Afrique : Actualité, Politique, Economie, Société, Photos

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malikos
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Re: Afrique : Actualité, Politique, Economie, Société, Photos

Message par malikos »

ils ont leurs mains de par tout :x
Israeli intelligence due to deploy soon
According to security sources, Israel is planning to set up an intelligence base in the north-west of Uganda to conduct
https://www.africaintelligence.com/ion/ ... 292396-art
ccording to experts, Israel is ready to establish an intelligence base in Northwest Uganda for operations in the Democratic Republic of Congo and Southern Sudan. There is reason to believe that one of the main objectives after its creation will be the Allied Democratic Front (ADF), which has acquired a supranational character and has rear bases and militants recruiting points in Uganda, Kenya, Tanzania and Somalia. The site will have helicopters and UAVs. The decision as made after talks in December 2017 between Israeli Prime Minister B. Netanyahu and Ugandan President Y. Museveni. Subsequently, consultations were held between the head of Mossad, the chief of staff of the Ugandan army and the state Minister of Defence of Uganda. It was agreed that the project would be implemented in 2018.
https://southfront.org/contest-for-the-horn-of-africa/



de numedia>
numidia a écrit :
08 mars 2018, 19:58
Tu devrais plutôt le poster dans "actualités en Afrique"

depuis quelques années l'objectif "Afrique" est officiellement affiché par les prédateurs criminels de l'entité coloniale sioniste
il existe de nombreux exemples de leur implication croissante directement ou par proxy en Afrique
ils sont très agressifs sur certains dossiers

le continent africain est un gâteau qu'ils veulent avaler, sans les Africains et surtout uniquement eux, les néo-colons néo-esclavagistes (avec leurs bras armés = groupes terroristes), néo-impérilaitses (avec leurs armées "ingérence" et leur argent acheter les terres entre autres et leur dons et ong qui minent l'intérieur et les profondeurs culturels des sociétés africaines)

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numidia
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Re: Afrique : Actualité, Politique, Economie, Société, Photos

Message par numidia »

cf
https://www.forcesdz.com/viewtopic.php? ... 27#p220727
zeitrecht a écrit :
13 mars 2018, 21:13
:lol!:
numidia a écrit :
12 mars 2018, 12:34
il faut recouper les infos
ce sont les vainqueurs (les plus forts) qui écrivent l'histoire
et donc cela ne signifie pas que tout ce qui a été écrit est vrai
NN
les US sont militairement et économiquement (pression exercée sur tout pays) par le biais de forces militaires directes ou proxy ou d'instances internationales, d'ONG ou de multinationales, les USA sont ultra dominants, le continent africain est l'objectif des décennies à venir, c'est le continent le plus riche en sous-sol de toute la planète
avec les connaissances scientifiques actuelles, les gains produits par l'Afrique sont colossaux, le gâteau est en or
de plus l'Africain a des aspirations, et comme dans les années post-indépendances, on voit bien que l'envie de couper l'herbe sous le pied de tout africain patriote est à l'ordre du jour, les tentatives de saboter les instances de l'UA, la situation au sein de la CEDEAO, le cas du francCFA, la situation qui nous concerne directement au Sahel, etc...

l'ingérence dans un continent qui n'est pas leur, ni dans un espace de survie des USA, mettre un pied en Tunisie ébranlée par un chaos politique et économique suite au "printemps arabe" est une aubaine, notamment après le Niger
créer le climat favorable à l'installation de bases est la méthode classique des pays de l'OTAN en Afrique
c'est ainsi que les pays africains participent à la destruction de leur souveraineté

cependant cela prouve également qu'une stratégie plus agressive a été décidée
les pays de l'OTAN semblaient laisser le champ à la France dans ce secteur, les USA sont-ils en train de ne plus laisser la place au prédateur français ?
leur blabla est centré sur le contrôle de la Libye, en gros avoir des bases pour encercler la menace terroriste
on connait le discours et aussi les éffets réels de leur politique
partout où ils sont allés le terrorisme a cru et prospéré
Numidia,
Comme on dit la nature a horreur du vide.C'est l'incapacité et la vénalité des dirigeants Africains qui aiguise l'appétit des Occidentaux.Quand je vois les Presidents Latino-Americains ou Asiatiques qui,malgres toutes les préssions font passer l'interret de leurs peuples avant tout,alors que les Africains subissent encore la France,les USA,la Banque Mondiale,le FMI...Je me dis que l'Afrique a encore beaucoup a faire surtout l'Afrique de l'Ouest qui ne s'est jamais vraiment libérée du Colon.





oui khouya Zeitrecht je te rejoins dans ton analyse
______

cependant juste pour reprendre ton expression
la nature a horreur du vide
on peut aussi créer ce vide et faire table rase des Africains patriotes pour installer les plus dociles, les plus vénaux, les plus corruptibles
s'il y a corruption il y a corrompu et corrupteur
et surtout sans les forces étrangères, les peuples se seraient débarassés rapidement de ces dirigeants pourris et pervertis

je n'excuse pas les Africains et surtout pas les dirigeants, placés et protégés des leurs par des forces étrangères
( 'acha les dirigeants de la dimension de Boumediène, Sankara, Lumumba, Nkruma, ...)

et je n'excuse pas les hommes de pouvoir économique, financiers, entrepreneurs qui auriaent dû avoir l'intelligence de développer leur pays pour un gain conséquent en argent et en développement, au lieu d'investir à des milliers de km ou de planquer les millions dans des paradis fiscaux dont les dividendes et comptes ne sont contrôler que par les mêmes prédrateurs étrnagers qui visent les richessses africaines

mais je ne crois pas qu'il y a uniqumenet des raisons côté africain
nous savons tous que celui qui tente de relever la tête est la cible, l'homme à abattre

c'est pour cela que les Africains qui diffusent leurs analyses pour la défense du continent, qu'ils soient Algériens, Tunisiens ou autres, ne peuvent aboutir qu'à une seule conclusion, la nécessité de développer les institutions de leur pays, à savoir renforcer le pays quel que soit l'homme à sa tête, empêcher les dérives et le népostisme, le clanisme omniprésent en Afrique, cette intelligence géopolitique est une nécessité de survie
et par là consolider l'UA sans pour autant en faire l'outil premier (comme le cas européen le montre, c'est la mise à mort des souverainetés nationales)

et ceci explique pourquoi toute tentative africaine de renforcer les institutions de leur pays respectif, est torpillé et intoxiquer de l'intérieur, par contrôle étranger des pôles séuritaires, et surtout du pôle économique-financier

le rôle des Africains est primordial, il passera d'abord par la capacité à faire preuve d'abnégation (car cela suppose d'énormes sacrifices personnels) et surtout d'intelligence (je ne parle pas de diplômes)
faire de l'Afrique le continent de la consommation à outrance dans les décennies à venir, faire entrer ces pays dans la mondialisation permet aux puissances érangères de faire d'une pierre 2 coups: en donnant des miettes et des produits de basse qualité aux Africains, ils continueront à s'enrichir énormement et en plus cerise sur le gâteau contrôler le volet encore difficlement manipulable et difficelemnt gérable de l'extérieur, à savoir les populations africaines

