La recherche scientifique en Algérie

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numidia
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La recherche scientifique en Algérie

Message par numidia »

khaybar a écrit :
Recherche scientifique : L’Algérie table sur 60.000 chercheurs en 2020
Le secteur bénéficie d’un budget de 100 milliards de dinars pour la période 2008-2013.


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08-11-2011

Le système national de documentation en ligne a ouvert plus de 60.000 accès aux universitaires.

L’Algérie, qui a été classé au premier trimestre 2010 par l’UNESCO à la troisième place africaine en matière de recherche scientifique, après l’Afrique du Sud et l’Egypte, accorde un intérêt certain à ce domaine qui bénéficie d’un important budget de 100 milliards de dinars mobilisé pour la période allant 2008 - 2013.

Certes, les capacités nationales en matière de recherche restent encore en deçà des normes internationales qui exigent 2000 chercheurs pour un million d’habitants alors que l’Algérie ne dispose encore que de 600 chercheurs par million d’habitants, contre 4300 en France ou encore 5600 au Japon, mais faut-il souligner que le nombre de publications scientifiques ont sensiblement augmenté en 2009, l’année durant laquelle elles ont atteint les 20.000 publications.

Concernant le nombre des chercheurs algériens, le ministère de la tutelle indique que les enseignants-chercheurs ont atteint 17000 dont 1900 permanents. L’objectif est d’arriver à l’horizon 2020 à quelque 60.000 chercheurs, d’où le lancement de 34 programmes de recherche scientifique touchant divers secteurs d’activités (santé, ressources en eau, énergies renouvelables, agriculture, technologies de l’information et de la communication), conçus de manière à répondre à certaines préoccupations socioéconomiques.
Et les grandes orientations de la politique scientifique pour les prochaines années, sont clairement identifiées dans la loi programme 2008-2012 sur la recherche scientifique et le développement technologique.

Une enveloppe de 5 milliards de dinars a été dégagée pour les 34 programmes dont le financement moyen varie entre 3 et 10 millions de dinars, selon le programme avec pour objectif de réaliser 3000 projets de recherche en deux ans.
Par ailleurs, dans la série de mesures prises en vue de relancer le secteur de la recherche, l’Etat a également décidé de rétribuer l’activité de recherche depuis la signature en janvier dernier des contrats par les chercheurs inscrits aux Programmes nationaux de recherche (PNR).
«Tout chercheur disposant d’un projet PNR agréé percevra cette rétribution qui, en fonction de ses activités, pourra être reconduite ou arrêtée», a indiqué le directeur de la recherche scientifique, M. Hafid Aoureg lors de l’annonce de la signature des contrats.
Ainsi, tout chercheur hospitalo-universitaire ou enseignant chercheur participant aux programmes nationaux de recherche et dont les travaux ont été publiés peut bénéficier de la prime mensuelle allant de 45.000 DA pour le professeur à 20.000 DA pour le maître-assistant de classe B. Pour les responsables d’unités de recherche régulièrement nommés, la prime est fixée à 20.000 DA pour le directeur de l’unité et à 10.000 DA pour le chef d’équipe. Cette fourchette varie selon les diplômes, l’expérience et la compétence de chaque chercheur. Cette rétribution qui se veut «une reconnaissance de l’Etat pour l’élite du pays, ses compétences et son excellence», vient aussi «distinguer l’excellence de la médiocrité», d’où l’importance, de l’évaluation des travaux qui sera faite par les experts des comités sectoriels de manière individuelle et non pas par programme de recherche.

Et dans cette perspective d’améliorer l’environnement de la recherche nationale, un système national de documentation on line a été aussi lancé avec plus de 60.000 accès déjà ouverts aux enseignants, étudiants en master et doctorants inscrits dans les laboratoires de recherche. Le système permet aux chercheurs, grâce à un mot de passe attribué, d’accéder à toutes les bases de données à travers le monde pour pouvoir télécharger toute la documentation nécessaire à leurs travaux de recherche.
Tant d’efforts déployés en vue aussi d’améliorer le mauvais classement des universités algériennes et d’améliorer leur visibilité à l’international puisque la publication des travaux de recherches demeure un élément déterminant dans le classement des établissements universitaires.


