S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

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Archange78
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S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par Archange78 »

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Le phénomène d’insécurité reste lié à la croissance continue d’une violence globale, qui se manifeste particulièrement par une délinquance de voie publique (vols _ cambriolage _ destruction et dégradations des biens).

Des actes de brigandage et de banditisme, et à l’émergence de zones à forte délinquance. Surtout à la périphérie des grandes agglomérations.
Cette situation nécessite un traitement sécuritaire particulier qui tient compte des formes de cette violence et de ces conséquences sur l’ordre et la sécurité des biens et des personnes, ainsi que des risques d’agressions violentes.

Elle nécessite également la mise en place d’unités formées et préparées, aptes à faire face dans de meilleures conditions de sécurité à la violence même armée de ces bandes de malfaiteurs.

Mise en place des Sections de Sécurité et d’Intervention

Les sections de sécurité et d’intervention sont des moyens développés par le Commandement de la Gendarmerie Nationale pour consolider le dispositif de lutte contre l’insécurité et la violence. Déployé au niveau du groupement de wilaya.

Chaque groupement wilaya peut recevoir une ou plusieurs sections de sécurité et d’intervention. En fonction du nombre des zones d’insécurité à surveiller et du taux de croissance des actes de délinquance et de banditisme.

Emploi

Le rôle assigné aux sections de sécurité et d’intervention est de mener des actions de sécurisation permanentes et continues dans les zones où sévit l’insécurité et prolifère la délinquance et le banditisme, y maintenir l’ordre et entretenir par leur présence un effet de dissuasion.
Ces actions préventives sont complétées par des interventions musclées et adaptées aux situations les plus imprévisibles, pour protéger les personnes et les biens, rétablir un ordre perturbé ou annihiler toute velléité d’agression contre les citoyens. Et procéder à l'arrestation de leurs auteurs.
L’exercice de ces missions consiste à :

Exécuter des patrouilles de surveillance dans les zones d’insécurité et de prédilection de la violence et du banditisme.

Procéder à l’interpellation et l’identification des personnes suspectes.

Contrôler et fouiller les véhicules suspects.

Contrôler les lieux susceptibles de receler des activités illicites ou constituer des refuges à des bandes de malfaiteurs.
http://www.mdn.dz/site_cgn/index.php?L= ... #undefined

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alamdar
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

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Opérations des unités spéciales de la gendarmerie nationale : Descente aux enfers aux portes d’Alger
Par :Farid Belgacem.

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Le peu de bidonvilles qui résistent à l’urbanisation menacent tragiquement l’avenir environnemental et le cadre de vie à Alger. Même si elle connaît une régression perceptible, la criminalité tourmente toujours la capitale. Descente avec les sections de sécurité et d’intervention (SSI) dans le bidonville d’El-Kerouche où le délit et le crime, la misère et les maladies sont légion.

À peine le voile de l’humidité commence à se dissiper en cette matinée du dimanche 21 décembre – la plus courte journée de l’année – et que le soleil caresse les tristes et lugubres toits en zinc du bidonville El-Kerouche – pas loin de haï Dallas – que les gendarmes décident de pénétrer un site pas comme les autres, connu pour son hostilité à toute présence étrangère. Et ce n’est pas une mince affaire dès que le patron de la Gendarmerie nationale de Rouiba, le commandant de compagnie Réda Boukhenfouf, annonce la couleur aux éléments des deux Sections de sécurité et d’intervention (SSI) d’Alger, plus exactement de Heuraoua et de Sidi Moussa, réunis au 2e GIR (Groupement d’intervention et de réserve), un groupement que commande le colonel Baghou. “Soyez vigilants ! Vous devez effectuer vos interpellations en usant de toute la force de la loi et uniquement de la loi. Certaines personnes que nous recherchons ou que nous allons appréhender sont sans doute armées. Notre virée pédestre devra être symétriquement synchronisée avec les unités qui nous accompagnent, comme la section cynophile”, s’attarde à expliquer le commandant Boukhenfouf pour ces sections d’élite formées par le CGN (Commandement de la Gendarmerie nationale) dans le cadre de la spécialisation dans les opérations d’intervention rapide. Et ce n’est un secret pour personne, l’État a dû mobiliser une brigade entière de gendarmes pour effectuer le dernier recensement dans ce bidonville où l’agression à l’arme blanche, le trafic de drogue et la détention des armes prohibées sont légion. Et si le terrorisme a ruralisé les abords des grandes villes, à commencer par Alger, il est aujourd’hui évident que les habitants de ces haouch ne sont pas prêts à quitter les lieux en s’investissant, au contraire, à développer toutes les activités réprimées par la loi.