ce qui s'est passé en Tunisie en est l'exact réalisation
le pire exemple (car le plus abouti dans la destruction nationale) c'est la Libye
leur liberté a disparu, baisse de leur souveraineté, besoin d'étrangers pour leur sécurité, leur économie et maintenant contrôler la popualtion
au final, les dirigeants africains continuent à être des marionnettes même si le discours des medias mainstream parlent de démocratisation de l'Afrique grace à l'Otan

ce n'est pas une histoire de gentil ou méchant
c'est une guerre réelle qui a lieu en Afrique (c'est une guerre contre tout Africain), être un gentil ne permettra pas la victoire (= pérennité de la souveraineté, défense du pays)
et le diviser pour régner est de mise, on voit ce qui s'est passé au Sahel, exemple typique

la situation en Afrique se développe dans l'inquiétude et la mise en place de conflits ultra violents
on voit les soubresauts récents en Nigeria et Cameroun, au Burkina Faso et ailleurs

1) développement des groupes terroristes (on sait ce qu'il en est)
2) augmentation des troupes de l'Otan sur le sol
opex, bases militaires, développement de la présence USA même en zone colonisée militairement ou sous influence économique historique par la France (ex très récent: Niger, Tunisie)
développement de coups d'Etat en cas de résistante politique (Libye, Mali, Côte d'Ivoire, ...)
3) depuis quelques mois intention russe affichée de développer l'achat d'armes et d'accords bilatéraux avec le spays africains (ex "laboratoire" depuis 2017: Centrafrique)
4) agressivité économique chinoise qui fait concurrence à l'agressivité militaro-économique des puissances atlantistes
5) suite à la destruction de la Libye explosion de la dépendance des pays d'Afrique de l'ouest vis à vis de la France et de l'Europe, pôle "cheval de Troie" joué par le Maroc
6) accompagnement de la fin du franc CFA pour imposer une nouvelle monnaie (mais toujours contrôlée par l'Europe)
par le biais de la CEDEAO qui jouera un rôle catalyseur afin de promouvoir et instaurer cette monnaie forte en Afrique pour le plus grand bien des prédateurs européens
7) continuer à casser les institutions de l'UA afin d'empêcher une réponse politique globale contre le pillage qui se poursuit depuis des siècles
8 ) rôle crucial des ONG afin de saper les sociétés, la base populaire et orienter les velléités
etc..... et j'en passe
tout ce que je dis est l'actualités récentes de ces derniers mois
je n'invente rien
l'histoire se déroule sous nos yeux


ce qui a eu lieu hier (cf vidéos ci dessous) est cent fois plus violent aujourd'hui





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zeitrecht
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Re: Afrique : Actualité, Politique, Economie, Société, Photos

Message par zeitrecht »

Oui Numidia,les tentations sont grandes,les préssions enormes,si le Bresil qui etait au bord de la Banqueroute sauvé par Lulla Da Silva,le Chili une des dictatures les plus brutales des années 70 est devenue a perle d'Amerique du Sud 10 fois mieux que l'Argentine,la Bolivie de Morales un des etats les plus pauvres d'Amerique du Sud a reussi a resister aux USA et nationalisé les hydrocarbures du pays,ou le Viet-nam...la liste est longue,ont tous reussi a se débarrasser du colon et du néo-colon,sauf les Africains.C'est qu'il ya un problème Africain peu importe que ce soit la Tunisie,le Mali,le Cameroun ou autres.L'epoque de P.Lumumba,T.Sankara est révolue,la relève est la risée du Monde.Comme dit un proverbe Chaoui (le feu engendre la suie) C'est notre faiblèsse qui fait leur force,enfin c'est mon avis!

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numidia
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Re: Afrique : Actualité, Politique, Economie, Société, Photos

Message par numidia »

zeitrecht a écrit :
15 mars 2018, 21:05
..............Comme dit un proverbe Chaoui (le feu engendre la suie) C'est notre faiblèsse qui fait leur force,enfin c'est mon avis!
bien sûr, toujours !
aux Africains de seprendre en mains, qui dit le contraire ?

le faible subit, et le faible est montré du doigt
c'est lui la victime c'est lui qu'on accuse
mais c'est à lui de devenir plus fort, d'apprendre de lui même et des siens et d'aller de l'avant
c'est à lui de s'en sortir
l'Algérie était seule face au terrorisme
l'Afrique est seule face aux prédateurs et à leurs armées
pourtant, il existe du potentiel, croyons en nous-mêmes.

zeitrecht a écrit :
15 mars 2018, 21:05
.......L'epoque de P.Lumumba,T.Sankara est révolue,la relève est la risée du Monde.................
les hommes partent
les principes eux sont immuables
et c'est sur cette base que d'autres à travers l'histoire prennent la relève et se lèvent
les principes traversent le temps
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zeitrecht
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Re: Afrique : Actualité, Politique, Economie, Société, Photos

Message par zeitrecht »

numidia a écrit :
17 mars 2018, 07:41
zeitrecht a écrit :
15 mars 2018, 21:05
..............Comme dit un proverbe Chaoui (le feu engendre la suie) C'est notre faiblèsse qui fait leur force,enfin c'est mon avis!
bien sûr, toujours !
aux Africains de seprendre en mains, qui dit le contraire ?

le faible subit, et le faible est montré du doigt
c'est lui la victime c'est lui qu'on accuse
mais c'est à lui de devenir plus fort, d'apprendre de lui même et des siens et d'aller de l'avant
c'est à lui de s'en sortir
l'Algérie était seule face au terrorisme
l'Afrique est seule face aux prédateurs et à leurs armées
pourtant, il existe du potentiel, croyons en nous-mêmes.

zeitrecht a écrit :
15 mars 2018, 21:05
.......L'epoque de P.Lumumba,T.Sankara est révolue,la relève est la risée du Monde.................
les hommes partent
les principes eux sont immuables
et c'est sur cette base que d'autres à travers l'histoire prennent la relève et se lèvent
les principes traversent le temps
Oui t'as certainement raison. :avo:

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Re: Afrique : Actualité, Politique, Economie, Société, Photos

Message par numidia »

c'est un espoir, j'espère non vain
:avo:
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malikos
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Message par malikos »

les chinois sont serviable au NIGER....plus que les occidentaux
La China Gezhouba Group Corporation convoite la réalisation de la centrale photovoltaïque d’Agadez et les barrages de Kandadji
Niamey et les 2 jours – mercredi, 09 mai 2018 16:01

En marge de sa visite de travail en Chine depuis le 7 mai, à l’occasion du 3ème Forum sur la coopération sino-africaine des gouvernements locaux, le premier ministre Brigi Rafini (photo), a visité le siège de la China Gezhouba Group Corporation (CGGC). Notamment, sa filiale Beijing Jingneng Clean Energy limited située à 85 km environ du Centre-ville de Beijing.La China Gezhouba Group Corporation convoite la réalisation de la centrale photovoltaïque d’Agadez et les barrages de Kandadji
Au cours de la séance de travail avec les responsables du groupe chinois spécialisé entre autres dans la production et la distribution de l’énergie électrique, le président du groupe CGGC, a manifesté sa volonté à aider le Niger dans sa politique de production et de recherche de nouvelles sources d’énergie.

