Conflit Israélo-Palestinien

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scorpion-rouge35
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Message par scorpion-rouge35 »

Topic sur l'occupation israélienne en Palestine

très bon Reportage sur l'avenir de l'Etat palestinien


Projet de création d'un État palestinien

Depuis que, en 1988, l'État palestinien a été proclamé en novembre à Alger lors du dix-neuvième Conseil national d’Alger29, la revendication d'un État palestinien autonome n'a cessé d'être portée par les Palestiniens, sous la direction de l'OLP et de Yasser Arafat, et n'a cessé d'avancer, un certain nombre d'États et d'instances internationales s'y ralliant au fil des années.

Le 19 janvier 1993, le Parlement israélien abroge la loi interdisant les contacts avec l'OLP. Et le 13 septembre 1993, les accords dits d'Oslo sur l'autonomie palestinienne, d'abord mis au point à Oslo puis signés à Washington, donnent lieu à une déclaration qui aboutit à la reconnaissance mutuelle de la Palestine et d'Israël.

Le 4 mai 1994 est signé un accord israëlo-palestinien, entre l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) et l'État d'Israël : accord d'"Oslo I" signé au Caire (Égypte), prévoyant l’autonomie de la bande de Gaza et de la ville de Jéricho (Cisjordanie).

Le 28 septembre 1995, Israël et l'OLP signent à Washington l’accord négocié à Taba ("Oslo II") étendant l'autonomie en Cisjordanie et prévoyant une série de retraits israéliens par étapes. Fin 1995, Israël se retire de six villes de Cisjordanie qui deviennent autonomes. Le 20 janvier 1996, Yasser Arafat est élu président de l'Autorité palestinienne. Le CNP (parlement palestinien en exil), réuni pour la première fois en Palestine, élimine de sa charte les articles mettant en cause le droit à l'existence de l'État d'Israël.

La création de l'État palestinien, aux termes des accords d’Oslo, aurait dû intervenir en décembre 1998 selon des modalités préparées en commun par le gouvernement israélien et l’Autorité palestinienne.

Le 25 mars 1999, l'Union européenne se prononce en faveur du droit à l’autodétermination des Palestiniens et à celui de créer un État : appui qui s'ajoute au projet de création du futur État palestinien.

En mars 2002, c'est au tour de l'ONU de soutenir la revendication : le Conseil de sécurité adopte la résolution 1397 qui évoque pour la première fois un État palestinien aux côtés d’Israël. Ce pour quoi le président George W. Bush nouvellement élu se prononce également.

Aujourd'hui l'Autorité palestinienne, sous la présidence de Mahmoud Abbas et à la suite de Yasser Arafat, son premier président élu en 1996, œuvre en vue de la création d'un État palestinien. Le 25 mai 2006, Mahmoud Abbas annonce la tenue d'un référendum en ce sens30.

Toutefois, à la suite de violents affrontements interpalestiniens, les islamistes du Hamas ont pris le contrôle de la bande de Gaza le 14 juin 2007, tandis que Mahmoud Abbas, soutenu par le Fatah, annonçait la mise en place d'un "cabinet d'urgence" à Ramallah, en Cisjordanie. Ainsi, avant même d'avoir pu accéder à la souveraineté internationale, le futur État palestinien se trouve partagé de fait en deux entités rivales, l'une à Gaza et l'autre en Cisjordanie.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Conflit_is ... alestinien
le conflit ce déroule dans une des région les plus densément peuplé au monde ,la population totale de la bande de Gaza dépasse 1 500 000 personnes entassé dans un Territoire d'une superficie ne dépassant pas 360 km² .

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numidia
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Message par numidia »

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Message par scorpion-rouge35 »

Amis d'Israël est une organisation qui ne semble pas vouloir entendre parlait de paix ...

Un militant israélien de la paix violemment expulsé d'un rassemblement parisien des "amis d’Israël"


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Agressé lors d’une réunion des "Amis d'Israël" par des militants de la Ligue de défense juive, Ofer Bronstein, président du Forum international pour la paix au Proche-Orient, dénonce la lenteur des institutions juives à dénoncer ces agissements.