:arrow: http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/19305

Evaluation du secteur de la recherche scientifique en Algérie ...
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Sifax
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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par Sifax »

Mise en place d’un Institut africain de recherche et de lutte contre le sida à Tamanrasset (AFP)

Un protocole d'accord entre l'Algérie et l'Onusida a été signé lundi à Alger pour la mise en place d'un institut africain de recherche et de lutte contre le sida qui sera basé à Tamanrasset dans le Sud algérien et opérationnel en 2013. L'accord a été signé par le directeur exécutif du Programme commun des Nations unies sur le VIH/sida (Onusida) Michel Sidibé et le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès.

Le ministre a assuré que l'Institut serait « fonctionnel en 2013 » et précisé qu'outre les chercheurs algériens, d'autres compétences africaines, européennes et américaines seraient recrutées. L'Algérie assurera 100 % de l'aspect logistique et l'essentiel du budget, sauf le paiement des chercheurs étrangers. Le budget alloué à la prévention et à la lutte contre le sida en Algérie a doublé ces dernières années pour atteindre actuellement six millions de dollars par an. L'Institut fonctionnera avec une partie de ce budget qui sera amené à être augmenté, a souligné M. Ould Abbès.

Le choix de Tamanrasset n'est pas fortuit, la région est un important lieu de passage où se côtoient « 48 nationalités », a ajouté le ministre. (...)
http://www.tsa-algerie.com/divers/mise- ... 20155.html
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Trident
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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par Trident »

Quelques commentaires à propos du premier article.
...mais faut-il souligner que le nombre de publications scientifiques ont sensiblement augmenté en 2009, l’année durant laquelle elles ont atteint les 20.000 publications...
Depuis qu'on accepte n'importe quelle publication pour valider une thèse ou un projet de recherche, y compris des revues douteuses où il suffit de payer pour voir son article sortir.Pour moi notre production scientifique n'a pas augmenté elle a régressé.
Et dans cette perspective d’améliorer l’environnement de la recherche nationale, un système national de documentation on line a été aussi lancé avec plus de 60.000 accès déjà ouverts aux enseignants, étudiants en master et doctorants inscrits dans les laboratoires de recherche. Le système permet aux chercheurs, grâce à un mot de passe attribué, d’accéder à toutes les bases de données à travers le monde pour pouvoir télécharger toute la documentation nécessaire à leurs travaux de recherche.
Le système national de la documentation on line constitue une avancée. Fini le temps où il faut voyager pour récupérer des articles. Mais Il faudrait penser à améliorer la bande passante, dans certains établissements universitaires on a du mal à lire ses mails ou télécharger une simple pièce jointe aussi petite soit elle.
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feeback
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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par feeback »

Mais Il faudrait penser à améliorer la bande passante, dans certains établissements universitaires on a du mal à lire ses mails ou télécharger une simple pièce jointe aussi petite soit elle.
C'est vrais une bonne connexion est devenu primordial, surtout dans un établissement universitaire, pourtant Algérie telecom c'est lancé dans le très haut débit en fibre optique en 2010 il me semble, et certain quartiers de villes algérienne en sont déjâ équipé comme l’atteste cette image.

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Sifax
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Message par Sifax »

Remarquable innovation!
Un algérien innove dans les énergies renouvelables marines
« Thala Energy », un houlomoteur à rotation ininterrompue vient de naître (le 05.04.12)


Il vient de créer ce qu’on appelle un moteur fonctionnant par les pressions des vagues ou un générateur houlomoteur. Le mécanisme permet de produire de l’électricité grâce à l’exploitation des vagues. La spécificité de cette invention, c’est qu’elle est fondée sur le principe de l’ininterruption de la rotation.

Un principe inédit dans le monde des énergies renouvelables marines. Moins coûteux, plus productif et plus rapide. Son inventeur insiste sur ces trois fondements importants de son invention. Des principes auxquels même l’ingénieuse invention écossaise « Pelamis» ne répond pas. En effet l’invention des écossais est opérationnelle en «offshore» seulement, c'est-à-dire en haute mer et a besoin de vagues pour fonctionner. Par contre la création de Nasser Arbane fonctionne également en rives, en « nearshore ».
L’invention de Nasser Arbane permet en effet d’absorber les vagues quelque soit l’importance de leur mouvement : régulier, irrégulier, faible ou fort afin de produire sans interruption de l’énergie électrique. En évoquant « le Pelamis » Nasser Arbane est loin de ce sentiment de comparaison maladive, car il est convaincu que son invention « Thala Energy » puisque c’est ainsi qu’il a baptisé sa création, va révolutionner le monde des énergies marines renouvelables à condition que l’Algérie « s’éveille un bonne fois pour toutes pour propulser vers l’avant toutes ces inventions mises aux oubliettes ».

