M.Bentayeb Leulmi qui intervenait sur les ondes à la radio régionale, la poursuite de la réalisation de la ville universitaire en question a nécessité une réévaluation au mois de janvier dernier de plus de 1.000 milliards de centimes. Une réévaluation qui servira à relier ce complexe d'enseignement supérieur à l'autoroute Est-Ouest, mais aussi à la construction de réservoirs d'eau ainsi que l'aménagement intérieur de cette ville universitaire.

Et d'ajouter que «tout est fait pour que sa réception soit effective à la rentrée universitaire prochaine, et, dans cette perspective, nous sommes sur le point de lancer les travaux de raccordement aux différents réseaux de voirie, d'AEP, d'assainissement, etc., de sorte que cela puisse être un exemple pour les autres villes universitaires du pays». Car ce projet, dira-t-il, est considéré comme unique en son genre à l'échelle nationale, du fait qu'il participera à la formation de l'élite algérienne.

En effet, cette ville comprend 10 grandes écoles d'un niveau de formation des élites, une faculté spécialisée en médecine et pharmacie et 19 résidences universitaires pour une capacité de 44.000 étudiants, dont près de 38.000 résideront sur place.
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5166325
AAF 2020 a écrit :Université de Sétif : Progrès remarquable du nombre de publications
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Le nombre de publications de l’université de Sétif enregistrées selon la base mondiale « Scopus » pour l’année 2011 est de 174 articles scientifiques. Lors d’un point de presse tenu ce dimanche au pôle « El-Bez » le Pr Baki, recteur de l’université a souligné que le nombre de publications est en nette progression par rapport aux années précédentes .

Avec ce chiffre et avec moins d’encadrement , l’université Ferhat Abbas de Sétif se positionne à la 4e place à l’échelle nationale après les universités Mentouri de Constantine (270 articles), Sciences et Technologies d’Oran (244 articles) et Houari Boumedienne de Bab Ezzouar d’Alger (188 articles). En une année seulement, l’université de Sétif est remontée dans le classement mondial de la 6326 à la 4771ème place, selon la base Webometrics.

L’université de Sétif compte actuellement 49 744 étudiants dont plus de 4 700 inscrits en post-graduation. Elle emploie 1843 enseignants et 1512 fonctionnaires. Plus 280 projets de recherche CNEPRU (Commission Nationale d’Evaluation des Projets de Recherche Universitaire) et PNR (Projet National de Recherche) sont en cours de réalisation et de suivi au sein des 43 laboratoires agréés que compte l’université. Elle est également dotée d’un fonds documentaire de 406 335 ouvrages repartis entre la bibliothèque centrale et celles des facultés , soit une moyenne de 10 ouvrages par étudiant.
http://www.setif.info/article6368.html
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Sifax
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Re: L'Université Algérienne

Message par Sifax »

Université Mohamed Boudiaf USTO, rien n’a changé depuis le 16 février passé,Deux sanitaires pour des milliers d’étudiants (2 avril 2012)

Dans un précédent article publié dans notre édition n° 3541 du 16 février passé, nous avions évoqué le problème des sanitaires à l’Université des Sciences et de la Technologie Mohamed Boudiaf (USTO) auquel des milliers d’étudiants restent toujours confrontés.
En effet, ces derniers sont privés de toilettes, une véritable déchéance et souffrance que ces étudiants sont en train de vivre, situation que nous avons déplorée à maintes reprises.
Désirant voir si la situation s’est améliorée, suite à l’article « Non Comment » qui avait choqué toute la ville et la communauté estudiantine, en particulier, nous avons entrepris, hier, une visite sur les lieux qui nous a permis de constater que rien ne semble avoir été fait pour améliorer la situation, puisque les sanitaires demeurent toujours fermés.

Des étudiants rencontrés sur les lieux nous ont déclaré : «Au lieu de rénover le réseau d’assainissement qui se trouve apparemment dans un état vieillissant, et de réhabiliter les toilettes pendant les dernières vacances, deux sanitaires seulement ont été retouchés c’est un véritable mépris». (...)
La suite ici: http://www.algerie360.com/algerie/unive ... etudiants/

Sifax
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Re: L'Université Algérienne

Message par Sifax »

11 nouvelles spécialités dans la filiale "droit" de l'université d'Alger
[align=]استحداث 11 ‬تخصصا جديدا بداية‮ ‬من الموسم المقبل في‮ ‬شعبة الحقوق