Ofer Bronstein est un vétéran de la paix entre Israël et les Palestiniens. Ancien conseiller du vice-Premier ministre travailliste Fouad Ben Eliezer à l’époque de la négociation des accords d’Oslo, il faisait partie de la délégation officielle israélienne lors de leur signature à Washington en 1993. Bronstein est né en Israël et vit à Paris. Il a une particularité : jouissant de la double nationalité française et israélienne, il est aussi détenteur d’un passeport diplomatique palestinien que lui a remis le président Mahmoud Abbas en personne. C’est un document largement honorifique mais Bronstein y accorde une importance symbolique.

Il avait été convié au premier congrès des "Amis français d’Israël" organisé le mardi 3 avril dans la salle parisienne de la Mutualité, à l’initiative des groupes d’amitié parlementaires France-Israël à l’Assemblée nationale et au Sénat, avec le concours de la Fondation France-Israël et du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif).

Dès son arrivée, il est pris à partie par une douzaine de militants de la Ligue de défense juive qui le frappent au visage, le traitent d’"assassin", lui reprochent sa proximité avec celui qu’ils appellent : "le docteur ès négation de la Shoah Abbas", et le somment de "quitter la France" en semblant même lui imputer en partie la responsabilité de la tuerie de l’école juive de Toulouse.

L’incident s’est produit devant de nombreux représentants de la communauté juive, dont le Crif, qui n’ont pas réagi. Bronstein est alors prié de quitter le rassemblement par le service d’ordre.

Il se dit aujourd’hui "profondément choqué par la violence d’un groupuscule qui se réclame de mouvements extrémistes interdits en Israël en raison de leurs positions ouvertement racistes, mais davantage encore par l’absence de réactions des représentants officiels présents", y voyant un "nouveau signe inquiétant de radicalisation". Il affirme être victime pour la troisième fois de menaces de la Ligue de défense juive (LDJ) et a chargé son avocat de porter plainte.

De nombreuses personnalités politiques françaises de gauche comme de droite ont pris la parole lors de cet évènement, dont Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères.

Certains participants rapportent que le ministre a été sifflé lorsqu’il a critiqué la "colonisation" par Israël de la Cisjordanie et disent avoir alors entendu des slogans en faveur de Marine Le Pen, sans pouvoir identifier précisément leur provenance.

Joint par France 24 ce vendredi, le secrétaire général du Crif, Haïm Musicant, "condamne cet incident", ajoutant, "ce n’est pas à la LDJ de décider qui doit entrer ou non dans ce genre de réunion".



Crédit photo : Forum international pour la paix.

http://www.france24.com/fr/20120406-agr ... mis-israel
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Sifax
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Re: Conflit Israélo-Palestinien

Message par Sifax »

Je n'ai pas vu la totalité des trois reportages que je vous propose. Je voudrai donc juste signalé qu'ils ne représentent en aucun cas mon avis sur la question.



cesam
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Re: Conflit Israélo-Palestinien

Message par cesam »

Gaza: un « collaborateur » d’Israël exécuté

Par La Rédaction | 07/04/2012 | 9:00

Le Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, a exécuté aujourd’hui un Palestinien accusé de « collaboration » avec Israël et deux hommes condamnés pour « implication dans un meurtre », a annoncé le ministère de l’Intérieur du Hamas dans un communiqué.

Il s’agit de la première exécution de l’année à Gaza pour « collaboration » avec Israël. Les trois hommes ont été pendus dans un « centre de sécurité » à Gaza, selon le mouvement islamiste.
http://www.algerie1.com/flash-dactu/gaz ... l-execute/

:star: Les collabos sont la honte du valeureux peuple Palestinien.
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T800
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Re: Conflit Israélo-Palestinien

Message par T800 »

Les Gazaouis se « shootent » au Tramadol

Antidouleur surveillé en France, le Tramadol a complètement assommé la bande de Gaza. Près d’un habitant sur deux ne pourrait plus s’en passer.