Le corps dans les égouts, la mort dans l’âme…
10h18. Nous arrivons à hauteur de la cafétéria de haï El-Kerouche. Le lieutenant Chorfi, responsable des SSI d’Alger, supervise l’arrivée en force de ses unités et dispatche les tâches. La descente se fait à une vitesse telle que les personnes présentes sur les lieux n’ont rien vu arriver. Centre principal d’accès à ce bidonville, il constitue également le point de chute des dealers, le repaire des jeunes consommateurs et l’axe du mal où interfèrent coupables et complices, nouvelles recrues et multirécidivistes. Car, en fait, El-Kerouche est une mosaïque de populations arrivées dans les années 1980, puis celles qui se sont greffées avec l’exode rural durant les années 1990 sous la menace terroriste, et, ensuite, celles qui – le lien parental étant pour quelque chose – viennent graviter autour de ses abords pour tenter de décrocher un job et un abri. 10h30. La fouille effectuée, les gendarmes foncent droit au cœur d’une cité complètement sclérosée et sociologiquement indescriptible dans la mesure où… le pire est à venir. Ce haouch renferme, au fait, un drame humain dans toutes ses dimensions. Composé de secteurs et de sous-secteurs au-dessus des lits d’eaux usées, reliés via des ponts de fortune, El-Kerouche est l’incarnation d’un enfer sur terre… aux portes de la capitale. Chaque secteur a sa décharge, ses tonnes de boue, son oued et ses crevasses d’une eau stagnée où prolifèrent moustiques, rats d’égouts, maladies, odeurs nauséabondes, voire des microbes à l’air libre. Un décor digne du Moyen-Âge ! Pieds nus, pour certains d’entre-eux à peine réveillés, les élèves en vacances d’hiver suivent au pas le déplacement des gendarmes qui courent derrière les faiseurs de la loi de la jungle sur les RN61 et 5, mais aussi la RN24 où la délinquance et la criminalité gagnent du terrain. Les maisons en parpaing, en brique rouge, habillées de zinc, de ferraille de toutes sortes, de bâches et autre boue traitée, rendent la mission difficile aux SSI. Les ruelles étroites, érigées en labyrinthe, ouvertes par-ci et fermées par-là, donnent froid dans le dos et renseignent de l’esprit maléfique qui hante ce bidonville. Première arrestation, un quinquagénaire en possession d’un bout de kif traité. La pelle à la main, il avouera vite aux gendarmes qu’il est malade et qu’il travaille au chantier. Mais c’est compter sans Nidkat, un chien de race qui obéit au doigt et à l’œil au caporal-chef Benaouda. Le drogué n’est autre qu’un multirécidiviste qui a à sa charge 7 affaires de justice, dont la construction de commerces illicites au haouch et d’autres délits divers. Il a d’ailleurs déjà purgé 10 ans de réclusion criminelle. Une deuxième, puis une troisième arrestations, pour détention d’armes prohibées et agression à l’arme blanche et trafic de drogue, confirment que cette cité n’est autre qu’une pépinière de délinquants, de criminels potentiels et de laissés-pour-compte victimes d’une gestion anachronique et permissive de bidonvilles qui résistent dans le temps à l’urbanisation, menaçant, du coup, l’avenir environnemental et le cadre de vie d’Alger. Les interpellations se multiplient au fur et à mesure que les gendarmes tentent d’arracher des aveux aux suspects fouillés de fond en comble. Parallèlement, d’autres unités de SSI, dirigées par le lieutenant Abdaoui, mènent une opération similaire de l’autre côté d’un haï plongé dans le chaos. Et si certains ont immédiatement coopéré et balancé leurs acolytes, d’autres, en revanche, gardent leur sang- froid et osent, têtus, défier les éléments des SSI plus que jamais décidés à ratisser large.