قرّرت وزارة التعليم العالي‮ ‬بالتنسيق مع القيادة العامة للدرك الوطني،‮ ‬استحداث تخصص علم الإجرام الذي‮ ‬يضمن مناصب شغل دائمة للطلبة المتخرجين من المعهد،‮ ‬والذين‮ ‬يتلقون تكوينهم النظري‮ ‬في‮ ‬الجامعة والتكوين التطبيقي‮ ‬في‮ ‬المعهد الوطني‮ ‬لعلم الإجرام في‮ ‬بوشاوي‮. ‬أعلنت وزارة التعليم العالي‮ ‬والبحث العلمي،‮ ‬الشروع في‮ ‬إدراج عروض التكوين في‮ ‬الدكتوراه في‮ ‬ميدان الحقوق والعلوم السياسية بداية من الدخول الجامعي‮ ‬المقبل 2012 -2013‬،‮ ‬ويتعلق الأمر بتخصصات قانون الأعمال والقانون الدولي،‮ ‬وكذا تخصص قانون الإدارة المالية‮. وأدرجت وزارة التعليم العالي‮ ‬لهذا الموسم،‮ 5 ‬تخصصات في‮ ‬الليسانس في‮ ‬ميدان الحقوق والعلوم السياسية،‮ ‬حيث أدرج لأول مرة في‮ ‬شعبة الحقوق تخصص القانون الجنائي،‮ ‬وتخصص القانون القضائي،‮ ‬والملكية الفكرية والقانون الدولي،‮ ‬إضافة إلى إدراج لأول مرة تخصص قانون العلاقات الدولية،‮ ‬حيث خصصت الوزارة نحو 51 ‬منصبا لهذا التخصص،‮ ‬وتضاف هذه التخصصات التي‮ ‬أعلنت عنها الوزارة إلى تلك التخصصات القديمة،‮ ‬ويتعلق الأمر بالقانون العام والقانون الخاص‮. ‬كما قامت وزارة التعليم العالي‮ ‬بإدراج تخصصات جديدة في‮ ‬شعبة الحقوق ماستر،‮ 3 ‬تخصصات جديدة على‮ ‬غرار القانون الجنائي‮ ‬وقانون الأسرة وعلم الإجرام‮. ‬وفي‮ ‬هذا الإطار قامت جامعة الجزائر 1‬،‮ ‬بإبرام اتفاقية مع قيادة الدرك الوطني‮ ‬من أجل الشروع في‮ ‬تكوين علم الإجرام،‮ ‬تتوّج بشهادة ماستر من جامعة الجزائر،‮ ‬كما سيتم تكوين طلبة في‮ ‬علم الإجرام‮. ‬ورفعت وزارة التعليم العالي‮ ‬والبحث العلمي،‮ ‬لهذا الموسم عدد المقاعد البيداغوجية المخصصة لمسابقات الماجستير،‮ ‬إلى جانب فتح تخصصات جديدة تتناسب وسوق العمل في‮ ‬الجزائر،‮ ‬وكان النصيب الأكبر لمسابقات الماجستير لطلبة الحقوق،‮ ‬حيث تم فتح أكثر من 10 ‬تخصصات بمعدل نحو 30 ‬مقعدا في‮ ‬كل تخصص‮.[/align]‬
http://www.ennaharonline.com/ar/latestn ... D9%82.html

Sifax
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Re: L'Université Algérienne

Message par Sifax »

Excellente initiative pour l'enrichissement du catalogue de la formation en Algérie:
Samia Chergui, Directrice de l’Ecole nationale de conservation des biens culturels:
Nous allons lancer un master d’architecte restaurateur en 2013
(le 20.04.12)

Docteur en histoire de l’art de l’université Paris-Sorbonne, Samia Chergui est maître de conférences en histoire de l’architecture et directrice de l’Ecole de conservation et de restauration des biens culturels d’Alger.Cette nouvelle école sera installée à Dar Es Souf, à Alger-Centre.

-Où en est le projet de l’école dont vous avez la charge ?

Le projet est déjà lancé. L’Ecole nationale de conservation et de restauration de biens culturels a un statut d’école hors université, régie par le décret 05/500 relatif à ce genre d’établissement. Elle permettra de remplir le vide dans le domaine de la formation patrimoniale à travers la prise en charge de biens mobiliers et immobiliers. Nous avons constaté qu’au niveau national, la formation en rapport avec le patrimoine bâti ou mobilier est faiblement abordée, notamment à l’Ecole polytechnique d’architecture et d’urbanisme (EPAU). Une formation avait été assurée au niveau de cette école vers la fin des années1980, en partenariat avec les Italiens permettant la sortie d’une cinquantaine d’architectes restaurateurs.