Ils se glissent les pilules magiques nichées dans le creux de leurs doigts lorsqu’ils se serrent la main, au détour d’une rue, devant l’université ou au hammam. Une parade parmi d’autres pour échapper à l’œil de la police du Hamas. Le Tramadol, puissant analgésique dérivé de l’opium, n’est plus vraiment à Gaza un médicament qui soigne la douleur, mais davantage un remède contre le mal-être d’une génération sans avenir. Pris en otage par le blocus israélien pèrs d'un habitant sur deux est au chômage. Le Tramadol soulage tout du moins, dans un premier temps. Comme tout médicament narcotique, le « Tramal » rend d’abord ‘zen’, puis apathique et enfin violent et dépressif. On estime qu’un Gazaoui sur deux consommerait cette « drogue du pauvre » bien meilleure marché que le crak, estimée à peine à 70 centimes d’euros le comprimé. Mais aucune statistique officielle, le « Tramal » reste un fléau invisible.

Le «nec plus ultra» de la nuit de noce


C’est la prise de pouvoir du Hamas en juin 2007, qui a contribué au succès d’une substance encore méconnue : « Durant le coup de force, le Hamas distribuait à ses combattants des bouteilles de jus d’orange contenant du Tramadol pilé. Cela leur donnait du courage avant d’aller tuer ou torturer leurs ennemis du Fatah », explique Oussama, un jeune étudiant de Gaza. Une fois le Hamas installé au pouvoir, le « Tramal » a encore gagné en popularité, en devenant l’alternative « acceptable » de l’alcool conspué par la Police de la vertu du mouvement islamique. L’explosion du nombre de tunnels de contrebande avec le Sinaï égyptien a fini d’arroser un territoire sous perfusion. Objet de fantasmes, le Tramadol est aussi la substance magique que les hommes aiment se réserver pour la « big night », la nuit de noce, car il a gagné la réputation « de retarder l’éjaculation ». Une rumeur bien souvent erronée qui a fait le lit de la fortune des trafiquants tant le sexe reste objet de tous les tabous. Mais le « Tramal » est loin de faire des adeptes uniquement parmi la population masculine. La police du Hamas vient ainsi de démanteler une filière parmi les étudiantes de l’Université Islamique.


Mon voisin, le dealer (du Hamas)


Mais le pouvoir à Gaza a une attitude très ambivalente à l’égard du Tramadol. Officiellement, le Hamas est sans pitié : il fait régulièrement des autodafés dans le désert, brûlant des centaines de boites de Tramadol ; fait fermer les pharmacies coupables de vendre des pilules sous le comptoir ; et procède à des centaines d’arrestations de trafiquants dont la punition ultime est, en principe, de sortir de prison les pieds devant.

L’envers du décor est en réalité beaucoup moins net : « Le Hamas a instauré un système d’amendes pour échapper aux peines de prison. Un consommateur arrêté avec du Tramadol sur lui doit débourser 1000 euros pour recouvrer la liberté. Pour un trafiquant, cela grimpe à au moins 5000 euros. Pour éviter le déshonneur, les familles paient souvent. C’est pour cela que le Hamas a tout intérêt à voir le trafic de Tramadol prospérer car il vient enrichir ses caisses », dénonce Oussama qui va jusqu’à accuser le mouvement islamique d’être l’une des colonnes du trafic : « Le dealer de mon voisin était un membre du Hamas. Et il n’a jamais été inquiété. » Dénonçant la sclérose d’une réconciliation palestinienne Fatah/Hamas au point mort, le jeune étudiant explique même l’apathie, voire même la ‘mollesse’ de la bande de Gaza durant le Printemps arabe par une overdose de Tramadol : « Cela arrange tout le monde ici. Assommé par cette drogue, personne n’a la force de se révolter. » Le « Tramal » a donc encore de beaux jours devant lui. Les filières deviennent même si saturées à Gaza que les trafiquants vont jusqu’à revendre leurs surplus dans le Sinaï. C’est peut-être le seul produit que Gaza exporte avec succès aujourd’hui…

http://www.bakchich.info/international/ ... adol-61278
radio procedures, airmanship , and decision making in flight

https://www.youtube.com/watch?v=rIUBVE1bUnI
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Черномор
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Message par Черномор »

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Une prison toute neuve à Ramallah
Mieszko Dusautoy / Brèves, Moyen Orient /