Les responsables de cette structure se sont montrés intéressés par les barrages de Kandadji où ils espèrent fournir des turbines, et souhaitent par ailleurs, décrocher le marché de la réalisation de la centrale photovoltaïque d’Agadez. Ainsi que la réalisation du chemin de fer Parakou-Niamey-Ouagadougou-Abidjan.

Répondant à ces doléances, le premier ministre nigérien a proposé aux responsables de la CGGC, de ne pas attendre la signature de contrat avec le Niger. Mais, déjà, dans une phase expérimentale, de faire une démonstration de leur capacité et montrer leur savoir-faire sur place au Niger. Toute chose qui pourrait peut-être amener le Niger à retenir la structure chinoise pour les travaux sollicités.

Fondée en 1970, la China Gezhouba Group Corporation (CGGC), est un membre clé de China Energy Engineering Group Co Ltd. Ses activités couvrent le design, la construction, l’investissement et l’exploitation dans les domaines comme la conservation de l’eau, l’hydroélectricité, l’énergie thermique, l’énergie nucléaire, l’énergie éolienne, la transmission et la transformation de l’énergie, les autoroutes, les chemins de fer, le génie énergétique, etc.

SG, https://www.niameyetles2jours.com/l-eco ... e-kandadji

malikos
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Message par malikos »

et encore les chinois, mais cette fois il nous prend des marches...grace a IKB
Niger : travaux d'un oléoduc pétrolier vers le Tchad en fin 2018
9 AVRIL 2018 PUBLIÉ DANS ECONOMIE

Niger : travaux d'un oléoduc pétrolier vers le Tchad en fin 2018 Le Niger va lancer "à la fin" 2018 les travaux de construction d'un oléoduc pour acheminer son pétrole brut destiné à l'exportation via le Tchad puis le Cameroun, a-t-on appris lundi auprès du ministère nigérien du Pétrole.

"Nous pensons que ces activités vont démarrer au plus tard à la fin de cette année" 2018, a indiqué à la télévision Foumakoye Gado, le ministre nigérien du Pétrole.

L'oléoduc, initialement prévu en 2013, et long de plusieurs centaines de kilomètres, permettra d'évacuer le brut nigérien au Tchad voisin, puis acheminé - via l'oléoduc Tchad-Cameroun- jusqu'au port camerounais de Kribi.

Pour augmenter sa production "d'or noir", qui est actuellement de seulement 20.000 barils/jour, le Niger a signé la semaine passée, un Accord d'exploitation d'un second puits pétrolier à la China national Petroleum corporation (CNPC), dans l'Agadem (sud-est nigérien), où cette société extrait le pétrole depuis 2011, selon le ministère nigérien du pétrole.

L'exploitation du nouveau puits démarrera également "au plus tard à la fin" 2018" et permettra au Niger de produire 90.000 barils supplémentaires par jour, donc d'atteindre une production "globale de 110.000 barils par jour", a expliqué le ministre.

Quelque "2,5 milliards de dollars" seront investis dans les nouvelles infrastructures de surface et "1 à 2 milliards de dollars" dans l'oléoduc, a-t-il chiffré.

Le Niger, qui est l'un des pays les plus pauvres du monde mais riche en uranium et en or, est devenu en 2011 un petit producteur de pétrole avec 20.000 barils par jour.

L'or noir est jusqu'ici acheminé par des pipe-lines jusqu'à Zinder (centre-sud nigérien), où il est raffiné.

En octobre le Conseil d'Administration de l'ITIE a "suspendu" le Niger "pour progrès insuffisants" notamment en matière de "divulgation des contrats" et de non-respect de "publication des données" sur les versements de dividendes au profit des zones minières.Niamey qui a "trouvé que cette décision injuste" s'est retiré de l'ITIE.

La zone pétrolière située dans la région de Diffa (sud-est) est victime depuis 2015 d'incursions très meurtrières des jihadistes de Boko Haram basés au Nigeria voisin.

Dans les années 90, elle avait déjà été le théâtre d'une rébellion toubou (une ethnie minoritaire) qui réclamait le développement de cette région déshéritée.

09 avril 2018
Source : https://www.connaissancedesenergies.org ... n-fin-2018

malikos
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Message par malikos »

colonisateur 1
Mauritanie – Le ministre du pétrole s’entretient avec l’ambassadeur de France
2018/05/17 – Le ministre du pétrole, de l’énergie et des mines, M. Mohamed Ould Abdel Fattah eu mardi après- midi dans son bureau à Nouakchott des entretiens avec SEM. Joël Meyer, ambassadeur de France accrédité en Mauritanie.

Les entretiens ont abordé la coopération bilatérale entre notre pays et la France et les moyens de la renforcer notamment dans le domaine du pétrole, de l’énergie et des mines.

AMI
Sahel-Elite
https://httpsahel-elite.com/2018/05/17/ ... #more-8152
Dernière modification par malikos le 17 mai 2018, 22:14, modifié 1 fois.

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Message par malikos »

neo colonisateur 2
Mali-États-Unis : L’envoyé spécial de Donald Trump reçu par le chef de l’état
Par L'Essor - 17 Mai 20187
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Mali-États-Unis
Le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, a reçu en audience en début de soirée du mardi dernier au Palais de Koulouba, une délégation conjointe du Conseil de sécurité nationale (National Security Council, NSC) et du Département d’Etat dirigée par Cyril E. Sartor, assistant spécial du président américain et directeur des Affaires africaines au NSC.

Au cours de l’audience, il a surtout été question de résilience, de sécurité, d’assistance des Etats-Unis d’Amérique et de développement économique. «Le Mali est très important pour nous et le lien entre nos deux pays est fort», a expliqué le porte-parole de la délégation conjointe et assistant spécial du président américain Donald Trump pour les questions africaines. Le NSC est un organe administratif dépendant directement du président des États-Unis. Il a un rôle de conseil, de coordination et parfois d’impulsion sur les sujets de politique étrangère, de sécurité nationale, et plus généralement sur l’ensemble des questions stratégiques. Lundi, le Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga, avait reçu dans l’après-midi, Cyril Sartor. Il était accompagné de l’ambassadeur des États-Unis au Mali, Paul Folmsbee.

Les deux personnalités ont échangé sur la situation au Mali, en particulier la situation sécuritaire et l’organisation de l’élection du 29 juillet 2018. L’envoyé spécial du président américain a félicité le Premier ministre et le gouvernement pour les nombreuses initiatives engagées en vue de renforcer la sécurité et la stabilité dans le pays, ainsi que la transparence des élections à venir, dans un climat de confiance.