Au niveau de l’Institut d’archéologie, une post-graduation a été créée pour former des archéologues aux techniques de la conservation préventive et à la restauration des objets. On forme également des ingénieurs à Boumerdès sur les matériaux archéologiques. Nous voulons mener, jusqu’en 2018, une stratégie de rassemblement des formations éparpillées entre plusieurs universités dans une école qui ne s’occupe que de cela, comme c’est déjà le cas en Italie, en Tunisie et en Espagne. Nous voulons asseoir une véritable politique d’enseignement dans le domaine patrimonial. Elle se fait sous la double tutelle du ministère de la Culture et de celui de l’Enseignement supérieur. Une manière de donner à la formation une dimension scientifique, laquelle est à la fois théorique, pratique et de recherche. Elle se fera à trois paliers. Pour le moment, nous allons lancer les deux premiers paliers, la licence et le master.

-Et comment avez-vous bâti l’architecture d’enseignement ?

Nous l’avons fait sur la base des besoins et des premiers manques en Algérie en matière de restaurateurs, de conservateurs et d’architectes restaurateurs professionnels. Des architectes qui interviennent directement sur le site et dont la formation a tenu compte du volet pratique plus que de la recherche. Nous allons lancer en 2013 un master d’architecte restaurateur. Nous comptons faire la complémentarité avec l’EPAU qui, elle, a mis en place un master patrimoine de recherche. Cela permet à l’étudiant d’aller plus loin. Nous avons préféré commencer par une licence «généraliste» des biens culturels. Cela permet de mettre à niveau les bacheliers qui viennent chez nous de divers horizons, scientifiques ou littéraires. Une fois la base acquise, nous pourrons diriger les étudiants par la suite vers la restauration ou vers le management. Nous envisageons de commencer le master restaurateur en septembre 2015. Nous aurons nos premiers restaurateurs en 2018. Nous comptons lancer une promotion spécialisée en mosaïques. Après cela, on ouvrira d’autres disciplines (bois, métaux, etc.).

-Qu’en est-il de l’encadrement ?

Nous allons faire appel à des enseignants algériens. S’il y a un manque, on ira vers la coopération. Le nombre d’étudiants tient compte de la spécificité même de la formation, laquelle est pointue. Cela implique un encadrement rapproché et personnalisé. Donc, le nombre doit être réduit. Pour la licence biens culturels, nous envisageons de recevoir 30 étudiants par cursus. La sélection se fait d’elle-même. Il y aura de dix à quinze étudiants au master. Ils seront répartis sur les spécialités mosaïque, boiserie, céramique, métaux... En 2015, nous projetons de débuter le master de conservateur ouvert également aux archéologues, aux architectes, aux économistes et historiens intéressés par le patrimoine (...).

Ceux qui veulent s’arrêter au niveau de licence peuvent être admis comme attachés de conservation ou de restauration et seconder le conservateur ou le restaurateur dans un laboratoire, un musée ou sur un site archéologique. Plus tard, nous pensons aller vers la recherche appliquée et la mise en place de laboratoires. Cela sera possible après la construction du nouveau siège de l’école au niveau du pôle universitaire de Sidi Abdallah (Alger) où il y aura plus d’espace, des ateliers, des laboratoires, des salles spécialisées de cours et des aires ouvertes. Nous avons programmé aussi l’envoi d’étudiants vers le patrimoine avec des sorties, à la fin de chaque année universitaire, vers des sites archéologiques pour la découverte ou pour les stages. Il sera utile de profiter des expériences espagnole, italienne, marocaine, tunisienne et française à travers des projets de partenariat. (Fayçal Métaoui)
http://www.elwatan.com/culture/nous-all ... 90_113.php

AAF 2020
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Re: L'Université Algérienne

Message par AAF 2020 »

L’USTHB a formé 60 420 diplômés en 38 ans (recteur)
ALGER- L’université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) a formé 60 420 diplômés depuis son ouverture en 1974, a déclaré dimanche à Alger son recteur, M. Benali Benzaghou.

Sur les 60 420 diplômés formés par l’USTHB durant les 38 dernières années, 28 680 sont des ingénieurs d’état, 3 816 magisters et 1 014 doctorats notamment, a précisé M. Benzaghou au cours d’une conférence à l’occasion de la "semaine de la fête de l’USTHB" célébrant le 38e anniversaire de sa création.

Cette manifestation, organisée annuellement, a été placée cette année sous le thème de la contribution de l’université Houari-Boumediene aux 50 ans de l’indépendance du pays.

"L’USTHB a apporté une contribution notable au développement du pays. Les cadres qu’elle a formés sont dans tous les secteurs économiques, dans toutes les universités et dans tous les centres de recherche du pays", a indiqué à ce titre M. Benzaghou.

La "semaine de la fête de l’USTHB" (22-26 avril) a été inaugurée dimanche par une cérémonie en honneur des nouveaux enseignants promus au rang magistral.