(B2) La toute nouvelle prison à Ramallah (Palestine) est terminée et vient d’être transférée à la Police civile palestinienne par l’ONU le 24 avril dernier. L’établissement peut maintenant « accueillir » jusqu’à 200 prisonniers – y compris des femmes et des mineurs – et dispose d’équipements neufs et aux normes internationales : installations de sécurité, cuisine, locaux pour les visites, laverie et aires de loisirs (dont un jardin pour « profiter du soleil »…). Ce projet de remise à neuf vise à améliorer les conditions de détention des prisonniers ainsi que les conditions de travail du personnel de la prison. Il a duré sept mois et a été mis en place par le Bureau des Nations Unies pour les services d’appui aux projets (UNOPS). C’est le Canada qui a financé le projet, à hauteur de 1,25 millions de dollars. Un expert de la mission européenne EUPOL COPPS a également conseillé l’équipe de l’UNOPS, notamment pour les questions de sécurité.
http://www.bruxelles2.eu/zones/moyen-or ... allah.html
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Черномор
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Re: Conflit Israélo-Palestinien

Message par Черномор »

:arrow: http://www.intelligenceonline.fr/
Où sont les leaders du Hamas ?


La rupture, au début de l'année, entre le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, et ses parrains iranien et syrien, a obligé tout le leadership du mouvement à trouver de nouveaux points de chute au Moyen-Orient. Les adversaires de Mechaal, comme Imad al-Alami, en charge des réseaux d'approvisionnement en armes et matériels du mouvement islamiste palestinien, sont rentrés à Gaza, où le premier ministre Ismaël Haniyeh et le numéro deux du Hamas Mahmoud al-Zahar sont favorables au maintien d'une alliance avec l'Iran. Sur les traces de Mechaal, qui réside entre Doha et Amman, plusieurs membres du bureau politique ont en revanche quitté la Syrie pour la Jordanie. C'est le cas de Mohamed Nazzal et de Mohamed Nasr. Mohamed Marzouk, le financier du mouvement qui garde des liens avec la Syrie, s'est pour sa part relocalisé au Caire, tout comme deux autres membres du bureau politique qui ne sont pas alignés sur les positions de Mechaal : Ezzat al-Rachaq et Sami Khater.
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moudjahid
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Message par moudjahid »

Il n'y a pas d'occupation israélienne
Le Monde.fr | 10.07.2012 à 17h04 •

Il n'y a pas d'occupation israélienne en Cisjordanie. Dès lors, le gouvernement de Benyamin Nétanyahou doit légaliser toutes les colonies qui s'y trouvent, et toutes celles qui seront créées à l'avenir...

Ces conclusions, un rien hallucinantes, rendues publiques lundi 9 juillet, sont celles d'un comité présidé par l'ancien juge de la Cour suprême Edmond Levy, formé en janvier 2012, à la demande du premier ministre israélien.

M. Nétanyahou a commenté avec prudence le travail de M. Levy et de ses deux adjoints, l'ancien juge de Tel-Aviv Tehiya Shapira, et le juriste Alan Baker, trois personnalités marquées à droite.

"Ce rapport est important parce qu'il traite de la légalisation et de la légitimation de la politique de colonisation en Judée et Samarie [Cisjordanie] sur la base de faits et d'arguments qui doivent être sérieusement considérés", a-t-il indiqué.

JUSQU'AUBOUTISME SIONISTE

L'Etat juif a dans ce domaine le cuir solide, mais la réaction immédiate de Washington, qui a rappelé son opposition à toute légalisation des colonies juives de Cisjordanie, donne à penser qu'Israël risque de perdre ses derniers soutiens diplomatiques

C'est que, dans le registre du jusqu'auboutisme sioniste, l'argumentation du "comité Lévy" semble sans précédent. Les trois experts relèvent que les gouvernements israéliens ont agi "avec une totale mauvaise foi en affirmant que ces colonies avaient été construites illégalement, tout en encourageant leur construction".

Ils expliquent que la Cisjordanie a été reprise à la Jordanie lors de la guerre des Six Jours (1967), laquelle n'a jamais pu démontrer sa souveraineté sur ce territoire. Dès lors, la convention de Genève (qui interdit à une puissance occupante d'installer sa population sur des terres qu'elle occupe) ne s'applique pas.

De plus, affirment les auteurs, la Déclaration Balfour de 1917, qui se prononçait en faveur de l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, ne parlait pas de "droits nationaux pour les Arabes"...