Les derniers bidonvilles d’Alger, de grands cimetières à ciel ouvert

Au 390 comme 695, un bidonville par ailleurs recensé sous le numéro 603, il est difficile de pénétrer dans le secret de ce cimetière à ciel ouvert. Oui, un cimetière quand on sait les conditions inhumaines dans lesquelles s’épanouissent les enfants. Des suspects prennent la fuite à la vue des gendarmes. L’un d’eux sera arrêté et relâché dès que son profil ne justifie pas une arrestation. 11h45. Nous arrivons à la sortie du bidonville El-Kerouche. Lieu de prédilection par excellence, il constitue le coupe-gorge des malfaiteurs qui délestent leurs victimes de leurs biens et les agressent. À un jet de pierre de la RN5, sur la rocade sud, ce terrain vague est aussi la plaque tournante de tous les délits et autres trafics d’armes et de drogue. La deuxième opération aussi rude que la première nous mènera vers les quartiers et les champs Djafri et Mourad, à Réghaïa. Aucun coin n’a échappé à la fouille. Il est à peine 14h30, sous un climat plus clément et loin des puanteurs mortelles d’El-Kerouche, quand les gendarmes brassent les lieux. Sillonnant à pied les champs sur près de 3 km, les hommes de Chorfi n’ont rien laissé au hasard. Rien à signaler et l’heure n’est pas aux interpellations. Mais l’objectif est atteint : il est nécessaire de signifier aux narcotrafiquants que les SSI peuvent surgir à n’importe quel moment. Une thérapie de choc qui a d’ailleurs porté ses fruits au vu des résultats probants enregistrés. Le corps dans les égouts et la mort dans l’âme, certains des jeunes que nous avons tenté d’approcher semblent mener indifféremment une vie incolore et inodore, défiant toutes les lois de Dame Nature. Comme s’ils n’ont rien à… perdre !
Net recul des délits et crimes : L’après-bilan reste à venir
Par :Farid Belgacem

[img(90%,90%)]http://images.imagehotel.net/secsifciw4.jpg[/img]

Cinquante-six personnes seront interpellées en cette matinée qui reprend ses droits dans un haouch pas comme les autres. Trois seront placées en garde à vue tandis que les cinquante-trois autres, répertoriées sur le fichier de la Gendarmerie nationale, seront relâchées en attendant des investigations plus poussées. “Les opérations d’aujourd’hui nous ont permis de mettre à jour notre fichier et de l’améliorer en données. Et si demain nous recevons des plaintes, nous avons un support, notamment des portraits pour identifier les criminels qui agressent les personnes sur les routes et aux environs de ces cités anarchiques”, dira le commandant Boukhenfouf. Celui-ci révélera que 3 arrestations ont été opérées la semaine écoulée parmi ce gang. Ce qui porte le nombre total de malfaiteurs arrêtés à 15, dont 12 avaient fait l’objet, la veille de l’Aïd el-Adha, d’une opération coup-de-poing. Toutefois, ce qu’il faudra retenir, c’est la zone, sans cesse en extension, que la Gendarmerie nationale couvre quotidiennement, en l’occurrence Rouiba (50 000 habitants), Réghaïa (80 000 habitants) et Herraoua (30 000 habitants), sans oublier les zones industrielles où les services de la gendarmerie devront faire preuve davantage de prouesses pour lutter contre les délits et les crimes économiques. Et si le bilan est fructueux pour cette descente, le commandant Boukhenfouf estime que le travail de fond devra se poursuivre pour maintenir le cap. “Il est clair que ces interpellations dissuaderont les jeunes tentés par le crime et le gain facile. Autrement dit, l’après-bilan reste à venir car la Gendarmerie nationale repose toute sa philosophie sur la loi et seulement la loi. Ce qui a permis d’aboutir, il faut le reconnaître, à des résultats satisfaisants sachant que la criminalité a régressé par rapport aux années précédentes. Et notre principe c’est de persévérer”, conclut notre interlocuteur.
Lutte contre la criminalité : Le CGN va généraliser les SSI
Par :Farid Belgacem