Le programme de célébration du 38e anniversaire de la création de cette université prévoit une série de conférences thématiques dans ses différents départements et des activités de loisirs (expositions et concours). Par ailleurs, interrogé sur le "mauvais" classement des universités algériennes au niveau international, M. Benzaghou a déclaré qu’il existe plusieurs classements. Ce n’est pas tout à fait juste de dire que les universités algériennes sont partout mal classées".

L’USTHB a, selon lui, mis du temps pour comprendre que "tous les classements se font sur la base des informations disponibles sur Internet". Sur ce constat, a-t-il ajouté, l’USTHB a fait l’effort de développer son site Internet, d’actualiser son contenu et de le doter d’une version anglaise.

Le résultat est là : en juillet 2010, a rappelé M. Benzaghou, l’USTHB avait figuré à la 5219e place dans le classement espagnol ’’webometrics", en janvier 2012, elle a occupé la 2276e place dans le même classement (sur 20.000 universités. "Nous avons gagné 3.000 places uniquement en faisant un effort de visibilité sur Internet", a-t-il expliqué.

Pour une meilleure "visibilité" de cette université sur le web notamment, des efforts supplémentaires demeurent nécessaires ne serait-ce que parce que la dénomination "USTHB" apparaît sous 160 déclinaisons au lieu d’une seule dans les travaux publiés dans les revues internationales par les cadres qu’elle a formés.

"Ces classements ne nous complexent pas. Nous faisons continuellement des efforts d’amélioration comme toutes les universités", a dit M. Benzaghou.

A propos des "efforts d’amélioration", le recteur de l’USTHB a fait état de plusieurs projets de création d’infrastructures pédagogiques et de recherche qui sont en cours d’achèvement des travaux ou en cours d’étude.

De plus, la mise en place de la nouvelle architecture des formations en trois cycles (Licence-master-doctorat, LMD) "exige beaucoup d’effort pour mieux répondre aux attentes de la jeunesse, aux besoins du développement du pays et à l’évolution des sciences et de la technologie".

Créée par ordonnance n°74-50 du 24 avril 1974 et construite sur un site de 105 hectares selon les plans du célèbre architecte brésilien oscar Niemeyer, l’Université des sciences et de la technologie d’Alger (USTA, devenu USTHB en 1980) a ouvert ses portes en septembre de la même année à 2 509 étudiants.

Pour l’année universitaire 2011-2012, le nombre total des étudiants inscrits à l’USTHB s’élève à 31 292, dont plus de 21 000 en licence, encadrés par 1 600 enseignants dont plus de 750 doctorats, note un document de présentation de l’université.

M. Benali Benzaghou, 74 ans, a été le premier recteur de cette université (1974-1979) et le dernier en date (de août 2000 à ce jour).
http://www.aps.dz/L-USTHB-a-forme-60-42 ... es-en.html
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klibre16
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Re: L'Université Algérienne

Message par klibre16 »

Décès d'un étudiant -Ben Sahel Amine- en Licence Génie Électrique à l'USTHB suite à une électrocution à 380 Volt, aujourd'hui vers les coups de 13h30, pendant le TP d’électrotechnique.

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KAISER
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Re: L'Université Algérienne

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Paix a son âme !
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AAF 2020
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Re: L'Université Algérienne

Message par AAF 2020 »

Enseignement supérieur: De l'Enset à l'école polytechnique
A partir de la prochaine rentrée universitaire, l'Ecole nationale de l'Enseignement technologique d'Oran (Enset) portera désormais l'appellation d'Ecole polytechnique d'Oran (EPO).

C'est ce que nous a révélé, hier M. Benziane, directeur de cet établissement, en marge du séminaire organisé autour du partenariat Entreprise-Ecole, un levier du développement durable. Tout en continuant à assurer la formation des promotions actuelles et ce, pour les besoins du secteur de l'Education nationale, les 7 départements que compte l'école offrent au secteur économique des formations diplômantes et ce, selon les besoins exprimés. Toutefois, M. Benziane a tenu à nuancer qu'il ne s'agit nullement d'une formation à la carte du fait qu'il s'agit, certes, de répondre à la demande du monde industriel, mais en préservant le contenu académique. Par ailleurs, la même source a rappelé que depuis son ouverture en 1970, l'Enset, autrefois Ensep, a formé pour le secteur de l'Education plus de 6.200 encadreurs pédagogiques, dans les différentes spécialités techniques. Il estime que, de par le capital expérience accumulé par le corps enseignant, l'importance des équipements et la place prépondérante qu'occupe l'école, dans le concert régional et même international, la réorientation de la mission de l'école est devenue, non seulement une nécessité, mais un défi majeur et qui peut être relevé, du fait que depuis 3 ans, ce projet a été mûri et les conditions objectives pour sa concrétisation réunies. Ceci dit, cette année est qualifiée de charnière afin de rentrer de plein pied dans une nouvelle ère.