Tout l’intérêt de l’invention réside aussi dans le fait que son principe de continuité est applicable et peut être exploité dans plusieurs domaines de la mécanique «et cela est vraiment prometteur» s’enthousiasme l’inventeur.

En mai 2011 le créateur dépose son dossier de brevet auprès de l’institut national de la propriété industrielle (INAPI) et son invention est aujourd’hui brevetée.

Mais, la bataille pour faire connaître son invention et surtout la bataille pour sa valorisation pour un éventuel investissement industriel est loin d’être gagnée. L’inventeur évoque : lenteur administrative, un désintéressement total…même si confie-t-il « les pouvoirs publics et même les visiteurs se sont penchés sur mon invention en décembre dernier lors du salon national de l’innovation mais cela est resté limité à l’effet surprise » regrette-t-il.

« Je m’obstine à faire marcher mon invention ici en Algérie et je souhaite que les intérêts de cette invention profiteront à l’Algérie » insiste-t-il. « Je sais que pour faire fonctionner réellement mon invention il faut un lourd investissement mais les énergies renouvelables sont l’avenir de l’industrie en plus mon invention est moins couteuse, plus productive et plus rapide autant la valoriser », a-t-il expliqué.

Le prototype de l’invention a vu le jour grâce à des moyens dérisoires : une roue comme bouée, pièces de la casse, roue de la bicyclette comme poulie … «la réalisation a eu lieu dans un atelier de serrurier qu’un ami m’a cédé quelques temps durant », détaille notre interlocuteur.

Nasser Arbane exerce comme menuisier, il est comptable de formation, et a déjà travaillé comme journaliste. Le déclic pour son invention a vu le jour alors qu’il était dans son atelier de menuiserie, là il se rend compte que la scie à rubans après l’avoir débranchée continue au bout de 25 minutes de plus à tourner. « Cela est du à l’élan mais aussi au poids de la poulie. Plus la poulie est lourde plus la rotation est prolongée », explique l’inventeur.

Pourquoi avoir choisi «Thala » comme nom à son invention ? L’inventeur explique : « c’est un mot amazigh et puis la racine du mot nous la partageons avec le grec. Conscient que je suis du nombre important de mots amazighs qui ne sont pas loin du grec ancien. Plus encore il y a la définition du mot thala qui veut dire source en kabyle, lieu où jadis on découvrait l’amour pour la première fois chez les jeunes kabyles ».

Originaire de Adekar (Bejaia), âgé de 51 ans, Nasser soupire comme pour exprimer une certaine lassitude. «Je veux aboutir mon projet, le concrétiser ». Mais pour cela il faut des moyens, un écho professionnel attentif et ingénieux. Je veux que l’Algérie me donne la possibilité d’aller jusqu’au bout de mon projet ».
Par Hamida Mechaï Source http://www.elwatan.com/actualite/thala- ... 45_109.php

Sifax
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Message par Sifax »

Le pays a opté pour les NTIC dans son système de formation et de recherche (Bouteflika)

L’Algérie a opté "résolument" pour les nouvelles technologies d’information et de communication dans son système de formation, de recherche et de communications, comblant progressivement la fracture numérique qui la sépare des pays développés, a indiqué samedi le président de la République, AbdelazizBouteflika.

Dans un message à l’occasion du journée du Savoir (Youm El îlm) célébrée le 16 avril de chaque année, le président Bouteflika a souligné que le défi à venir était de réduire d’urgence les fractures de la connaissance.

(...)

Il a aussi fait remarquer que l’effort des dix dernières années avait porté plus particulièrement sur l’activité de recherche, consacrée par la loi parmi les priorités nationales pour accompagner le développement économique et social du pays.