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Le Commandement de la Gendarmerie nationale (CGN) compte généraliser, dans les années à venir, les sections de sécurité et d’intervention (SSI) pour toucher toutes les wilayas du pays. Selon le responsable de la communication au CGN, le colonel Abderrahmane Ayoub, les SSI, qui existent déjà dans certaines wilayas du pays, seront renforcées pour couvrir le maximum d’activités opérationnelles et qui s’inscrivent dans la lutte contre toute forme de crime. Ensuite, ces unités d’élite, qui exigent, par ailleurs, une formation de pointe et rigoureuse, seront installées, dans un second temps, dans toutes les grandes villes avant de les élargir à toutes les régions du pays. Et si la Gendarmerie nationale recourt à la professionnalisation de ses troupes et au développement de ses compétences, il est évident que les SSI, comme toutes les sections spécialisées d’ailleurs, viennent confirmer la modernisation d’une institution qui mise toujours sur la recherche et le développement, les nouvelles technologies et le facteur humain.
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Archange78
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par Archange78 »

alamdar a écrit :......................
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Uploaded with ImageShack.us
c'est des opérateurs du DSI et non des SSI ;)
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BADBOY
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par BADBOY »

...le gilet tactique "vert" est propre aux gars du DSI ;)
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a CNN reporter,while interviewing a Marine Sniper,asked: "what do you feel when you shoot a terrorist?!".
The Marine Sniper shrugged and replied: "...Recoil..."

:twisted:
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klibre16
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par klibre16 »

On distingue bien le pin's du DSI sur le torse de l'agent placé derrière le chauffeur !
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AAF 2020
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par AAF 2020 »

Au cœur de la nouvelle élite de la gendarmerie: SSI, force de frappe contre le terrorisme et le grand banditisme
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Ce sont des unités spéciales dénommées sections spéciales d’intervention ou SSI. Leur mission : résoudre les situations les plus dangereuses et les plus délicates telles que la libération d’otages, la lutte contre le terrorisme, le trafic de drogue, l’immigration clandestine, le crime organisé, le grand banditisme et l’escorte et la sécurisation des trains.

Ces unités d’élite constituent « une force de frappe » sous la coupe de l’ANP. En tout, 120 SSI sont déployées à travers le pays soit 4 200 éléments. Signe d’appartenance à ce corps d’élite ? Grand gabarit, tenue spéciale verte avec un gilet pare-balles à protection balistique plus performante et arme de poing.