Le Premier ministre a rassuré le diplomate américain et lui a indiqué que le gouvernement est pleinement engagé dans l’organisation d’élections crédibles et transparentes au regard de l’enjeu crucial que présente le scrutin du 29 juillet pour l’avenir du pays en termes de stabilité, de sécurité et de démocratie.

https://www.maliweb.net/politique/mali- ... 57389.html

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Message par malikos »

des dictateur comme IKB SOUTENUE....par les pays occidentale
:pleur:
Mali, une élection présidentielle qui ne sert à rien
Mondafrique-Pr. Issa N’Diaye -14 mai 2018

« Si vous avez un problème et que vous comptez sur la classe politique pour le résoudre à votre place, vous avez deux problèmes. On ne règle pas les problèmes avec ceux qui les ont créés. »

Albert Einstein, Physicien et théoricien allemand

——————-

Une effervescence semble parcourir le Mali à la veille des élections présidentielles annoncées pour le 29 juillet prochain. Chaque jour qui passe, de nouvelles associations et coalitions politiques naissent comme une génération spontanée. Pourtant cette fébrilité ne semble pas annoncer des jours meilleurs. Il ne faut guère se faire d’illusions, les élections présidentielles à venir ne règleront pas les problèmes du Mali, tout comme celles de 2013. Elles n’en sont pas la solution. Au contraire, elles risquent de les compliquer. La tempête de passions partisanes qu’elles drainent dans leur sillage, risque de se transformer en un ouragan majeur, si l’on ne prend garde.

Milice d’autodéfense

La France a tout faux

Dans la foulée de l’opération Serval, la France avait imposé un calendrier électoral serré, croyant ainsi stabiliser un Etat en faillite. Le résultat attendu n’est pas au rendez-vous. La situation semble se dégrader davantage.

L’opposition accable le pouvoir en place et proclame qu’il suffit de le changer pour que le Mali aille mieux. Elle dénonce pêle-mêle sa gestion patrimoniale du pays, la corruption généralisée et l’impunité. Mais aux yeux des citoyens, ceux qui indexent et dénoncent la corruption du régime actuel ont de la peine à apparaître comme le porte-flambeau de la lutte anticorruption et contre l’impunité, en raison même de leur comportement lors de leur passage au pouvoir, des années durant. Les trésors de guerre affichés aujourd’hui, ne tombent pas du ciel.

Tout-sauf-IBK, et après?

Par ailleurs, le « tout-sauf-IBK » peine à convaincre. Aucun projet consistant en la reconstruction du pays. Un silence assourdissant sur les accords d’Alger et surtout sur la présence militaire française au Mali. On ignore les problèmes essentiels du pays, les politiques économiques imposées par les bailleurs de fonds, la tutelle sur le franc CFA, l’endettement continu du pays, le contrôle de l’Etat sur les ressources minières, les privatisations ruineuses pour l’économie nationale, la souveraineté nationale en matière de défense et de sécurité, etc. On évite toutes les questions susceptibles d’irriter les tuteurs occidentaux fort courtisés en ce moment, pour leur parrainage. Rien d’autre que la dénonciation parfois virulente de la gestion actuelle du pouvoir, même si elle parait souvent fondée. Si de nombreux citoyens sont atterrés devant une telle explosion de la corruption généralisée du système en place, il reste fort à parier que les électeurs ne se bousculeront pas devant les urnes, tant l’avenir semble bouché et le désespoir infini.

Les coalitions hétéroclites risquent pour la plupart, de se disloquer au premier contrecoup. Le mariage circonstanciel entre des militants qui se disent de gauche avec des libéraux proclamés, à la seule fin de déboulonner IBK, est sans perspective. En servant de fer de lance dans l’offensive contre le régime, les éléments de gauche font une grave erreur d’appréciation de la situation politique. Ils en sortiront probablement lessivés, étant à chaque élection, les dindons de la farce.

L’éternel retour des politiciens

Les politiciens, comme à l’accoutumée, reprendront le chemin des combines pour la composition des listes communes avec des partis qui se dénonçaient auparavant, lors des élections législatives à venir. Les plus avisés retourneront leur veste et rejoindront le gagnant. Des lots de consolation leur seront attribués. L’émiettement de l’opposition dans des candidatures multiples en raison de l’impossible cohabitation des egos, trace un boulevard devant le rouleau compresseur de la majorité présidentielle qui risque de remporter la mise dès le premier tour. Telle est, en tous cas, son ambition. Il faut se rappeler qu’ATT l’avait réussi contre toute attente, lors de son dernier mandat.

La faillite de l’Etat malien n’est pas le fait du seul IBK. La responsabilité remonte plus loin. Il faut chercher les raisons des dérives actuelles dans la gestion du pays par ledit « mouvement démocratique » qui a complètement dévoyé le pouvoir d’Etat hérité de l’UDPM. Il s’est contenté de se glisser dans le même appareil, amplifiant ses défauts structurels. C’est pendant la période dite démocratique que le rôle de l’argent est devenu majeur en politique. Plus d’idéal, ni de conviction ! Plus de principe ! Le système de prédation a vigoureusement fait pousser des ailes partout, sur le terrain politique et ailleurs, dans les administrations publiques, dans les associations, dans les organisations de la société civile, dans les syndicats et même au niveau des religieux. La corruption est devenue la norme partout. Elle fait aujourd’hui partie intégrante du système. Elle irrigue toutes les sphères de la société. Il est évident qu’on ne saurait l’affronter sans briser le système actuel d’organisation et de gestion du pays. Ce ne sont pas des élections qui règleront la question.

Le problème n’est pas seulement le pouvoir d’Etat, c’est aussi et surtout le Malien lui-même. Il faut arriver à le changer. Pas évident ! Tant que l’appât du gain facile restera la base de la philosophie du citoyen ordinaire, rien de bon ne se fera dans le pays. Tant que le mensonge, l’hypocrisie, la cupidité, la fourberie et la méchanceté resteront au cœur de la citoyenneté, il n’y a rien à espérer. Il suffit de voir le spectacle de la ruée actuelle à travers les associations créées pour capter les sommes d’argent distribuées à l’occasion par les candidats.

Devant l’argent, aucune morale.

Tous les coups sont permis. La corruption est devenue le système national de débrouillardise à tous les niveaux, aussi bien au niveau de l’Etat, des appareils civils comme militaires, des secteurs de la société civile et religieuse. Les rapports sociaux en sont dénaturés. Le mal est profond. L’incivisme a atteint un tel degré qu’il menace l’avenir même du pays.