"Et c’est en développant une base scientifique nationale que notre pays pourra absorber les progrès scientifique, les adapter à ses propres besoins et contribuer aux efforts de recherche développés dans le monde", a-t-il estimé. (APS)
http://maghrebemergent.info/actualite/f ... flika.html

Il faudra que les faits suivent les déclarations Monsieur le président.
----------------------------------------------------------------------------------------
Bientôt un Centre de R&D de Saidal.
(...)
Il (le PDG de SAIDAL) avait rappelé la réalisation de quatre unités de production de génériques «dont trois sont très avancées». Le Groupe ouvrira prochainement un centre de recherche et de développement avec une unité pilote à Sidi Abdallah. «Le plan de développement avance donc correctement selon les étapes prédéfinies initialement,» avait-il alors indiqué.
(...)
Source: Quotidien d'Oran, 21/04/2012, par Ghania Oukazi.
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5167298

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Message par AAF 2020 »

Assises sur le développement de la recherche scientifique : Soutenir l’excellence scientifique et l’innovation
[img]http://www.elmoudjahid.com/temp/fr/actu ... 26920].jpg[/img]
«Le but pour nous est de tracer un programme de recherche pour la période 2013/2017. Il ne s’agit pas de se contenter de faire des bilans, mais de promouvoir la mobilité de l’élément humain dans la recherche scientifique.»

“La seconde loi (2008-2012), qui vient après celle de 1998-2002, n’a pas atteint ses objectifs», a déclaré, hier à Alger, le directeur de programmation de la recherche, de l’évaluation et de la prospective, M. Mokhtar Selami, lors de la tenue des assises sur le développement de la recherche scientifique dans les domaines de l'économie et de la gestion. Selon M. Selami, «le but de cette rencontre est de contribuer à la mise en œuvre de la troisième loi sur la recherche scientifique et le développement technologique 2013/2017 afin de soutenir l’excellence scientifique et l’innovation». Pour M. Selami, cette première loi sur la recherche comporte un vide qui a déstructuré toute l’organisation liée à la recherche scientifique. «Dans ce sens, nous avons pris conscience de la nécessité de nous lancer dans la rédaction de la troisième loi. Cette loi sera complémentaire de la deuxième loi sur la recherche», a-t-il indiqué, avant d’ajouter : «Le but pour nous est de tracer un programme de recherche pour la période 2013/2017. Il ne s’agit pas de se contenter de faire des bilans, mais de promouvoir la mobilité de l’élément humain dans la recherche scientifique.» Pour M. Selami, les textes qui émanent de ces deux lois ne font que reprendre la problématique de la recherche scientifique avec la mobilisation de toute l’infrastructure et des équipements requis. Il a affirmé que «cette troisième loi aura pour principal conception la mobilisation de l’élément humain avec, comme objectif, sa mobilité dans les deux sens université et mondes économique et industriel». M. Selami a regretté le fait que certaines universités soient toujours au niveau de projets, alors que d’autres ont pu réaliser leurs cahiers d’études pour financer leurs appels d’offres. «Nous n’avons pas développé assez de centres de recherche. Ceux qui existent aujourd’hui ont été créés dans les années 1980-1990, il n’y a pas eu une stratégie de développement de centre de recherche», a-t-il déploré. Et d’ajouter : «Actuellement, nous avons lancé la réalisation de plus de 50 centres de recherche à travers le territoire national dans le cadre de la deuxième loi.» Il y a lieu de noter que cette rencontre intervient en prévision du nouveau plan quinquennal 2013-2017 et dans le cadre de la préparation de la 3e loi de programme quinquennale de la recherche scientifique et du développement technologique. Plus de cent chercheurs de grade de professeur, directeur de recherche, maître de conférence et maître de recherche appartenant aux différents universités et centres de recherche ont pris part à cette manisfestation.
Wassila Benhamed

Priorité du plan de développement de la recherche 2013/2017

Les priorités institutionnelles exposées dans le plan de développement de la recherche 2013/2017 consistent en de multiples projets provenant des divers regroupements de recherche des universités et relatifs à un ou plusieurs secteurs prioritaires et qui pourront venir se rattacher à l’un ou l’autre, voire à plusieurs de ces thèmes. Dans la détermination d’un ordre de priorités, ces projets seront passés au crible de trois orientations stratégiques : l’interdisciplinarité, la collaboration et le partenariat, et la dimension internationale.
http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/26920

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Message par AAF 2020 »

Signature de conventions pour la création de trois centres d’appui à la technologie et à l’innovation
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ALGER - L’Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI) a conclu jeudi trois conventions permettant la création officielle de trois Centres d’appui à la technologie et à l’innovation (CATI) au niveau de deux universités et un groupe industriel privé.

Les conventions ont été signées entre le directeur général de l’INAPI, Abdelhafid Belmehdi et les représentants de l’Université d’El Oued de Chlef et le PDG du groupe industriel Condor basé à Bordj Bouareiridj, en présence du ministre de l’Industrie, de la PME et de l’investissement, Mohamed Benmeradi.