Durant la rencontre d'hier, les responsables des différents départements ont étalé leurs offres de formation alors que les représentants des entreprises ont exposé leurs besoins en cadres techniques supérieurs étant donné que les futurs étudiants de cette école font partie de l'élite et ce, après avoir réussi leur bac et deux années de formation préparatoire. Au bout du cycle de formation conçu sur les principes du système LMD, les futurs étudiants obtiendront le diplôme d'ingénieur d'Etat, un diplôme aux normes internationales et qui ne souffrira nullement de la question de l'équivalence. A noter également que la signature de plusieurs conventions entre l'école, les entreprises et d'autres établissements de formation a été prévue, en marge de ce séminaire. En collaboration avec la chambre du Commerce et de l'Industrie de l'Oranie (CCIO), la rencontre devait déboucher sur une démarche commune constructive entre l'établissement formateur et le secteur utilisateur, longtemps cloisonné.

Lors de son intervention, Hamou Bouabdallah, directeur de la PME/PMI de la wilaya d'Oran, s'est félicité de l'ouverture de cette école qui répondra, en plus de la demande régionale (étant donné que l'EPO aura le même statut que l'Ecole polytechnique d'El Harrach), mais également à celle de la wilaya d'Oran où le tissu industriel s'amplifie notamment avec la réalisation de trois nouvelles zones industrielles respectivement à Béthioua, Oued Tlélat et Boutlélis. Parallèlement, la reprise de l'activité industrielle à la zone industrielle de Hassi Ameur, longtemps amorphe, a permis à une douzaine d'unités de relancer leurs activités de production.
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5167438

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Re: L'Université Algérienne

Message par AAF 2020 »

Mort de l’étudiant Bensahal Lamine:Le recteur de l’USTHB explique
Suite au drame qui a coûté la vie à l’étudiant Bensahal Lamine mardi dernier, l’Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) a, dans un communiqué, confirmé qu’il s’agissait du premier drame survenu dans l’un de ses laboratoires de travaux pratiques et de recherche et ce depuis sa création en 1974. Selon M. Benzaghou, recteur de l’USTHB, la justice a ouvert une enquête pour déterminer les causes réelles de ce tragique incident d’autant que la police scientifique et la police judiciaire étaient sur les lieux juste après le drame. Dans son communiqué, le même responsable a réaffirmé que les témoins ont été auditionnés au commissariat de Bab Ezzouar et les procès- verbaux transmis au procureur de la République. Pour plus de précisions, l’université et le ministère de l’Enseignement supérieur ont demandé une expertise externe des laboratoires de travaux pratiques. Les enseignants de l’USTHB sont eux-mêmes des spécialistes et leur avis seront sollicités. Même les associations des étudiants ont été réunies le jeudi 26 avril et toutes les informations disponibles leur ont été communiquées. Quant aux comités pédagogiques, ils étudieront les modalités d’achèvement des programmes des modules des travaux pratiques. Des explications seront d’ailleurs données par les uns et les autres sans attendre les résultats de l’enquête et l’université s’abstiendra de les commenter.
http://www.horizons-dz.com/?Le-recteur- ... B-explique

Sifax
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Re: L'Université Algérienne

Message par Sifax »

Les USA veulent une université américaine en Algérie:
الولايات المتحدة تريد جامعة أمريكية في الجزائر

2012/05/01

عبر السفير الأمريكي هنري انشر خلال لقائه مع طلبة جامعة باتنة عن رغبة بلاده في انشاء جامعة أمريكية في الجزائر على غرار الجامعات الأمريكية في بيروت والقاهرة وقطر، مبررا تلك الرغبة في التهافت الكبير للطلبة الجزائريين على تعلم اللغة الانجليزية

معترفا بريادة الجزائريين في الانجليزية الأكاديمية رغم عدم وجود تبادل مباشر وواسع بينهم وبين الأمريكيين، وقد اضطر السفير الأمريكي إلى الحديث باللغة الانجليزية بدل اللغة العربية بعد ما أجبره الطلبة على التخاطب المباشر بالانجليزية، فيما خرجت طالبة عن المألوف وحظيت بتصفيق السفير بعد ما أكدت أن مستوى أساتذة الانجليزية بالجامعة لا يتطلب الاستعانة بخبرات أجنبية.
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/128222.html

On a parlé de l'Université de Denver l'année passé... mais je ne sais pas que devient le projet.