Dans les joutes politiques actuelles, on ne parle guère des menaces qui pèsent sur le pays et les risques de son implosion. Même si les complicités extérieures sont évidentes, ce sont des Maliens qui ont allumé la mèche qui a fait flamber le pays. Aujourd’hui le fusil est devenu un gagne-pain pour certains. La guerre permet de s’enrichir en toute impunité. L’absence de l’Etat sur une bonne partie du territoire national arrange les trafiquants en tous genres. Ils ne sont pas seulement des rebelles mais aussi agents de l’Etat, politiciens, opérateurs économiques et même issus des milieux religieux. Le désordre et l’insécurité nourrissent tant de gens, même si à terme, ils sèment le chaos dans le pays.

Ce chaos global fait aussi le bonheur des puissances étrangères et favorisent leurs diverses convoitises. L’affaiblissement de l’Etat leur permet de tout imposer. Le pays a perdu toute souveraineté. Il est devenu un champ d’affrontement d’intérêts qui nous dépassent. La prétendue guerre contre le terrorisme en est une illustration. Sur le territoire malien s’affrontent des acteurs, pour la plupart, venus d’ailleurs. Même les natifs du pays, qui ont été un moment les bras armés dans des conflits extérieurs, sont venus, poussés par l’intervention de l’OTAN en Lybie et ont inventé la fable de l’Azawad. Les principaux acteurs de la guerre actuelle au Mali sont pour la plupart étrangers au pays. La guerre contre le jihadisme nous est extérieure. Elle a introduit et élargi les fissures entre nos communautés : populations du nord contre celles du sud, musulmans contre musulmans et chrétiens, peaux noires contre peaux blanches, Bamanans et autres, contre Touaregs ou Peuls. Pourtant le Mali était un pays de brassage ethnique et culturel que la première république avait su préserver et consolider. Pourquoi ce brusque réveil identitaire alors que nous sommes, pour la plupart d’entre nous, des métisses ethniques et culturels? Pourquoi ces meurtres quotidiens et gratuits de populations innocentes ? Pourquoi cette vendetta suicidaire ?

Faire taire les armes

Ce sont des Maliennes et des Maliens qui meurent chaque jour sous des balles d’autres Maliens et des aventuriers venus d’ailleurs. La priorité des priorités, c’est mettre un terme à la guerre. Il faut sortir de la guerre contre le terrorisme. Elle ne mène nulle part. Il faut sortir des logiques de violence pensées et nourries par des acteurs extérieurs. Il nous faut nous retrouver entre Maliens.

Cela est possible en nous désolidarisant de tous les acteurs extérieurs, en leur demandant de partir et de nous laisser résoudre nos problèmes entre nous. Nos communautés ont la capacité de puiser dans notre sagesse traditionnelle pour nous entendre. Il nous faut refuser d’être manipulés et affirmer notre souveraineté.

Pourquoi ne pas décréter unilatéralement un cessez-le-feu général ou par zone ? Le répéter au besoin et l’élargir ?

Pourquoi ne pas inviter les communautés à créer partout des comités de gestion des conflits en faisant appel à leur savoir-faire traditionnel ?

Pourquoi ne pas leur demander d’instituer des tribunaux populaires à la rwandaise ou en s’inspirant des pratiques de leur terroir ?

Pourquoi ne pas constituer des comités populaires de pacification et de désarmement ?

Pourquoi ne pas construire étape par étape des pouvoirs populaires de base ?

Ils édifieront des brigades populaires dans les domaines essentiels : production, sécurité, santé, éducation, accès aux services sociaux de base…

C’est en faisant confiance aux populations qu’elles seront responsabilisées et prendront en main leur destin.

Nous sommes fatigués des tutelles étrangères, fatigués des stratégies pensées de l’extérieur, des solutions imposées de l’extérieur. Notre problème principal, ce sont les ingérences extérieures. Elles n’ont été et ne resteront possibles qu’avec notre complicité. Ce sont les Maliens qui ont trahi le Mali.

Aujourd’hui, ceux qui se déchirent pour la conquête du pouvoir, n’ont pas le souci du pays. Ils ne se préoccupent guère des populations. Ils courent derrière le soutien des puissances extérieures et de leurs complices africains voisins du Mali.

La situation actuelle du Mali n’est pas sans rappeler celle du soudan français sous la domination coloniale. Aujourd’hui, les maitres coloniaux sont multiples. Leurs complices aussi. Ce sont nos divisions internes qui sont notre principale faiblesse.

Ce n’est pas de démocratie dont avons besoin. Faisons-en le bilan sans complaisance. Nous avons besoin plutôt de patriotisme, de discipline et de rigueur. Le laxisme et la permissivité que nous sommes octroyés au nom de la démocratie, risquent de creuser notre tombe si nous ne réagissons pas à temps. Il nous faut bâtir un nouvel ordre politique, économique et social endogène. Cela est possible si nous nous retrouvons entre nous, dans le cadre d’assises populaires nationales souveraines. Chaque mot a son importance.

Il ne s’agit guère de se coopter entre acteurs actuels de la scène politique. Il nous faut aller jusqu’aux communautés de base, dans les hameaux et fractions, dans les structures de base de notre société qui désigneront leur porte-paroles aux étapes suivantes jusqu’au niveau national. Du même coup, cela permettra un renouvellement de leadership politique et social. C’est seulement ainsi que les assises seront véritablement populaires.

Les assises doivent être nationales. Elles doivent rassembler tous les Maliens. Nous devons dialoguer entre nous et construire un nouveau Mali sur la base de nos préoccupations et objectifs nationaux. Il nous faut rejeter tous les modèles et nous projeter dans l’avenir en toute lucidité, en tenant compte de nos acquis et valeurs de civilisation qui font le ciment de notre société. Tolérance, respect de soi et de l’autre, solidarité et entraide, sens éthique, esprit collectif…

Les assises nationales doivent être souveraines. Cela veut dire que les synthèses nationales auxquelles nous parviendrons, doivent être exécutées comme expression de la volonté populaire. Le nouvel Etat, toutes les institutions et la législation doivent s’y conformer. Il faut construire un nouveau type de citoyen respectueux du sens collectif qui doit désormais primer sur toute autre considération. Il nous bâtir un pouvoir populaire fort qui doit instaurer au besoin par la contrainte, un ordre social juste et équilibré. Il nous faut dissoudre toutes les organisations multiples qui divisent les communautés, qu’elles soient à caractère politique, culturel, religieux ou autre. Tous les financements et investissements extérieurs doivent être soumis au contrôle rigoureux du nouvel Etat. La discipline et la rigueur doivent devenir la règle. L’impunité doit être bannie. Nous avons le choix : nous imposer un ordre républicain librement consenti ou l’ordre fasciste qui nous sera imposé par un coup d’Etat militaire, au terme de la pagaille généralisée vers laquelle nous nous dirigeons. Il sera soutenu par les puissances extérieures et les populations fatiguées du désordre et de l’impunité.

Des pays ont réussi la synthèse entre leur passé et la modernité. Il suffit de regarder dans certains pays d’Asie et ailleurs. Plus près de nous, l’exemple du Rwanda.