Le projet de création de ces centres a été lancé en mars dernier en application d’un accord entre l’INAPI et l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) qui s’est engagée à apporter son assistance technique et matérielle pour la création de ces centres.

Ces derniers auront pour rôle principal de rapprocher l’université de l’entreprise économique et permettre un échange d’informations et de formation et suivre les brevets d’innovation des chercheurs.

"Ces CATI vont permettre aux entreprises de mieux exploiter toutes les recherches et toutes le inventions qui se trouvent au niveau des universités", a expliqué à la presse M. Belmehdi.

"Malheureusement, nous avons aujourd’hui des recherches et des innovations qui ne sont pas exploitées en raison du manque de coordination entre l’université et l’entreprise", a regretté le même responsable.

"Ces centres vont permettre aussi d’encourager l’innovation et de défendre les intérêts des investisseurs, de lutter contre la contrefaçon pour protéger la santé du consommateur", selon M. Benmeradi.

Le nombre de CATI devrait passer d’ici octobre prochain à 12 puisque d’autres universités, institutions et sociétés industrielles avaient exprimé un intérêt d’installer des centres pareils.

Parmi eux, le ministre a cité les universités de Bejaia, de Boumerdes, de Blida, Khemis Meliana, l’Agence nationale d’appui aux résultats de recherche et le développement technologique et d’autres sociétés comme Saidal, Naftal et Sonatrach.

"Nous allons multiplier ces centres au niveau de l’ensemble des institutions pour permettre aux universités et aux entreprises, notamment, de trouver un lieu où ils peuvent accéder à l’information économique utile en vue de compléter leur compétitivité", a indiqué M. Benmeradi.

La signature des conventions pour la création des trois premiers CATI coïncide avec la journée mondiale de la propriété intellectuelle célébrée le 26 avril.
http://www.aps.dz/#fragment-44342

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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par AAF 2020 »

Recherche scientifique : l’Algérie a déployé d’importants moyens pour le développement du secteur (Aourag)
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ALGER - L’Algérie a déployé d’importants moyens au cours des dernières années pour le développement et la modernisation du domaine de la recherche scientifique et l’enseignement supérieur, a souligné jeudi à Alger le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, M. Aourag Hafid.

Le gouvernement a conduit une "politique de modernisation sans précédent" du secteur de la recherche et de l’enseignement supérieur, dans le sens défini par le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a indiqué M. Aourag à l’occasion de la cérémonie "Scopus Awards" de remise des prix à des chercheurs algériens. Ces réformes, a-t-il précisé, s’articulent autour de deux axes, à savoir "un cadre stratégique et la refonte de l’université".

Il a rappelé, à cet effet, que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a "profondément rénové" le paysage algérien de la recherche et de l’enseignement supérieur, dans le but "d’en améliorer la performance, mais aussi d’en favoriser l’insertion dans les échanges mondiaux".

"La recherche et l’innovation sont au c£ur des défis que nous avons l’obligation de relever", a ajouté M. Aourag, soulignant que "les défis d’aujourd’hui sont globaux et nécessitent une réponse coordonnée faisant plus que jamais appel à nos compétences scientifiques".

Le directeur de la recherche scientifique a expliqué, dans le même contexte, que "la circulation et la maîtrise du savoir seront déterminants pour notre capacité à relever ces défis et pour le dynamisme de notre économie".

Il a relevé aussi notamment que "la science est pleinement intégrée à la mondialisation des échanges, comme le paysage mondial du savoir change très vite".

Il a souligné aussi, que les performances de l’Algérie "sont encore insuffisantes dans les grands classements internationaux" en la matière, "pourtant, a-t-il affirmé, nous voyons une amorce de prise en compte des changements profonds qui s’opèrent depuis 2.000 dans le paysage algérien de l’enseignement supérieur et de la recherche".

M. Aourag a précisé que les efforts de l’Algérie "ont porté vers une meilleure organisation et une meilleure efficacité de la programmation de la recherche".