Sifax
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Re: L'Université Algérienne

Message par Sifax »

La ville universitaire de Constantine réceptionnée en septembre 2012 (responsable, 02 MAI 2012)

La ville universitaire de Constantine, dont les travaux sont en phase d’achèvement à proximité de la nouvelle ville Ali-Mendjeli, sera "officiellement réceptionnée d’ici septembre 2012", a indiqué mercredi le wali, M. Noureddine Bedoui.

Les travaux de réalisation de cette infrastructure d’enseignement supérieur, "la plus grande à l’échelle nationale et africaine", avancent à un rythme "accéléré", a souligné le wali au cours d’une visite d’inspection du chantier de construction de cette ville universitaire.

Selon des précisions fournies sur place, huit écoles supérieures sur les dix prévues dans le cadre de ce projet, seront achevées d’ici à "la fin du mois de mai en cours", tandis que les deux facultés restantes (médecine et beaux-arts), seront remises "clés en main" en août prochain.

S’agissant du volet hébergement, il sera procédé à la réception des 38.000 lits inscrits dans le cadre de ce projet, ainsi que des 10 facultés qui engloberont 44.000 places pédagogiques, a-t-on précisé sur place. Les difficultés financières qui avaient contrarié l’avancement du chantier ont été levées avec la mise en place, par les pouvoirs publics, d’une "rallonge" de 10 milliards de dinars, a rappelé le wali, précisant que le coût global de ce projet a atteint les 40 milliards de dinars.

S’étendant sur une superficie de 170 hectares, ce mégaprojet abritera également un complexe sportif, un parc scientifique, un restaurant central de 800 couverts, quatre salles de conférence, un auditorium et une bibliothèque de 3.000 places, entre autres, a-t-on noté.

La future ville universitaire de Constantine dont les travaux de réalisation ont été confiés à une entreprise chinoise, sera également dotée d’un complexe de recherche scientifique, a annoncé le wali, faisant part, d’un autre côté, du lancement, durant les prochaines vacances d’été, d’une "importante opération de réhabilitation de l’ensemble des cités universitaires de la wilaya".
Source: APS.
C'est dans ce genre d'infrastructures qu'il faut investir! :hadarat:

Le choix de Constantine pour ce projet pose un petit problème: Je comprend la nécessité de créer un centre régionale (Est) universitaire à l'image d'Alger (Centre) ou d'Oran (Ouest) mais:

1- Il y a déjà un complexe universitaire très important à Constantine. Cette wilaya ne manque pas d'infrastructures universitaires.

2- A l'Est su pays, par l'importance, le nombre d'habitats et la nature et la topographie: Constantine est géographiquement une petite ville bâti sur un rocher, rocher qui d'ailleurs limite son extension futur sur un ou deux axes. Et c'est "urbainement" une ville/ agglomération saturée.

3- Du point de vue de l'importance de la population et de la géographie (morphologie du terrain), une ville comme Batna ou Setif serait idéale pour ce projet.

C'est dommage qu'il n y a jamais eu de débat national pour ce genre de sujets.
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Re: L'Université Algérienne

Message par klibre16 »

AAF 2020 a écrit :Mort de l’étudiant Bensahal Lamine:Le recteur de l’USTHB explique
Suite au drame qui a coûté la vie à l’étudiant Bensahal Lamine mardi dernier, l’Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) a, dans un communiqué, confirmé qu’il s’agissait du premier drame survenu dans l’un de ses laboratoires de travaux pratiques et de recherche et ce depuis sa création en 1974. Selon M. Benzaghou, recteur de l’USTHB, la justice a ouvert une enquête pour déterminer les causes réelles de ce tragique incident d’autant que la police scientifique et la police judiciaire étaient sur les lieux juste après le drame. Dans son communiqué, le même responsable a réaffirmé que les témoins ont été auditionnés au commissariat de Bab Ezzouar et les procès- verbaux transmis au procureur de la République. Pour plus de précisions, l’université et le ministère de l’Enseignement supérieur ont demandé une expertise externe des laboratoires de travaux pratiques. Les enseignants de l’USTHB sont eux-mêmes des spécialistes et leur avis seront sollicités. Même les associations des étudiants ont été réunies le jeudi 26 avril et toutes les informations disponibles leur ont été communiquées. Quant aux comités pédagogiques, ils étudieront les modalités d’achèvement des programmes des modules des travaux pratiques. Des explications seront d’ailleurs données par les uns et les autres sans attendre les résultats de l’enquête et l’université s’abstiendra de les commenter.
http://www.horizons-dz.com/?Le-recteur- ... B-explique
Le problème a été signalé plusieurs fois concernant la table ou est décédé Lamine, mais rien n'a été fait. Les association n'ont fait que brisé l'élan de la grève entrepris par ces camarades, Je regrette aussi le manque de maturité de certains étudiants, l'université n'est plus ce quelle était, c'est bien dommage
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Sifax
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Re: L'Université Algérienne

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Réalisation prochaine de trois instituts supérieurs de formation de sages-femmes (06 MAI 2012)

Le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, M. Djamel Ould Abbes a annoncé samedi à Alger la réalisation prochaine de trois instituts supérieurs de formation de sages-femmes.