Autrement dit, ceux-ci n'en ont pas, et, puisque la notion de "territoires palestiniens occupés" n'a pas de sens, Israël n'est pas une puissance occupante, et les colons sont chez eux dans toute la Cisjordanie.
:arrow: http://www.lemonde.fr/proche-orient/art ... _3218.html
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Message par scorpion-rouge35 »

un jour ou l'autre les israéliens auront un retour du bâton douloureux ..
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Re: Conflit Israélo-Palestinien

Message par rimonidz »

INFO URGENTE :

très important accrochage au Sinai aux frontières de Gaza, Egypte et Israel, où un groupe armé venu apparament de Gaza et du Sinai a attaqué un poste militaire Egyptien tuant au dernier Bilan 16 officiers et soldats egyptiens, avant de s'emparer de deux blindés et de foncer vers le poste Israelo-Egyptien de Kafr Abou Salam un autre accrochage a eu lieu, les deux blindés détruits.

des Hélicoptères Israeliens ont pénétré en Sinai Egyptiens !

le Deuxième Corps d'armé Egyptien en Etat d'alerte et se prépare à pénétrer au Sinai.
l'armée israelienne mobilise toutes les unités de la région militaire Sud d'Israel.


le président égyptien se réunit avec le Ministre de la Défense le Maréchal Tantaoui, le chef d'état major égyptien le général de corps d'armée Anan, le chef des renseignement le général-major Mouafi, et promet une réponse décisive au Sinai.
Salafists kill 15 Egyptian Sinai troops, are stopped crashing Israeli border

Force struck APCs seized by Sinai Salafis from the Egyptian “Tahrir Square” post Sunday night, Aug. 5, after one had crashed through the Kerem Shalom border terminal into Israel.. First, the gunmen blew up the Egyptian post, killing at least 15 Egyptian commandos, injuring many and kidnapping an unknown number, before seizing the two APCs and heavy weapons. debkafile:’s counter-terror sources: A Sinai-based Islamist cell appears to have retaliated for the first time to an Israeli counter-terror operation in the Gaza Strip by attacking Egyptian military personnel.
Aside from retaliation, their purpose seems to be to loosen Egyptian and Israeli security control of their respective sides of the frontier.
The attack on the Egyptian position came shortly after dozens of missiles and mortar shells rained down from the Gaza Strip on the Eshkol region. No one was hurt in the initial volley. Residents were told to stay indoors as Israeli tank guns firing into the Gaza Strip pounded the sources of the fire.
During the day, an Israeli air force craft struck two motorcyclists, members of the radical Popular Resistance Committees, in Rafah. One was killed. They were identified as responsible for the June 18 shooting attack from Sinai which killed one of the workmen on the Israel-Egyptian border fence.

source : http://www.debka.com/article/22244/Sala ... eli-border
une affaire qui va monter Crescendo pour les égyptiens.
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Message par scorpion-rouge35 »

ces des trafiquent rien avoir avec le hamas
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Sifax
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Message par Sifax »

Très bizarre tout ça. Un groupe tue 16 soldats égyptiens, s'empare de deux véhicules (dont 1 blindé) et fonce vers la frontière israélienne où il se fait photographier en se faisons bombardé comme dans un jeu vidéo par l'aviation israélienne... j'avoue ne rien comprendre.

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Message par Youma »

Jewish settler attacks on Palestinians listed as 'terrorist incidents' by US

Israeli leaders condemn recent extremist violence, the growth of which human rights groups blame on lack of law enforcement

Harriet Sherwood in Jerusalem
guardian.co.uk, Sunday 19 August 2012 16.44 BST

Violence by Jewish settlers has been cited for the first time in a US state department list of "terrorist incidents", as Israeli political leaders condemned a string of recent attacks on Palestinians in the West Bank and Jerusalem.

The inclusion of assaults on Palestinian targets in the annual report on terrorism reflects growing concern in Israel and internationally that violence by a minority of Jewish extremists could trigger a new cycle of conflict and further damage the prospects of a peace agreement between the two sides.

"Attacks by extremist Israeli settlers against Palestinian residents, property and places of worship in the West Bank continued," said the Country Reports on Terrorism 2011. It referred to "price tag" operations, meaning violence committed by radical settlers against Palestinians in retribution for actions by the Israeli government or army deemed to be "anti-settler".