Il a cité, à cet égard, la définition d’une stratégie nationale de recherche et d’innovation, la création de cinq agences de financement et d’évaluation de la recherche. M. Aourag a indiqué que "120 milliards de dinars, dont 22 milliards qui relèvent du ministère et 100 milliards du fond national de la recherche" ont été consacrés pour mettre en oeuvre trois axes forts. Il s’agit de "favoriser l’intégration entre pôles d’enseignement supérieur et de recherche, la mise à niveau des infrastructures et équipements scientifiques, et le renforcement des programmes stratégiques nationaux (nucléaire, industrie spatiale, transports, TIC, santé, biotechnologie)", a-t-il expliqué. Il a ajouté dans le même sillage que "plus de 1.000" projets d’infrastructures de recherche sont en construction" et près de "5.000 projets" nationaux de recherche ont été déposés au titre des premiers appels à projets, "dont 500" projets pour les équipements d’excellence. La cérémonie "Scopus Awards", dédiée à la célébration de la science en honorant 11 chercheurs algériens ayant fait le plus de publications dans leur domaine, a été organisée par la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique avec la société néerlandaise Elsevier. M. Aourag a souligné à cette occasion, la "contribution majeure que savent apporter les chercheurs algériens dans un domaine clé des sociétés du savoir en émergence, à savoir la science". Il a indiqué que le prix a désormais "conquis une notoriété" au sein de notre communauté scientifique et du grand public, et devenu un "réel outil" pour la mobilisation du talent algérien autour de la recherche scientifique.
http://www.aps.dz/#fragment-44511
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Trident
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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par Trident »

J'adore les déclarations triomphantes de l'APS et d'El Moudjahid.

Concernant les prix récompensant les chercheurs ayant le plus de publications quelques commentaires.

- Ce système est dénoncé par la plupart des grands chercheurs car il conduit à abandonner l'esprit réel de la recherche et au fractionnement. Ainsi certains au lieu de publier un groupe de résultats liés dans un même article les fractionnent pour en faire 2 ,3 articles voir plus.

- Ailleurs on récompense sur l'apport du chercheur et non le nombre d'articles qu'il a publié. Vous pouvez avoir des très grands chercheurs avec peu de publications et de très médiocres avec beaucoup de publications.

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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par AAF 2020 »

Les travailleurs du nucléaire appellent à « l’application des textes réglementaires »
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Les travailleurs des centres de Recherche Nucléaire d'Alger (CRNA) et de Draria (CRND), dépendants du COMENA, persistent et signent. Ils ont encore une fois protesté, la matinée du mercredi 02 mai 2012, devant le siège du Commissariat de l'énergie atomique (COMENA), à Alger.

Cette fois, ils étaient plus nombreux, environ 200 à demander l’amélioration de « la situation actuelle des travailleurs du secteur et le statut particulier des personnels du COMENA ».

Les travailleurs du secteur nucléaire, aspirent à travers cet énième sit-in de « surseoir à la signature du statut particulier des personnels du COMENA, en l’état, car n’ayant pas eu l’approbation des travailleurs et ce, en dépit des multiples courriers adressés à la tutelle », selon un mémento de presse des travailleurs du nucléaire d’Alger et Draria, adressé à Liberté. Les travailleurs des CRNs (Centres de Recherche Nucléaire) souhaitent également que leur « statut respecte les lois en vigueur, en particulier », d’après le même communiqué.

Par ailleurs, les chercheurs et travailleurs du CRNA et du CRND dénonce « le mutisme de la tutelle, Ministère de l'Energie et des Mines » devant cette situation qui dure depuis quatre mois.

En somme, les travailleurs du nucléaire appellent à « l’application des textes réglementaires » conformément au décret exécutif n°08-131 du 03 mai 2008 portant sur le statut particulier du chercheur permanent
http://www.liberte-algerie.com/actualit ... res-177367

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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par Sifax »

Projet de production de l’énergie solaire avec le Japon (Par Lila Ghali, 14/05/2012)

Le programme de développement des technologies solaires en Algérie en association avec des experts Japonnais entériné en 2010 sera évalué à l’occasion de la 2ème édition du Forum Asie-Arabe sur l’énergie durable, dont l’ouverture est prévue mardi à l’Université des Sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf d’Oran (USTO).

Intitulé SSB (Sahara Solar Breeder ou ferme solaire expérimentale), le projet en question a été lancé par l’USTO avec deux agences japonaises (JICA et JST).

Un consortium de six universités japonaises est également associé à cette initiative aux côtés de l’USTO, de l’Université Dr Taher Moulay de Saïda et de l’Unité derecherche en énergies renouvelables en milieu saharien d’Adrar (URERMS).