Lors d’une cérémonie organisée au centre familial de Ben Aknoun à l’occasion de la Journée mondiale des sages-femmes (5 mai), M. Ould Abbes a fait savoir que trois instituts supérieurs de formation de sages-femmes seront réalisés prochainement à Tizi Ouzou, Tlemcen et Annaba et ce conformément au décret exécutif du 24 février 2011.
Selon le ministre, ce décret constitue une "révolution" en matière d’évaluation et de promotion de la profession de sage-femme par rapport aux textes de loi appliquées par d’autres pays.

S’agissant du programme de formation des sages-femmes de la santé publique, M. Ould Abbes a indiqué qu’il sera bientôt finalisé avant de le soumettre aux médecins spécialisés en obstétrique et pédiatrie puis au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour approbation.

Le ministre a rappelé que son département a pris une série de mesures pour la mise en oeuvre du statut particulier relatif aux sages-femmes, promulgué le 20 mars 2011.

Il s’agit, a-t-il précisé, d’un programme de formation complémentaire d’une année au profit des sages-femmes diplômées (promotions 2011, 2012 et 2013) et d’un programme de 9 mois en faveur des sages-femmes praticiennes. Ce programme qui sera lancé en septembre prochain au profit de 5000 sages-femmes, permettra aux bénéficiaires exerçant ce métier depuis 2008, d’être promues au grade de sage-femme principale.

Un projet de programme de formation de 12 mois offrant aux bénéficiaires le droit de promotion au grade de sage-femme de santé publique, figure également parmi les mesures prises par la tutelle. Le programme sera soumis aux services de la direction générale de la fonction publique pour examen.

M. Ould Abbes a fait savoir en outre qu’un projet de décret relatif à l’indemnité de contagion en milieu hospitalier est en cours d’examen et concernera tous les corps du secteur de la santé.
(APS)
http://maghrebemergent.info/actualite/f ... emmes.html
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Sciences médicales : institutionnaliser la formation continue

Les participants aux travaux des 10èmes journées médicochirurgicales et stomatologiques ont plaidé samedi à Ghardaïa pour l’institutionnalisation de la formation médicale continue.

"La formation médicale continue doit être instituée et rendue obligatoire afin de promouvoir une médecine de qualité, performante et moderne ainsi que des pratiques médicales professionnelles", ont souligné les animateurs de cette rencontre médicale, organisée par l’association des praticiens privés de la wilaya de Ghardaïa (APPWG).

La formation médicale continue constitue "le principal objectif de notre association.
Elle est à même de permettre à l’ensemble des médecins exerçant dans la wilaya d’actualiser leurs connaissances en matière d’études de différentes pathologies, des nouvelles techniques de diagnostic et de traitement", a indiqué son président, Dr. Salim Bahayou.

Initiée annuellement par l’APPWG en collaboration avec la Société de pédiatrie dans l’Ouest du pays et sponsorisée par une quinzaine de laboratoires médicaux privés, cette manifestation scientifique et médicale a regroupé de nombreux praticiens spécialistes et agents médicaux nationaux et étrangers.

Ce rendez-vous, qui s’inscrit dans le cadre des activités annuelles de l’association, est un espace d’échange d’expériences entre les spécialistes et professionnels de la santé afin d’établir "un consensus" pour une meilleure prise en charge du patient et une prévention des pathologies de l’enfant, a souligné Dr. Salim Bahayou.

De son côté, Dr. Zerbani, membre de l’APPWG et chirurgien dentiste, a mis en exergue l’importance de la mise en place des conduites à tenir devant des cas d’odontologie pédiatrique, le cancer de la bouche et la maîtrise de l’utilisation du Laser en stomatologie ainsi que la technique de l’implantologie.

L’ensemble des participants à cette journée médicale a également insisté sur la nécessaire élaboration d’une "Ordonnance médicale" adaptée à l’enfant.