Nous devons interroger aussi l’expérience de la première république. Comment l’USRDA de Modibo Keita, dans le contexte de la lutte pour l’indépendance, a su fédérer toutes les énergies et construire l’unité nationale, autour d’un projet national souverain. Nous devons tirer aussi les leçons des échecs.

Cette unité nationale est indispensable pour affronter les défis de l’heure. Le régime actuel ne saurait la réaliser. Il ne dispose ni de la légitimité ni de la crédibilité nécessaires à cet effet. L’opposition politique, la société civile et religieuse, non plus. Seul le dépassement des enjeux partisans actuels peut en poser les jalons indispensables.

Nous avons le devoir de reprendre la lutte de libération nationale pour reconquérir notre souveraineté, lutte inachevée et interrompue brutalement par le coup d’Etat du 19 novembre 1968.

Nous devons, pour ce faire, chercher à bâtir au plan national, une saine unité autour d’un projet collectif endogène autonome. Il nous faut expliquer et construire aussi des solidarités fortes avec les forces politiques et sociales progressistes des pays voisins. Nous aurons besoin sur le plan international de la compréhension et du soutien des forces de progrès.

Les enjeux des batailles actuelles et à venir, dépassent le seul Mali. La conjugaison des luttes que livrent partout les peuples contre la dictature du capital, est indispensable. Face au système mondial de prédation et d’oppression des peuples, c’est le devenir même de l’humain qui est en jeu.

Accomplissons notre part de devoir pour que surgisse à la place des horizons bouchés, le soleil de l’espérance en un monde meilleur. Balayons en nous nos pourritures actuelles. Rompons les chaines de nos prisons matérielles et spirituelles. Unissons-nous ! Plus que jamais, cela est à notre portée !

Pr. Issa N’Diaye, Mai 2018, https://mondafrique.com/pour-eviter-lef ... t-du-mali/
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samedi 26 mai 2018 21:13:06

Union africaine : Une délégation marocaine exclue d’une réunion

L’Union africaine (UA) a décidé hier d’interdire l’entrée de tous les membres d’une délégation marocaine, ayant tenté de s’introduire de force à la réunion des ministres des Affaires étrangères de 15 États africains, dont la République arabe sahraouie démocratique (RASD), concernée par la consultation autour du thème de la réforme institutionnelle de l’UA, en vertu de la résolution 687 issue du dernier sommet d’Addis-Abeba, rapporte l’Agence de presse sahraouie (SPS).

D.R

L’Union africaine (UA) a décidé hier d’interdire l’entrée de tous les membres d’une délégation marocaine, ayant tenté de s’introduire de force à la réunion des ministres des Affaires étrangères de 15 États africains, dont la République arabe sahraouie démocratique (RASD), concernée par la consultation autour du thème de la réforme institutionnelle de l’UA, en vertu de la résolution 687 issue du dernier sommet d’Addis-Abeba, rapporte l’Agence de presse sahraouie (SPS). La réunion qui s’est tenue à Addis-Abeba, en présence d’une délégation sahraouie conduite par le ministre de l’Eau et de l’Environnement, Brahim Mokhtar, a été retardée de deux heures, en raison d’une tentative de la délégation marocaine de s’introduire de force dans la salle, suscitant l’indignation des délégations présentes et des responsables de la Commission africaine. Après la tentative de la Commission africaine de convaincre la délégation marocaine que leur pays n’était pas convié à cette réunion, dont la consultation concerne 15 États seulement, conformément à l’alinéa 3 de la résolution 687, issue du sommet des chefs d’État et de gouvernement en janvier 2018, le Maroc a indiqué qu’il était «déterminé à participer à la réunion aux côtés des 15 États concernés par le thème de la réforme, dont la RASD». Selon des sources informées citées par SPS, la présidente du Conseil exécutif de l’UA, ministre rwandaise des Affaires étrangères, a décidé de mettre fin aux provocations du Maroc et son attitude «non diplomatique», en procédant à un changement de salle et en renforçant les mesures sécuritaires pour interdire l’entrée des membres de la délégation marocaine. Le Maroc a échoué une fois encore à imposer ses choix à l’UA, alors que le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mohamed, et la présidente du Conseil exécutif de l’UA ont déploré le retard accusé dans la tenue de la réunion, ont ajouté les mêmes sources. La réunion consultative portera sur l’examen des nouveautés à apporter dans la mise en œuvre du projet de réforme de l’UA et les questions relatives au budget et aux finances, des questions prioritaires définies lors du sommet de l’UA et des Communautés économiques régionales, et ce conformément au principe de dépendance et d’intégration. La RASD participe à la réunion à la tête d’une délégation dirigée par le ministre de l’Eau et de l’Environnement, Brahim Mokhtar Boumakhrouta, accompagné par MM. Lamine Baali, ambassadeur du Sahara occidental en Éthiopie et à l’UA, et Dadi Essalek, attaché de presse culturel à la Délégation sahraouie auprès de l’Éthiopie et de l’UA. Le groupe des 15 États concernés par la consultation sur la réforme institutionnelle de l’UA est composé de trois pays de chaque région, proposés par les cinq territoires. La République sahraouie a bénéficié de la confiance de la région de l’Afrique du Nord, ainsi que de l’Algérie et de l’Égypte, pour jouir de la qualité de membre dans ce groupe.
www.elmoudjahid.com/fr/actualites/124058

C'est intolérable ! Un comportement de voyou.

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avec IBK rien va se regler
Présidentielle au Mali : Ibrahim Boubacar Keïta investi candidat par une large coalition
La désignation du chef de l’Etat intervient une semaine après la formation d’une alliance par l’opposition.


Le Monde.fr avec AFP Le 07.05.2018 à 10h52 • Mis à jour le 07.05.2018 à 10h58

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Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta, à La Celle Saint-Cloud, à l’ouest de Paris, le 13 décembre 2017.
Le chef de l’Etat malien, Ibrahim Boubacar Keïta, a été investi candidat à l’élection présidentielle du 29 juillet par une coalition de près de 70 partis, dimanche 6 mai, lors d’une réunion à Bamako. « A la demande de son parti et de ses alliés politiques, le président malien IBK [Ibrahim Boubacar Keïta] accepte d’être candidat à la présidentielle de juillet », a déclaré Bocary Tereta, président du Rassemblement pour le Mali (RPM), la formation présidentielle, principale composante de la coalition soutenant M. Keïta. Une cérémonie d’investiture sera organisée à une date non précisée par M. Tereta.
Le président sortant, âgé de 73 ans et qui avait été élu en 2013 pour cinq ans, n’était pas présent à cette réunion, tenue devant 3 000 personnes. Lors d’une rencontre samedi avec sa coalition, M. Keïta, qui n’a pas encore officiellement annoncé sa candidature, avait affiché sa disponibilité. « Nous sommes prêts à resservir ce pays de toutes nos forces », avait-il déclaré.