Dure, dure, la formation Ce jeudi, c’est la sortie de la 51e promotion composée de trois sections soit 114 éléments dont des officiers chefs de section. Ils seront affectés aux groupements territoriaux de Blida, Boumerdès et Souk Ahras « pour couvrir le maximum d’activités opérationnelles en matière de lutte contre les noyaux durs de la délinquance », explique le lieutenant-colonel Djebbari Abdellah, commandant le détachement spécial d’intervention (DSI). Le DSI est chargé de la formation et l’encadrement de ces sections qui exigent, par ailleurs, une formation de base rigoureuse. Celle-ci dure cinq semaines, soit 60 heures d’entraînement intense. « Ni permission ni repos », précise l’officier supérieur. Les éléments de ces sections sont des gendarmes volontaires pour des missions d’intervention. Les critères de sélection sont draconiens. D’ailleurs, les stagiaires sont sélectionnés après des tests techniques et physiques. « La mission l’oblige. Etre dans l’intervention signifie une montagne de sacrifices et une mobilisation permanente », explique le chef du DSI. Car la mission de ces élites n’est pas de tout repos : sécurité publique complémentaire, travail préventif et répressif dans les foyers de la délinquance, surveillance du territoire, identification des personnes et des véhicules suspects. Ces sections sont également chargées du renforcement de la présence préventive surtout la nuit dans les endroits sensibles. « Ils participent également aux interventions liées au maintien de l’ordre et même à la collecte des renseignements », ajoute le lieutenant-colonel. Pour ce faire, la formation est adaptée aux nouvelles formes de criminalité. Les moyens aussi. Il faut dire que le haut commandement de la Gendarmerie nationale n’a pas lésiné sur les moyens pour l’installation d’un nouveau siège du DSI à l’ouest de la capitale. Le DSI est doté d’équipements sophistiqués à l’exemple d’un champ de tir blindé pour former des « tireurs d’élite », le premier en Afrique qui permetaux stagiaires d’évaluer en temps réel leurs capacités. Chaque élément est soumis à ce test de tir après une formation dans le maniement des armes. Les sections sont constituées aussi de plongeurs et d’artificiers.

Escalade d’un mur de 36 mètres Des exercices ont été présentés à l’occasion de la sortie de cette 51e promotion. Le premier consistait à escalader un mur de 36 mètres. Des moments de suspense que de voir ces « Spiderman ». Autre exercice : la neutralisation de criminels à main nue. L’encadreur, un jeune capitaine du DSI, explique que la formation est adaptée aussi à leurs différentes missions. Les formateurs du DSI ont eux-mêmes subi des tests d’admission des plus sévères à l’exemple de l’entraînement dans de hautes et basses température, dans des tunnels, et des champs de tir à Biskra au mois d’août pour s’adapter au climat du sud en cas d’intervention. La formation des éléments du DSI se fait en collaboration avec le GIGN français et le Cobra autrichien. Une autre section a présenté une simulation d’intervention dans une opération de libération d’otages au cours de laquelle les gendarmes effectuent des opérations chirurgicales pour éviter des pertes humaines. « Ils procèdent à la protection des personnes et des biens au péril de leur vie », précise le chef du DSI. L’objectif principal de la création de ces sections « est de garantir une bonne répartition des services de la GN et de garantir une protection plus efficace des citoyens et de leurs biens », souligne l’officier supérieur. Et les SSI ont prouvé leur efficacité sur le terrain. L’affaire de l’assassinat du jeune Ghilès dans la wilaya de Tizi Ouzou le confirme. Ses assassins présumés ont été arrêtés par les SSI dans une région ou la gendarmerie est quasiment inexistante. De même pour la libération d’un petit garçon enlevé dans la wilaya de Boumerdès qui a pu être sauvé en un temps record grâce à leur intervention. La neutralisation d’un dangereux terroriste à Boumerdès, alors qu’il s’apprêtait à placer une bombe artisanale dans un lieu public, fait également partie de leurs exploits.
http://www.horizons-dz.com/?SSI-force-d ... -contre-le
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tounsi216
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par tounsi216 »

à confirmer si c'est bien des SSI

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Archange78
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par Archange78 »

oui c'est bien des SSI ;)
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par mark2013 »

par contre sur cette photo les cagoul ca va pas du tout :)
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tchpako
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par tchpako »

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KHAYBAR
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par KHAYBAR »

mark2013 a écrit :par contre sur cette photo les cagoul ca va pas du tout :)
C'est des pules en laine sans manches.....! :lol:

mais bon la photo est ancienne... ;)
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Archange78
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par Archange78 »

tchpako a écrit :Image
....................[/img]
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moudjahid
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Re: S.S.I : Sections de Sécurité et d’Intervention [GN]

Message par moudjahid »

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