US and European officials have become more vocal in criticising settler violence amid fears that the actions of a minority of Jewish extremists could provoke a militant response from Palestinians. According to the UN, violent attacks by settlers on Palestinians and their property, mosques and farmland has increased by almost 150% since 2009.

On Friday, the US state department condemned "in the strongest possible terms" the firebombing of a Palestinian taxi near Bethlehem, in which six people – including four-year-old twins – were injured. It urged expeditious action by Israel to bring the perpetrators to justice and for "all parties to avoid any actions that could lead to an escalation of violence".

The attack was widely blamed on settlers, with military sources suggesting "Israeli civilians were responsible". A second firebomb was found near the scene. No arrests had been made by Sunday afternoon.

Israeli politicians were also swift in their condemnation. The prime minister, Binyamin Netanyahu, said it was a "very serious incident", and on Sunday, Moshe Ya'alon, minister for strategic affairs, described it as "a terrorist attack".

He linked the firebombing to a separate incident in Jerusalem at the weekend, in which a Palestinian youth was severely beaten by dozens of Jewish teenagers, who witnesses said were searching for Arabs to attack.

"The hate crimes committed over the weekend against Arabs in Judea and Samaria [the biblical terms for the West Bank] and Jerusalem are intolerable, outrageous and must be firmly dealt with," Ya'alon said. "These are terrorist attacks. They run contrary to Jewish morality and values, and constitute first and foremost an educational and moral failure."

Jamal Julani, 17, from East Jerusalem, was admitted to hospital in a critical condition and placed on a respirator in the intensive care unit. A 19-year-old Jewish man was arrested, and further arrests were expected. A police spokesman described the incident as a brawl, and said it had no connection to settlers.

The Country Reports on Terrorism cited several incidents of settler violence during 2011, including attacks on Israeli military personnel and a base. Over the year 10 mosques in the West Bank and one in an Israeli-Arab town were attacked, it said.

Human rights groups which monitor settler violence say it routinely includes assaults against individuals and groups of Palestinians, harassment, uprooting trees, burning fields, attacks on livestock and damage to cars and houses. It usually peaks during the autumn olive harvesting season.

According to the UN office for humanitarian affairs, the number of settler attacks causing casualties or damage to Palestinian property has increased by 144% between 2009 and 2011(pdf). Three Palestinians were killed and 183 injured by settlers last year; about 10,000 trees were damaged or destroyed; and more than 90% of complaints filed with Israeli police were closed without charges being brought.

"One of the key factors in the growth of settler violence is the lack of effective law enforcement," said Sarit Michaeli of human rights group B'Tselem. "The Israelis have been calling settler violence 'terrorism' for a while now, but that in itself is not a guarantee that they will fulfil their obligations to protect Palestinians."

According to B'Tselem, Israeli security forces often fail to intervene to stop settler violence when alerted to it or already present at the scene. In May, a video posted by B'Tselem on Youtube showed settlers shooting at a group of Palestinian protesters while soldiers and police officers stood by.

A recent article published by Foreign Affairs last week, The Rise of Settler Terrorism, attributed the increase in attacks to "the growth of a small but significant fringe of young extremists, known as the 'hilltop youth', who show little, if any, deference to the Israeli government or even to the settler leadership … These settlers – likely no more than a couple of thousand, a small but dangerous minority within the broader community – are the ones leading the 'price tag' attacks against Palestinian civilians and Israeli soldiers."

The US state department report also said that in 2011: "Israel faced terrorist threats from Hamas, the Popular Resistance Committees, and Palestinian Islamic Jihad, particularly from Gaza but also from the West Bank, and from Hezbollah in Lebanon."

Among the terrorist incidents it listed for 2011 were the murder of five members of the Fogel family at their home in a West Bank settlement, the death of a British national and the injury of 50 other people in a bomb explosion at Jerusalem's central bus station, and the killing of a resident of the Israeli city of Ashkelon by a rocket fired from Gaza.

http://www.guardian.co.uk/world/2012/au ... CMP=twt_gu
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Message par scorpion-rouge35 »

c'est du foutage de gueule ils les laissent faire se qu'ils veulent !
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