« Immense gâchis »
Son investiture pour l’élection présidentielle intervient après le lancement, le 29 avril, d’une coalition d’une soixantaine de partis politiques et associations pour « l’alternance et le changement ». Les membres de ce regroupement, parmi lesquels Soumaïla Cissé, chef du principal parti d’opposition, Tiébilé Dramé et plusieurs candidats déclarés à la présidentielle, s’engagent à « mettre fin à l’immense gâchis qu’a été le quinquennat finissant », selon leur manifeste.

Le gouvernement malien a officiellement convoqué le 27 avril le corps électoral pour le scrutin du 29 juillet. Près d’une dizaine de candidats se sont déjà déclarés, dont un ancien premier ministre de M. Keïta, Moussa Mara ; un de ses anciens ministres, Mohamed Ali Bathily ; le maire de Sikasso (sud), Kalifa Sanogo ; le richissime homme d’affaires Aliou Boubacar Diallo ; l’ancien ministre et militaire Moussa Sinko Coulibaly ; ainsi que deux hauts fonctionnaires internationaux, Modibo Koné et Hamadoun Touré.

Lire aussi : Quand le Mali, grand corps malade, se pose en « protecteur » de la France

Le gouvernement assure depuis des mois que le vote se déroulera à la date prévue, malgré les reports successifs des précédentes élections programmées depuis 2013, en raison notamment de la menace djihadiste.

Les groupes armés qui avaient pris le contrôle en mars 2012 du nord du Mali ont été en grande partie chassés et dispersés par une opération militaire lancée en janvier 2013, à l’initiative de la France, et qui se poursuit actuellement. Mais des zones entières du pays échappent encore au contrôle des forces maliennes, françaises et de la mission de l’ONU (Minusma), régulièrement visées par des attaques, malgré la signature en mai 2015 d’un accord de paix censé isoler définitivement les djihadistes. https://www.lemonde.fr/afrique/article/ ... _3212.html

malikos
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Forte tension est blessée à Bamako, ce qui est juste un début, car IBK. Toutes les populations sont contre ce monsieur, qui se tient grâce à des forces occidentales. LE conflit au nord…loin d’être résolu. Plain de banditismes…mauvaise gérance et corruption. Un pouvoir qui ne satisfait pas les aspirations du peuple malien.
Plus de confrontation très probable, surtout si le vote n’est pas 100% transparent. Là je pense ça serra la révoltions. Les gens ont marre.
A Bamako, une manifestation de l’opposition dispersée par les forces de l’ordre
LE MONDE Le 02.06.2018 à 15h55 -Par Morgane Le Cam
(Bamako, correspondance)

Initialement interdit par les autorités, le rassemblement a été dispersé par des tirs de gaz lacrymogène. Le bilan provisoire fait état de seize blessés.

Un manifestant portant un tee-shirt à l’effigie d’Etienne Fakara Sissoko, une figure de l’opposition malienne, le 2 juin à Bamako.

Un épais nuage de fumée troublait le siège du parti politique d’opposition ADP-Maliba (Alliance pour la démocratie et le progrès), ce samedi 2 juin à Bamako, la capitale malienne. La manifestation organisée par l’opposition au régime du président, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), avait pour objectif de réclamer une élection présidentielle transparente, mais elle n’a pas pu se tenir. Un dispositif sécuritaire conséquent – 1 000 hommes selon une source policière –, avait été déployé pour « sécuriser la capitale et d’empêcher la manifestation compte tenu de l’état d’urgence », selon le mot d’ordre.

Les forces antiémeutes maliennes se déploient face à la manifestation de l’opposition, samedi 2 juin à Bamako.

Les tirs de gaz lacrymogène envers les manifestants et les leadeurs de l’opposition qui s’apprêtaient à sortir du siège ce matin pour commencer à manifester auront été dissuasifs. Quelques jours plus tôt, la manifestation avait été interdite par les autorités, invoquant l’état d’urgence, en place depuis près de deux ans et demi à Bamako.

« Manifester est un droit constitutionnel », a rétorqué l’opposition, depuis le siège de l’ADP-Maliba. Ce samedi, à l’intérieur, ses principaux leadeurs, dont Soumaïla Cissé, Mohamed Aly Bathily, Aliou Badra Diallo et Habib Dembélé, tous candidats à l’élection présidentielle du 29 juillet, attendent que la situation se calme. Dehors, le quartier est bouclé par les forces de l’ordre, quelques jets de pierre surgissent de la fumée issue des grenades de gaz lacrymogène qui continuent d’être tirées, tandis qu’entre la police et les manifestants, quelques heurts éclatent.

« Je voulais juste manifester pour une élection pacifique, crédible et transparente »
Sory Diakité, un jeune Malien de 24 ans, a pu s’échapper en escaladant le mur du siège du parti. « J’ai dû sauter les barbelés, regardez ma jambe, je me suis blessé. Je voulais juste manifester pour une élection pacifique, crédible et transparente », explique-t-il, caché dans une bâtisse en construction, en montrant son pantalon, déchiré, sur lequel il a noué un tee-shirt blanc.

Scènes d’émeute en marge de la manifestation de l’opposition à Bamako, samedi 2 juin.

En face de lui, Haoua Maïga crie. Cette militante de la plate-forme « Antè A Bana : touche pas à ma Constitution » est excédée : « Ça, c’est le régime IBK ! La population ne peut pas manifester pour exprimer ses mécontentements ! La population est sortie pour une cause, et vous osez la gazer ? Mais ce n’est ni l’opposition ni la société civile que vous avez gazées, c’est la nation malienne ! » Haoua Maïga était en première ligne lors de la dernière grosse manifestation qui s’était déroulée plutôt pacifiquement, il y a près d’un an. Le 17 juin 2017, des milliers de manifestants avaient marché pour réclamer un abandon du projet de révision de la Constitution qui devait être soumis à référendum le 9 juillet. Un rassemblement autorisé, malgré l’état d’urgence.

Au moins seize blessés
A moins de deux mois de l’élection présidentielle, ce début de campagne électorale tendu est selon Etienne Fakaba Sissoko, un des organisateurs de la manifestation, un signal clair envoyé par le gouvernement : « Cela montre qu’il ne veut pas aller aux élections. Nous qui voulons des élections transparentes, on nous tabasse ? », s’indigne-t-il, à voix basse, allongé sur un brancard posé à même le sol, aux urgences de l’hôpital Gabriel-Touré. L’économiste multicasquette (ex-conseiller à la présidence et ancien collaborateur de la mission des Nations unies au Mali) est affaibli. « J’étais à la bourse du travail ce matin en train d’installer le podium qui devait servir pour le discours officiel quand une vingtaine de policiers ont commencé à me tabasser à coups de matraque », assure-t-il. Il perdra connaissance et se réveillera sur son brancard, aux urgences. Autour de lui, au moins une dizaine de blessés sont allongés à même le sol. Selon un bilan provisoire dressé par la protection civile en fin de matinée, seize personnes ont été blessées, dont un policier.

Un blessé est secouru lors de la manifestation de l’opposition à Bamako, samedi 2 juin.