Plusieurs communications animées par des spécialistes en pédiatrie et de professeurs du Centre Hospitalo-universitaires (CHU) de Mustapha Bacha (Alger), du CHU d’Oran et des hôpitaux de Paris et de Lyon (France), ont été ponctuées par des projections vidéo et de diapositifs sur les thèmes des pathologies pédiatriques, les allergies, l’asthme, le diabète et les pathologies de la muqueuse buccale chez l’enfant.
http://maghrebemergent.info/actualite/f ... tinue.html

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Re: L'Université Algérienne

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Inauguration de 10.000 places pédagogiques et de 3 résidences universitaires à Sétif (09 MAI 2012)

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a inauguré mardi au 3ème pôle pédagogique de la cité El-Hidhab à Sétif un ensemble de 10.000 nouvelles places pédagogiques et de 3 résidences universitaires totalisant 6.000 lits.

Le chef de l’Etat a été accueilli chaleureusement dans ce pôle par plusieurs milliers d’étudiants qui ont improvisé un véritable bain de foule pour le président Bouteflika, qui n’a pas cessé, souriant, de leur répondre par des signes de la main avant d’inaugurer les 10.000 places pédagogiques.

Cette imposante infrastructure a été réalisée par une entreprise chinoise pour la partie génie-civil et par 21 entreprises pour ce qui est des corps d’état secondaires et des aménagements extérieurs.

Elle abrite, selon les explications fournies par la directrice du Logement et des équipements publics (DLEP), la faculté des Lettres et des Langues et celle des Sciences humaines et sociales.

Dix-huit (18) amphithéâtres totalisant 4.500 places, 144 salles de cours pouvant accueillir près de 5.800 étudiants et 5 bibliothèques composent, avec la partie administrative et technique, ce grand ensemble qui a nécessité un investissement public de 2,8 milliards de dinars.

Le chef de l’Etat qui s’est enquis auprès des responsables en charge de la réalisation de cet ensemble, du nombre d’étudiants fréquentant l’université de Sétif et des critères qui ont présidé au choix de l’architecture, a ensuite inauguré, non loin de là, un ensemble résidentiel constitué de 3 cités universitaires conçues pour accueillir 6.000 étudiants.

Ces résidences, réalisées pour un montant de plus 3 milliards de dinars, et qui ont mis à contribution 3 bureaux d’étude et 16 entreprises de bâtiment, sont dotées de toutes les commodités et du confort nécessaires.

Cet ensemble de 6.000 lits se décline en 22 blocs d’hébergement, 3 restaurants universitaires de 500 places, 3 salles pour les activités culturelles et sportives et 6 logements d’astreinte destinés aux gestionnaires de l’infrastructure.

L’université Ferhat-Abbas de Sétif accueille actuellement, au niveau de ses trois pôles, plus de 60.000 étudiants poursuivant leur cursus dans une dizaine de facultés.

A sa création en 1978, cette université comprenait trois instituts (Sciences économiques, Sciences exactes et technologie, et Langues étrangères) et accueillait moins de 250 étudiants.
(APS)
http://maghrebemergent.info/actualite/f ... setif.html

Sifax
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Re: L'Université Algérienne

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Une école de la restauration du patrimoine, à Alger, à la prochaine rentrée universitaire (16 MAI 2012)

Rassembler les formations éparpillées dans le domaine de la conservation et de la restauration du patrimoine est l’objectif de la nouvelle "Ecole de conservation et de restauration des biens culturels d’Alger" qui ouvrira ses portes à la prochaine rentrée universitaire.

L’école commencera par former des assistants-conservateurs et des assistants-restaurateurs et projette se lancer dans la formation des architectes destinés à l’intervention sur site, a indiqué à l’APS la nouvelle directrice de la future école, Samia Chergui.

Etablie provisoirement à Dar Es Sof (Casbah d’Alger), l’école a été conçue comme une réponse au vide constaté dans la formation patrimoniale afin de "prendre en charge les biens mobiliers et immobiliers", selon elle.

Pour Mme Chergui, par ailleurs docteur en histoire de l’art, "il est plus que temps" d’investir dans la ressource humaine tant au niveau des études supérieures que celui de la formation professionnelle car, rappelle-t-elle, "la dernière promotion de restaurateurs remonte à plus de 30 ans" dont une dizaine de restaurateurs seulement en activité au niveau national, à ce jour.

Les formations dans la conservation et la restauration du patrimoine en Algérie se font à l’institut d’archéologie pour la conservation préventive et à l’Ecole polytechnique d’architecture et d’urbanisme (Epau, Alger), qui propose depuis 2008 en post-graduation, un magister en "Patrimoine architectural et urbain". Cependant, cette spécialité qui n’intègre que six étudiants par an, prépare les diplômés à l’enseignement et non à la restauration et la conservation pratique, sur le terrain.
http://maghrebemergent.info/actualite/f ... taire.html
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