5 millions de dollars pour financer le projet

Lancée en janvier 2011, la concrétisation du projet SSB est planifiée sur un délai de cinq ans, à l’échéance duquel sera réalisé un système d’exploitation et d’acheminement de l’énergie produite dans le Sud vers le nord du pays pour alimenter des stations de dessalement.

L’opération en question de portée académique est entièrement financée par la partie Japonaise avec une enveloppe budgétaire de 5 millions de dollars destinée à doter l’USTO d’un centre de recherches sur les technologies solaires, tandis que l’Unité de recherche d’Adrar et l’Université de Saïda bénéficieront chacune d’une plate-forme technologique pour la construction de cellules photovoltaïques et l’exploitation de l’énergie produite.
http://www.algerie1.com/actualite/alger ... c-le-japon

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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par AAF 2020 »

Le COMENA fait "la sourde oreille" aux chercheurs
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Environ 200 travailleurs des centres de recherche nucléaire d'Alger (CRNA) et de Draria (CRND) se sont rassemblés ce mercredi devant l’entrée du Commissariat de l’énergie atomique (Comena), sise au boulevard Frantz-Fanon, à Alger. Un sit-in organisé une nouvelle fois pour revendiquer leurs « droits les plus légitimes », selon un le communiqué de presse des travailleurs adressé à Liberté.

Les demandes sont essentiellement axées sur le « statut particulier des personnels du COMENA qui doit avoir l'aval de tous les partenaires sociaux et qui a été élaboré sans les partenaires sociaux », d’après le même mémento.

Réagissant à « la sourde oreille » de leur tutelle, les travailleurs des Centres de Recherche Nucléaire (CRNs) se disent déterminés à poursuivre leur sit-in « cyclique », tant que le Ministère de l'Energie et des Mines « persiste dans son mutisme » devant cette situation qui dure depuis 04 mois.

De ce fait, l’union des sections, qui regroupe les bureaux syndicaux UGTA/FNTIEG et UGTA/SNCP des Centres de Recherche Nucléaires d’Alger (CRNA) et de Draria (CRND) coordonnent leurs efforts afin de défendre leur institution et les intérêts majeurs « moraux et matériels » de tous les travailleurs.
http://www.liberte-algerie.com/actualit ... urs-178227

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Re: La recherche scientifique en Algérie

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Algérie - Japon : réalisation de travaux académiques dans le domaine sismique (19 MAI 2012)

La coopération académique entre l’université des sciences et de la technologie Houari Boumediene (USTHB) d’Alger et des universités japonaises a permis de réaliser d’importants travaux de recherche dans le domaine sismique, a souligné, jeudi à Oran, le recteur de l’USTHB.

Benali Benzaghou a indiqué à l’APS, en marge des travaux du deuxième Forum académique algéro-japonais, organisé à l’Université des sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf (USTO) d’Oran, que la coopération dans la recherche scientifique entre l’université qu’il dirige et les universités japonaises est "fructueuse" et est considérée comme "expérience bénéfique".

Des chercheurs de l’USTHB ont effectué, dans le cadre du programme de coopération précité, des missions de recherche dans la capitale japonaise, Tokyo, sur les séismes et des questions scientifiques pertinentes.

A noter que ce pays, qui enregistre une activité sismique considérable, compte une expérience non des moindres dans ce domaine. M. Benzaghou a ajouté que les travaux de coopération entre les chercheurs algériens et japonais dans le domaine sismique se poursuivent selon le programme élaboré et que des experts de ce pays asiatique ont déjà effectué une visite scientifique à Alger et Boumerdès.

"Nous aspirons à élargir les branches de la coopération universitaire avec des partenaires japonais pour toucher des domaines divers tels que l’électronique, l’informatique, les différentes sciences de haute technologie, en œuvrant à permettre à certains étudiants, chercheurs en études de doctorat de mener des études dans les universités japonaises spécialisées", a également souligné le même responsable.

Le deuxième Forum académique algéro-japonais a vu la présentation de modèles des travaux de recherche scientifique menée par des chercheurs des deux pays sur des sujets liés à l’énergie, l’environnement, la biologie, l’économie et les sciences humaines.

La plupart des travaux de cette manifestation scientifique s’est déroulée en présence du Directeur général de l’Asie et l’Océanie au ministère des Affaires étrangères, Mohamed Lamine Derragui, et l’ambassadeur du Japon en Algérie, Tsukasa Kawada. (APS)
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Algérie-Japon: Vers le renforcement le partenariat dans la filière biotechnologique (18 MAI 2012)

Le renforcement de la coopération universitaire algéro-japonaise à travers le développement de projets de recherche communs dans la filière biotechnologique figure parmi les recommandations majeures émises par les participants au 2ème symposium académique entre les deux pays, organisé à Oran.