Selon un communiqué publié par le ministère de la sécurité ce samedi 2 juin, « les forces de l’ordre ont investi les lieux en vue d’empêcher tout attroupement de nature à troubler l’ordre public ». « Certains responsables de mouvement s’en sont même pris aux forces de sécurité en les insultant », poursuit le communiqué.

Du côté de l’opposition, dont les leadeurs ont pu sortir du siège du parti vers midi, l’heure est à la réflexion. Faut-il continuer les appels à manifester dans un contexte préélectoral qui s’annonce de plus en plus tendu ? « Ça n’est pas exclu, glisse Racine Thiam, le vice-président de l’Union pour la République et la démocratie (URD). La décision n’est pas prise. Mais ce qui s’est passé est inadmissible et ne restera pas sans réponse. »

https://lemonde.fr/afrique/article/2018 ... _3212.html

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Same situation in Niger with Mahamadou Issoufou. Both Mahamadou Issoufou/IKB need to be removed and replaced by democratically elected presidents.
As the basis to begin any progress, which comes prior any security consideration. As security without legitimate democratic oversight is dictatorship and oppression.

Recul démocratique au Niger : la France fermera-t-elle les yeux ?
1 JUIN 2018 PUBLIÉ DANS POLITIQUE

Issoufou Macron Presidence NigerLe 4 juin, Emmanuel Macron recevra Mahamadou Issoufou, président du Niger, en visite officielle à l’Elysée. Le 23 décembre, lors d’une visite officielle à Niamey, le chef d’Etat français avait qualifié son hôte nigérien «d’exemple pour la démocratie». L’élection présidentielle remportée avec plus de 92%, avec un opposant battant campagne depuis la prison et dans des conditions contestées, ternissait déjà cette image. Mais depuis, le Niger a connu un terrible recul démocratique : interdictions répétées de manifester, arrestations massives de militants de la société civile, pression sur les médias indépendants, violation des droits constitutionnels, répression des mouvements étudiants…

Le 25 mars, une vingtaine de personnes, dont plusieurs leaders de premier plan de la société civile, ont été interpellées. Leur tort ? Avoir dénoncé la nouvelle loi de finances 2018 qui entérine une fiscalité pesante pour les plus démunis (augmentation de la TVA, taxe sur les vendeurs ambulants, extension de l’impôt sur le revenu…) tout en allégeant la fiscalité d’entreprises nationales et internationales de téléphonie mobile et des industries extractives. Cette nouvelle loi, critiquée depuis des mois par les organisations de la société civile, a réveillé une population qui crie à l’injustice et a manifesté par milliers dans les rues de Niamey, Tillabéry ou Zinder. Face aux revendications légitimes des citoyens, le pouvoir n’a répondu que par la répression.

Le 15 avril, une nouvelle salve de militants de la société civile a été incarcérée. A ce jour, 26 d’entre eux sont toujours détenus dans des prisons éloignées de plusieurs dizaines de kilomètres, voire centaines, de la capitale. Les procédures judiciaires sont entachées d’irrégularités vivement dénoncées par le collectif d’avocats défendant ces membres de la société civile. L’actualité politique et sociale troublée que vit le Niger aurait besoin d’un traitement médiatique précis et indépendant. Mais l’Etat nigérien ne tolère plus l’indépendance. Après avoir été emprisonné pendant un an, le journaliste Baba Alpha, critique du pouvoir, a été déchu de sa nationalité et expulsé vers le Mali en avril. La radio-télévision Labari appartenant à Ali Idrissa – un des principaux leaders de la société civile, emprisonné depuis plus de deux mois, malade et privé de soins – a été empêchée d’émettre. Ce musellement de la presse a fait l’objet d’une déclaration unanime des médias indépendants le 4 février. Face à un tel rétrécissement de l’espace civique et des libertés, que dit la France ? Que dit la communauté internationale ? Rien. Au contraire, Emmanuel Macron décide quand même de recevoir un président de plus en plus contesté et contestable, geste évident de soutien.

Aujourd’hui, la lutte contre le terrorisme et la migration irrégulière justifient aujourd’hui la realpolitik au Niger, comme dans l’ensemble de la sous-région. Le discours de Ouagadougou prononcé en novembre 2017 par Emmanuel Macron est balayé par la réalité. S’il affirme ne pas vouloir donner de leçons de démocratie aux dirigeants africains, pourquoi distribue-t-il alors injustement les bons points aux pires élèves ? Alors que «société civile» est brandie comme un mot totem dans toutes les déclarations du Président ou de nombreux projets de la coopération française, en particulier de l’Agence française de développement (AFD), pourquoi se taire lorsque ses leaders sont enfermés ?

Monsieur le Président, face à cette situation, comment considérer encore Mahamoudou Issoufou comme un exemple pour la démocratie ? A l’occasion de cette visite, nous appelons à ce que la France, par votre voix, condamne la dégradation du climat politique en cours et qu’en toute cohérence avec les objectifs affichés, ne sacrifie pas les libertés fondamentales au Niger sur l’autel des engagements de ce pays en matière de sécurité ou d’immigration.

Signataires : Eric Amouzougah, Synergie Togo/Tournons la page; Louise Avon, Vice-présidente du Secours catholique, ancien ambassadeur; Sébastien Bailleul, délégué général, CRID; Janvier Bigirimana, coordinateur de Tournons la page Burundi; Jean-Marc Bikoko, coordinateur de Tournons la page Cameroun; Thomas Borrel, porte-parole de l’association Survie; Clément Boursin, ACAT France; Julie Denès, co-fondatrice de Diplo 21, écrivain; Thomas Dietrich, écrivain; Laurent Duarte, coordinateur de Tournons la page / Secours Catholique; Mireille Fanon-Mendès-France, ex-experte ONU, consultante juridique; Benoît Faucheux, délégué général, CCFD-Terre Solidaire; Claire Fehrenbach, directrice Générale d’Oxfam France; Florent Geel, responsable Afrique, FIDH; Gérard Halié, Mouvement de la Paix; Geneviève Jacques, présidente de la Cimade; Jean-Chrysostome Kijana, coordinateur de Tournons la page RDC; Brice Makosso, coordinateur de Tournons la page Congo; Gustave Massiah, représentant du CRID au Conseil international du FSM; Yannick Nambo, écrivain, consultat co-fondateur de Diplo 21; Laurence Ndong, Tournons La Page Gabon; Jacques Saham Ngarassal, coordinateur de Tournons la page Tchad; Marc Ona Essangui, coordinateur de Tournons la page Gabon; Alain Paillard, secrétaire général de Justice et Paix; Birthe Pedersen, présidente d’ActionAid France-Peuples Solidaires; Elisa Peter, directrice générale, Publiez ce que vous payez; Marinke Van Riet, directrice de Voice; Dimitri Verdonck, Culture et Progrès ASBL.

1er juin 2018
Source : http://www.liberation.fr/
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