Cette proposition, qui vise notamment à promouvoir la spécialité biotechnologique, sera matérialisée par une étroite collaboration entre le laboratoire de l’Université des sciences et de la technologie Mohamed Boudiaf d’Oran (USTO) et l’Université japonaise de Tsukuba, a précisé le président de cette rencontre, M. Amine Boudghène Stambouli.

Le rapprochement de ces structures de recherche permettra aux deux parties partenaires d’entreprendre des travaux scientifiques dans divers créneaux d’intérêt commun à l’effet de "concrétiser les aspirations sociales au développement durable", a expliqué M. Stambouli.
Les biotechnologies ont constitué l’un des trois grands thèmes débattus au cours de ce symposium par les experts algériens et japonais à l’instar de Mme Meriem Kaïd Harche, Directrice du Laboratoire "Productions, valorisations végétales et microbiennes" de l’USTO et de son homologue M. Hiroko Isoda de l’université de Tsukuba.

Ces deux spécialistes ont manifesté un vif intérêt pour leurs travaux respectifs exposés à l’occasion de ce symposium, portant respectivement sur la "Valorisation des plantes et micro-organismes en milieu aride" et "L’utilisation de la biologie moléculaire pour la valorisation des plantes médicinales et aromatiques".

La possibilité de développer des partenariats dans d’autres segments de recherche a été également évoquée, a affirmé M. Stambouli, avant d’annoncer que les discussions thématiques seront approfondies à l’occasion de la prochaine visite des experts japonais à l’USTO.

Le prochain séjour de la délégation japonaise à Oran permettra aussi de discuter de la faisabilité d’un projet de création d’une représentation du Centre de l’Afrique du Nord et de la Méditerranée pour la Recherche et l’Enseignement (CANMRE), une structure relevant de l’Université de Tsukuba.

Ce 2ème symposium algéro-japonais, qui a vu la participation d’une trentaine de chercheurs des deux pays, s’inscrit dans le prolongement du 2ème Forum Asie-Arabe et du 4ème workshop international sur le programme solaire algéro-japonais, tenus mardi et mercredi à l’USTO.

"Les Biosciences" (alimentation et agriculture), "l’Energie et l’Environnement", "l’Economie, les Sciences sociales et humaines" ont constitué, dans ce cadre, les axes thématiques des trois ateliers animés à l’occasion de ce symposium dont la première édition s’était tenue, pour rappel, en novembre 2010 à l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene d’Alger (USTHB).
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AAF 2020
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Re: La recherche scientifique en Algérie

Message par AAF 2020 »

Le bateau scientifique "Grine Belkacem" prochainement à Oran et Mostaganem
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ORAN - Le bateau scientifique "Grine Belkacem" entamera, jeudi prochain à Oran et Mostaganem, une mission d’évaluation du potentiel halieutique dans cette bande littorale, a annoncé lundi le directeur d’Oran du secteur.

Cette opération sera supervisée par des experts algériens du Centre national de recherche et de développement dans le domaine de la pêche et de l’aquaculture de Bousmail (Tipaza), a souligné le même responsable en marge d’une rencontre de sensibilisation sur "l’importance du repos biologique dans la préservation des sources halieutiques", organisée à l’Institut technologique de pêche et d’aquaculture (ITPA) d’Oran.

L’activité scientifique de ce navire a été lancée au début du mois de mai courant dans le cadre de la campagne nationale d’évaluation des ressources halieutiques de la côte algérienne, dans le but de les préserver pour un développement durable, selon la même source.

A rappeler que le bateau "Grine Belkacem" avait effectué, en fin d’année dernière, une étude sur les poissons pélagiques au niveau des côtes du pays. Une première étude a été effectuée en 2002 par un bureau d’études espagnol, a-t-on rappelé.

La rencontre sur le "repos biologique pour une exploitation rationnelle et durable des ressources halieutiques", à laquelle ont participé des professionnels du secteur, a été marquée par une série de communications scientifiques animées par des enseignants de l’ITPA d’Oran.

A noter qu’elle est organisée à l’initiative de la Direction et la chambre de la pêche de la wilaya.
http://www.aps.dz/Le-bateau-scientifique-Grine.html
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